Covid-19 : 12 étoiles dans la nuit (suite)

portrait de Yves Rasir Suite de l’observation de « 12 étoiles dans la nuit », autrement dit de douze bonnes raisons  d’espérer que la grande mascarade Covid-19 va bientôt se terminer et que pareille mystification mondiale ne se produira plus jamais. Mais avant de poursuivre ce petit voyage astral, permettez-moi de présenter des excuses. Mes excuses d’abord au Dr Eric Ménat, que j’ai prénommé Marc la semaine dernière.  Dans ma tête, j’ai mélangé avec Marc Menant, ce brillant journaliste radiophonique naguère chassé d’Europe 1 pour s’être trop intéressé aux médecines naturelles.  Mes excuses ensuite à tous ceux, et ils sont très nombreux,  qui m’envoient des textes et des vidéos par  différents canaux.  Si je lis le courriel et visionne beaucoup de choses, je n’ai plus  le temps pour l’instant de répondre à tout le monde.  Mes journées sont longues mais autant savoir que je m’impose l’hygiène de vie de ne travailler que rarement en soirée, jamais la nuit  et très peu le week-end.  Déjà que ma petite famille me reproche « de penser sans cesse au Covid », je me dois au moins d’être physiquement présent pour vivre le confinement en mon foyer. Mes excuses enfin aux centaines de personnes qui ont répondu à mon appel du 30 mars et qui se sont (ré)abonnées en masse à Néosanté, ont offert des abonnements, effectué des dons et/ou acheté des livres de notre maison d’édition. Nous avons été littéralement submergés par cette vague de soutien  et il nous faudra encore quelques jours pour résorber le retard dans le traitement et l’expédition des commandes. Merci pour cet incroyable encouragement à poursuivre nos activités et merci d’avance pour votre patience. Place maintenant à la contemplation de ma petite constellation….
 
– Étoile n° 7 : L’éventuelle surmortalité sera toute relative
 
Un million, dix millions, cent millions de morts : qui dit pire ? Ces dernières semaines,  les prophètes en blouse blanche se sont livrés à une surenchère morbide pour nous annoncer  un désastre humain sans précédent. Sous la plume d’un médecin pourtant acquis aux médecines alternatives, j’ai même lu le chiffre de 8 millions de victimes potentielles pour la seule France ! C’est vraiment du grand n’importe quoi car l’épidémie montre des signes d’essoufflement et le bilan sera sans doute nettement moins effrayant. Comment le dresser ? Il n’y a qu’une seule manière honnête de le faire : voir a posteriori si la mortalité a fait un bond très anormal en cette année 2020. Du chiffre final, il faudra donc retrancher tous les décès attribuables à la grippe saisonnière et aux diverses affections respiratoires « habituelles ». En Italie du Nord et à Londres, ce calcul pourrait réserver de grosses surprises car cela fait des années que  les pneumopathies progressent et  qu’elles engorgent régulièrement les hôpitaux. Si pic il y a, il faudra aussi déduire les milliers de cas mortels hâtivement attribués au Covid-19  sans aucune preuve. En Belgique, par exemple,  le chiffre de mortalité englobe les  20%  de personnes âgées décédés chez elles et qui  sont présumées contaminées… sans aucun test réalisé  post mortem !  Du nombre de « covidés » trépassés, il faudrait aussi enlever toutes les personnes qui sont mortes AVEC le virus  mais certainement pas DU virus.  Dimanche dernier, je papotais avec un vieux monsieur dans une file devant un magasin. Il me racontait qu’un de ses amis avait été diagnostiqué et admis aux soins intensifs dans un état grave. Détail : il était déjà hospitalisé  pour un cancer en phase terminale et n’en avait plus pour très longtemps. Je serai très curieux de voir ce qui sera mentionné sur le certificat de décès. De mon point de vue, il faudrait également expurger du bilan tous les défunts qui présentaient de graves comorbidités (diabète, hypertension, pathologies cardio-vasculaires, rénales ou pulmonaires…) et pour qui l’infection n’aura été qu’une estocade fatale.  Last but not least, il faudrait encore soustraire toutes les victimes de la iatrogénie, sans laquelle la mort ne serait  peut-être pas survenue.  Le Rivotril, ça vous dit quelque chose ? Un décret du gouvernement français daté du 28 mars a autorisé son usage en cas d’infection au coronavirus. Or ce médicament  anti-épileptique  est fortement contre-indiqué en cas d’insuffisance respiratoire grave. Mais c’est aussi un puissant sédatif utilisé pour « endormir » en douceur les patients en fin de vie.  Question : combien d’euthanasies déguisées seront ainsi comptabilisées dans la colonne  « Covid-19 » ?  Quand bien même cette grippe d’intensité variable ferait de sérieux dégâts,  il conviendrait d’en relativiser l’ampleur.  Un de mes lecteurs m’a envoyé une coupure de presse alsacienne : le journal régional hurle à l’horreur car les annonces nécrologiques ont été multipliées par trois  par rapport à la même époque l’an dernier. Mais le quotidien ajoute qu’ « on n’avait plus vu ça depuis la canicule de 2003 ». Faut-il vous rappeler que  le nombre de décès liés à cet été caniculaire s’est élevé à 70.000 en Europe et à 20 000 en France ? Pour autant, les autorités n’ont pas décidé de généraliser l’air conditionné ni d’installer un parasol géant sur l’hexagone.  C’est important de se souvenir pour relativiser ce qui nous arrive : en 1969, la grippe dite de Hong Kong a fait 1 million de morts dans le monde, dont 32.000 en France et environ 5.000 en Belgique. Et c’était avant  l’explosion du tourisme aérien et des échanges avec la Chine !  En 1957, la grippe asiatique fut encore plus meurtrière, avec 1,5 million de Terriens envoyés sous terre. Le monde ne s’est pas arrêté de tourner et il ne serait venu à l’idée de personne  de déclencher une mégacrise économique mondiale dont le bilan humain, lui, sera épouvantable. Le pire, c’est qu’il y a des indices laissant penser que le pic de surmortalité infectieuse ne sera pas au rendez-vous. Je vous ai parlé la semaine dernière du travail effectué par le Dr Éric Mertens  et montrant que les statistiques belges du mois de mars n’étaient guère inquiétantes.  En Grande-Bretagne,  c’est un certain  John Lee qui  a lancé un pavé dans la mare sous forme d’une tribune publiée par …la télévision russe Russia Today:   sur  la base des chiffres officiels, ce pathologiste à la retraite estime que la mortalité liée au Covid-19 se situe dans la fourchette associée aux infections grippales et  «  qu’il n’y a pas  encore de preuves statistiques d’un excès de décès, dans quelque partie du monde que ce soit. »  Pensez-vous qu’on l’écoute ?  Non pas : comme tous les autres experts de bonne augure, ce consultant du NHS (système de santé britannique) n’a suscité qu’un intérêt poli du Guardian. Le reste de la médiacratie a fait la sourde oreille pour se focaliser sur sa mission d’exagération et de dramatisation. Lorsque le verdict sera connu et qu’on verra à quel point on nous a fait paniquer pour presque rien, c’est à elle qu’il faudra demander des comptes !  

– Étoile n° 8 :  L’orage de cytokines s’éclaire
 
Qui, à part les lecteurs de Néosanté, avait déjà entendu parler des « orages de cytokines » ? Appelé également « tempête de cytokines » ou « choc cytokinique », ce phénomène désigne une inflammation massive  et généralisée aux conséquences souvent mortelles.  Il entraine un syndrome de détresse respiratoire et la défaillance de plusieurs organes vitaux.  Les cytokines sont des substances naturellement produites par les cellules du système immunitaire pour réguler son action et favoriser la réaction inflammatoire, qui est au départ une réponse saine et naturelle d’un organisme agressé.  Quand elle tourne à l’orage, on observe un emballement  du mécanisme qui débouche sur une hyper-inflammation potentiellement létale. Depuis deux semaines, on voit fleurir articles et reportages consacrés au phénomène.  « Les preuves s’accumulent pour suggérer qu’une partie des patients souffrant de formes sévères de Covid-19 sont sujets à un choc cytokinique »  a ainsi écrit Jessica Manson, spécialiste des phénomènes inflammatoires, dans  la revue médicale The Lancet. Repéré et décrit depuis une vingtaine d’années, l’orage de cytokines été pointé du doigt pour expliquer la dangerosité de deux autres maladies respiratoires imputées à des coronavirus , le SRAS et le MERS.  Mais on le suspecte aussi d’avoir été à l’œuvre lors de la terrible « grippe espagnole » qui a tué 50 millions de personnes en 1918-1919. Bien sûr, les scientifiques persistent à penser que l’agent viral en est la cause. Néanmoins, j’ai lu plusieurs articles mentionnant –  mieux vaut tard que jamais – que la dégradation orageuse peut également survenir en l’absence de toute infection.  Tout comme l’immunodéficience acquise (le sida, quoi) peut  parfaitement se produire sans HIV et tout comme un syndrome grippal  peut nous terrasser sans l’influence d’ Influenza, les complications de la maladie attribuée au SRAS-Cov-2 peuvent très bien se déclarer sans lui. Ce dévoilement est déjà un bon pas.  Mais un autre a été franchi  par le Pr Stanley Perlman, spécialiste américain  en microbiologie et immunologie. À l’agence AFP, ce dernier a en effet déclaré  qu’ « administrer des corticoïdes, médicaments anti-inflammatoires courants, serait à coup sûr délétère pour les malades du Covid-19 ».  Cette déclaration est un événement  car c’est la première fois, à ma connaissance, qu’un savant de haut rang avoue que les médicaments employés pour enrayer l’inflammation sont directement responsables de son déchaînement.  Quand on l’empêche de réagir à bon escient, le corps humain  ne se laisse pas faire et se révolte.  Mais pourquoi accabler la  seule cortisone, hormone produite par la glande surrénale  et très précieuse dans les situations les plus désespérées ?   Comme nous l’écrivons sans relâche, des médicaments bien plus courants, à savoir les anti-inflammatoires  non-stéroïdiens (Ibuprofen et autres) sont également connus pour aggraver les maladies infectieuses. Leur usage précède très souvent les orages.  Les autorités sanitaires françaises ont d’ailleurs mis  le public en garde au début de « la crise ». Et n’oublions pas les fébrifuges !   Je le répète encore une fois, mais une étude scientifique de 2009 a montré que l’acide acétylsalicylique (autrement dit l’aspirine) était le véritable tueur de masse qui a sévi il y a un siècle. Faire descendre la fièvre, (à l’aide de paracétamol aussi), c’est le meilleur moyen de se mettre en danger de mort !  Combien de « Covidés » décédés ou lourdement affectés  seront ainsi tombés dans le piège ? On m’a souvent reproché d’être excessif, mais je maintiens que les médicaments « devant le comptoir » ou  délivrés sans ordonnance sont les plus dangereux qui soient pour la santé. Ils ne sont pas extrêmement toxiques mais leurs interférences avec les processus d’autodéfense peuvent s’avérer catastrophiques.  Ce qu’il aurait fallu faire en priorité pour combattre la « pandémie », c’est fermer les commerces de drogues appelées pharmacies !
 
 
 
– Étoile n° 9 : la vérité viendra peut-être des bébés
 
Ils ont beau essayer, ils n’y arrivent pas. Les artisans de la terreur s’escriment à nous faire croire que le Covid-19 est un tueur implacable frappant à l’aveuglette mais les faits sont décidément têtus : la maladie est incompréhensiblement clémente envers  les adolescents, les jeunes enfants et les bébés. Leur présence dans les statistiques de mortalité est quasiment nulle et les quelques décès enregistrés pourraient trouver explication dans la iatrogénie et/ou l’existence de comorbidités passées inaperçues. À ce propos, je dois vous apporter une information que les médias ont étrangement passée sous silence : la « plus jeune victime d’Europe », la fillette de 12 ans morte la semaine dernière à l’hôpital belge de Gand, était atteinte de trisomie  21. Ce n’est pas anodin car il est notoire, comme vous pouvez le vérifier dans cet article que les enfants trisomiques sont plus sensibles aux infections et plus fragiles du cœur, la moitié d’entre eux étant porteurs de malformations cardiaques. Chez les enfants non handicapés – désolé, mais le langage  politiquement correct n’est pas ma tasse de thé – le terrifiant coronavirus ne provoque qu’une poussée de fièvre accompagnée d’un légère toux. Alors qu’ils sont généralement les plus à risque de développer une infection respiratoire problématique, les  nourrissons sont particulièrement résistants à la « pandémie » en cours. Certes, les autorités sanitaires étasuniennes ont réussi à trouver deux bébés qui  en seraient décédés, mais il s’agit d’exceptions douteuses confirmant la règle d’innocuité virale pour la population pédiatrique. D’où vient qu’un nouveau « pathogène », par ailleurs capable de muter rapidement et  sournoisement, épargne si mystérieusement les nouveau-nés ?  Comment se fait-il  que cet agresseur sanguinaire se repaisse si peu, voire pas du tout,  de la chair toute fraîche disponible dans les couffins et les berceaux ? Ce n’est pas une faille mais un gouffre béant auquel  la théorie pasteurienne se trouve aujourd’hui confrontée. Pour sauver le soldat Pasteur et la religion vaccinaliste, il faudra forcément éclaircir  cette zone d’ombre abyssale.  Et certains chercheurs s’y emploient déjà.  Selon une étude parue dans The Lancet, les enfants posséderaient des mécanismes spécifiques régulant l’interaction entre le système immunitaire et les appareils respiratoires. Ils posséderaient donc une immunocompétence « endormie » et insoupçonnée jusqu’à présent  par le monde médico-scientifique !  Ça n’a l’air de rien,  mais ce genre de découverte augure probablement de grandes avancées dans la compréhension de l’immunité. Et partant, une révision possible des fondements dogmatiques de la vaccination. Est-ce un vœu pieux ?  Qui vivra verra mais il me semble que ce  neuvième astre lumineux brille tellement de mille feux qu’il mériterait l’appellation d’étoile du … Berger. Même s’ils sont des éponges émotionnelles et qu’ils ressentent l’anxiété parentale, les  poupons ne lisent pas les journaux, ne comprennent pas ce qu’ils voient à la télé et sont donc insensibles à l’hystérie biophobique  qui s’est emparée des adultes. Puissions-nous, comme l’a suggéré quelqu’un il y a deux millénaires, redevenir comme eux et retrouver l’innocente insouciance de l’enfance…

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Bon, il est déjà temps  pour moi d’envoyer cette newsletter et de retourner préparer la revue Néosanté du mois de mai qui, je vous le rappelle, proposera un dossier sur « le suspect », à savoir le phénomène post-vaccinal de remplacement épidémique pouvant être à l’origine des flambées actuelles. Je remets à la semaine prochaine la rédaction des 3 étoiles restantes.  Un peu navré de vous laisser sur votre faim, je vous communique cependant un dernier lien intéressant que m’a transmis un confrère français. Il mène vers un article de Libération  révélant que, depuis le début du confinement, le nombre d’AVC et d’infarctus a  chuté de moitié en milieu hospitalier !  Il est assez drôle de voir la corporation médicale s’inquiéter de cet avantage collatéral qu’elle attribue un peu vite à la vie moins stressante des confinés. Et si c’était plutôt le ralentissement forcé de la médicalisation qui profite à la population ?  Dans une précédente infolettre, je vous avais glissé que la baisse de la mortalité lors des grèves de médecins n’était pas une légende mais une réalité attestée par plusieurs études scientifiques. Grâce au Covid-19, on va peut-être s’apercevoir que  Molière, Jules Romain ou Ivan Illich ont énoncé chacun à leur façon une puissante vérité : moins de médecine éloigne du médecin !

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3 commentaires

  1. Bonjour, je suis surprise par le ton de cette newsletter, on y sent de la colère. En ce qui me concerne j’attends d’une lettre santé, de l’information mais là on a surtout de la polémique et au final cela retire tout le crédit de l’information qui voulait se dire. le journaliste se perd et s’éloigne de son rôle qui est uniquement de rendre de compte et d’analyser objectivement les situations, ou en tous cas permettre cette analyse. Le ton et l’écriture discréditent le discours. c’est regrettable, au final on est pas convaincu, plutôt agacé, on va laisser tomber le contenu d’un discours qui est peut-être juste.

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