Retrouver la liberté et rouvrir les dossiers
Le 7 février dernier, la République démocratique du Congo a annoncé une « résurgence » du virus ebola dans la province du Nord-Kivu. Au même moment, l’Agence des Nations unies pour les Réfugiés (HCR) s’alarmait d’une reprise des atrocités commises par des bandes armées dans cette région. Est-ce que cette coïncidence va finir par faire sens ? Le lien étroit entre les actes barbares perpétrés par des hordes sanguinaires et les épidémies de fièvre hémorragique en Afrique va-t-il enfin sauter aux yeux des autorités sanitaires ? Depuis des années, nous soulignons l’évidente relation causale entre le climat de terreur régnant dans certaines zones géographiques précises et les flambées très localisées d’une maladie prétendument infectieuse. Il faut vraiment être aveugle pour ne pas voir que le fléau viral sévit seulement parmi les populations en proie à une violence épouvantable. Et si le virus ebola est innocent de ce dont on l’accuse, pourquoi n’en serait-il pas de même de tous les autres virus auxquels on impute l’apparition des maladies émergentes ? Du sida au corona en passant par la grippe A et le zika, on pourrait effectivement rouvrir tous les dossiers pénaux à charge des prétendus coupables viraux et prononcer leur acquittement : il y a toujours des explications bien plus crédibles que le récit pasteurien du germe évoluant en tout-terrain. Par bonheur, un journaliste et un médecin allemands ont eu l’idée de compiler toutes ces erreurs médico-judiciaires dans leur ouvrage « Virus Mania », récemment publié en français dans une version revue et augmentée. Après l’interview des auteurs dans notre numéro de mars, nous reproduisons ce mois-ci quelques extraits de leur livre relatant comment les « chasseurs de microbes » ont progressivement pris le pouvoir en camouflant la cause réelle des épidémies, notamment celle de poliomyélite. Car – eh oui – même la polio est un mal dont on nous cache les racines réelles et dont on nous affirme à tort qu’il a été éradiqué par la vaccination…
Non seulement les vaccins n’éradiquent rien mais ils font pire que bien. Et c’est aussi une vérité qui va pouvoir émerger au grand jour grâce au virus couronné. Dans Néosanté, nous avons déjà expliqué plusieurs fois que les campagnes de vaccinations provoquaient des déplacements et des remplacements épidémiques en raison des interférences entre virus vaccinaux et virus sauvages. Nous avons également émis l’hypothèse selon laquelle la « pandémie » coronavirale serait liée à l’inoculation préalable de nouvelles valences destinées à combattre la méningite ou la grippe classique. Il y a cependant encore plus grave : selon certains scientifiques, l’administration des vaccins anti-covid pourrait s’avérer catastrophique et déclencher une hécatombe par l’entremise des « anticorps facilitateurs ». Selon ce scénario, de nombreuses personnes vaccinées pourraient, dans 6 mois ou dans un an, être victimes d’un emballement de leur système immunitaire et succomber en masse sous les assauts de leurs propres protéines ! Dans l’entretien qu’elle nous a accordé (lire page 12 et suivantes), la biologiste Emma Kahn souligne en effet que la sélection des souches mutantes et les réactions secondaires immédiates sont peu de choses en regard du danger d’interaction entre les particules artificielles injectées et le microcosme viral naturel. La moindre vague d’infections respiratoires saisonnières pourrait dégénérer en « toxicité communautaire » et expédier au cimetière ceux qui se croient protégés ! Ce qui est sûr, assène la chercheuse indépendante, c’est que l’argumentation altruiste de cette vaccination ne tient pas la route sur un plan scientifique : les risques potentiels sont bien plus élevés que ses bénéfices virtuels. Il faut bien sûr espérer qu’une telle tragédie ne se produise pas l’automne prochain. Mais si elle a lieu, il faut aussi redouter qu’elle soit attribuée, dans une apothéose d’aveuglement et de mauvaise foi, à un variant du covid plus virulent. Gardons donc le dossier bien ouvert et le suspect vaccinal à l’œil !
Encore faut-il pouvoir contester le discours dominant et susciter le débat. Il y a un an, mon ami Jean-Jacques Crèvecœur et moi nous réjouissions que le « Corona Circus » allait permettre un réexamen des mythes pasteuriens et une thérapie collective de la virophobie portée à son zénith par la mascarade covid. Mais c’était sans compter sur l’avalanche des mesures liberticides tournant, selon l’expression du Dr Louis Fouché, à la déferlante totalitaire. C’était sans savoir que le droit d’exprimer une opinion divergente allait être étouffé par une censure féroce et que les droits de se réunir et de manifester allaient être aussi durement réprimés sous couvert d’urgence sanitaire. Début 2020, Jean-Jacques et moi pensions œuvrer à la préservation de la liberté en rouvrant les dossiers. Aujourd’hui, il faut bien déchanter : on ne pourra rouvrir les dossiers qu’en récupérant d’abord nos droits et libertés, à commencer par celle de ne pas être vaccinés contre notre gré. La priorité est à la désobéissance, à la contestation de l’oppression et à la mise en place d’actions concrètes contre la dictature covidiste. En créant le réseau social Solidarita, notre ancien collaborateur a créé un outil de lutte précieux. Je vous invite vivement à le faire vôtre et à le faire vivre de vos initiatives citoyennes. L’étincelle de conscience est là mais il faut la transformer en brasier de résistance à la tyrannie.
Yves Rasir
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