Béance du cardia

Fin 2003, je souffrais de béance du cardia depuis un an et demi. La médecine classique me laissait face à un double choix négatif : soit tenter une hypothétique opération qu’elle présentait elle-même comme très aléatoire, soit rester comme ça toute ma vie. Je digérais très mal, tous les jours, et je devais prendre quotidiennement des médicaments anti-acide. Et surtout j’étais très déprimé.

La lecture du Bioinfo de décembre 2003, et plus particulièrement l’article sur la Biologie Totale, m’a fait sortir en un instant de ma dépression : voici une possibilité de guérison, me suis-je dit. J’ai commencé à travailler avec Ellen Blanckaert, qui recevait dans ma région (Tilff) et, après 5 à 6 consultations (d’une durée de 1 h 30 à 2 h), un soir dans mon lit, alors que je réfléchissais à l’invariant de ma maladie (« je ne peux pas digérer le morceau mais je suis obligé de l’avaler »), j’ai eu l’illumination, un grand « tilt », j’ai compris quel était le « morceau » symbolique que je ne pouvais pas digérer et que je me croyais obligé d’avaler tous les jours.
J’ai trouvé, et par la suite solutionné, le conflit qui avait déclenché ma maladie. En un instant, j’ai basculé dans la guérison : pendant les trois semaines qui ont suivi, je n’ai plus eu les symptômes, alors que je les avais eus sans discontinuer pendant plus d’un an et demi. Puis c’est revenu épisodiquement. J’ai donc poursuivi le travail pour trouver l’origine de ce programme biologique de survie dans mes mémoires familiales et les stress de mes parents au moment de ma conception. Cela n’avait plus de sens de continuer : le dysfonctionnement est alors parti définitivement. Avec plus de trois ans de recul aujourd’hui, je peux dire que cette guérison est bien définitive à 100 %.B.T (Liège)

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