Si vous en avez douté, je vous rassure : l’inversion de la photo de couverture est totalement intentionnelle. En mettant le buste de Louis Pasteur à l’envers, j’ai voulu illustrer visuellement l’importance du dossier mensuel rédigé par Pierre Chaillot : il renverse radicalement le paradigme médical actuel ! Pour rappel, le jeune et brillant statisticien français a fait un formidable boulot pour déconstruire le récit covidiste via sa chaîne Youtube « Décoder l’Éco ». Fruit de ce travail colossal, son livre « Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels » a dévoilé magistralement que la mascarade plandémique était basée sur du vent et que les quelques pics de surmortalité anormale observés ces quatre dernières années ne pouvaient être imputés à un nouveau tueur viral. Mieux : il n’a pas trouvé trace d’un virus dangereux se diffusant progressivement puisque les « vagues » ont déferlé simultanément, cette synchronie contredisant complètement la thèse du phénomène contagieux. Prenant conscience que la théorie pasteurienne du germe ne tenait plus debout concernant le covid, Pierre Chaillot a prolongé son enquête statistique et découvert qu’il en allait de même pour la grippe classique : chaque année, les courbes épidémiques sont tellement identiques que l’explication de la propagation par contamination ne tient plus la route. C’est de la croyance, pas de la science !
L’air de ne pas y toucher, l’iconoclaste a également trouvé les vraie raisons des refroidissements saisonniers: ils sont très étroitement liés à la température et à l’humidité de l’air. Attention : ce double lien n’est pas forcement causal, il y a d’autres facteurs environnementaux qui entrent en jeu. Mais la corrélation est tellement forte qu’elle relègue la présence éventuelle d’un virus au rang de détail insignifiant. Ce n’est pas lui l’ennemi et lui déclarer la guerre ne présente aucun intérêt sanitaire. D’ailleurs, personne n’a jamais prouvé qu’une maladie supposément contagieuse pouvait se transmettre à un individu en bonne santé. Toutes les expériences visant à provoquer un syndrome grippal par inoculation de l’agent bactérien ou viral tenu pour responsable ont systématiquement échoué. C’est ce que raconte un scientifique australien dans un ouvrage qui vient de sortir en anglais et que Pierre Chaillot a lu pour nous en primeur. Dans « Can you catch a cold ? » (« Pouvez-vous attraper un rhume ? »), Daniel Roytas nous rappelle bien sûr que l’infectiologue américain Milton Roseneau a vainement tenté de contaminer des cobayes humains lors de la grippe espagnole de 1918. Même en leur injectant la morve ou la sang de malades, il n’y est pas arrivé. Le grand mérite de cet ouvrage, c’est qu’il référence des dizaines d’autres études montrant que l’exposition à un agent dit infectieux ne suffit pas à provoquer une infection. Au siècle dernier, de nombreux chercheurs ont cherché à transmettre le rhume ou la grippe et leurs expérimentations ont fait chou blanc. Non sans malice, Pierre écrit que cette longue liste d’échecs relève du comique à répétition. Ce qui est moins drôle, c’est que ces ratages répétitifs n’ont pas empêché les adeptes de Pasteur d’imposer leur religion biophobique.
Ce qui est encore moins drôle, c’est que cette paranoïa pasteurienne a accouché de la fumisterie vaccinaliste. Depuis sa création, Néosanté combat la médecine des vaccins et en dénonce les prétentions charlatanesques. La disparition des grands fléaux d’antan ne lui doit rien et il y a tout lieu de penser que certains fléaux contemporains comme l’autisme trouvent leur source dans la multiplication des injections infantiles. Nous sommes résolument « antivaccins» et fiers de l’être, surtout depuis que la grande escroquerie covidienne a exposé au grand jour leur parfaite inefficacité et leur évidente dangerosité. Ce qui nous tient surtout à cœur, c’est de démentir la fable de leur utilité : quand bien même ils protégeraient de telle ou telle pathologie, ils ne garantissent pas une bonne santé globale sur le long terme. La preuve ? Plus d’une centaine d’études comparatives ont montré que les populations non-vaccinées se portaient mieux que les vaccinées (Voir « Espace Livres » page 26). Parmi les premières, les Amish et leur santé insolente (Voir article page 28) illustrent à suffisance la superfluité de l’acte vaccinal. Comme celui de la contagion, le mythe de la vaccination est périmé et ne demande qu’à être définitivement renversé. Puisse ce numéro de rentrée contribuer au grand renversement.
Yves RASIR
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