LA MUCOVISCIDOSE

Dans la mucoviscidose, nous observons une mutation du gène récessif sur le bras long du chromosome 7, ce qui entraîne une altération de la perméabilité du canal ionique au chlore contenu dans les cellules épithéliales, qui tapissent l’intérieur de nos organes. Retenu dans la cellule épithéliale, le chlore va provoquer une hyper absorption du sodium, formant ainsi du NaCl (du sel) dans la cellule. Le sel va à son tour attirer à l’intérieur de la cellule l’eau contenue dans le mucus. Celui-ci, ainsi déshydraté, deviendra plus visqueux et formera une forme de bouchon. Ce bouchon obstrue essentiellement les voies respiratoires et digestives, notamment les bronches, les canaux biliaires et le canal pancréatique.

Fonction du mucus

Le mucus sert à protéger les muqueuses contre toute agression. Au niveau pulmonaire, il piège les particules étrangères afin qu’elles n’aillent pas léser les alvéoles. Au niveau digestif, le bouchon de mucus va empêcher la libération des enzymes de la digestion dans le duodénum. C’’est comme s’il ne fallait surtout pas digérer et surtout ne rien absorber. La mucoviscidose peut donc venir solutionner inconsciemment des mémoires familiales d’empoisonnement.
De plus, dans cette pathologie, le chlore est piégé dans la cellule épithéliale, dont une des fonctions est de protéger les tissus sous-jacents. C’est alors comme si nous devions piéger le chlore pour nous protéger. Une première lecture peut donc nous faire vivre le chlore ou le sel (Na Cl) comme potentiellement dangereux, voire mortel pour nous. Or, le chlore est souvent utilisé dans les détergents ou les médicaments. La mucoviscidose peut donc venir solutionner :
– Une mémoire d’empoisonnement par ingestion (détergent, eau de javel, médicament, nourriture, eau …)
– Une mémoire possible de suicide par voie orale.

Dans cette pathologie, le mucus forme un bouchon, notamment au niveau des bronches pour protéger les alvéoles pulmonaires. C’est comme s’il fallait à tout prix empêcher l’air (ou un liquide) d’entrer ou de sortir. Or, le chlore a été utilisé à de terribles fins dans l’histoire. Pendant la Première Guerre mondiale, le chlore a servi à la fabrication des gaz de combat qui ont fait tant de ravages et provoqué tant d’effroi. Ces gaz attaquaient les muqueuses et provoquaient la mort ou des souffrances énormes chez les personnes qui les respiraient. La mucoviscidose, par la formation d’un bouchon de mucus dans les voies respiratoires, est la solution parfaite au stress d’être gazé. En effet, la mucoviscidose est le transposé exact d’un masque à gaz de l’époque : on place dans un conduit des compresses qui vont piéger le chlore pour qu’il ne puisse pas nuire. Par extension, en bouchant le conduit d’air, nous pouvons imaginer également des mémoires de personnes gazées pendant la Deuxième Guerre mondiale (même si les gaz de cette époque n’étaient pas forcément en lien avec le chlore). Cherchons donc :
– Mémoire de personnes gazées pendant la Première Guerre mondiale
– Mémoire de camp de concentration
– Mémoire de drame en lien avec le gaz
– Mémoire de noyade en eau de mer ou en piscine
– Mémoire de personne forcée à boire de l’eau de mer ou de l’eau chlorée (voire, pourquoi pas certaines formes de torture ou de personne perdue en mer)

Autres pistes

En augmentant la viscosité du mucus, notre corps exprime aussi son besoin d’augmenter sa capacité à piéger des particules étrangères avant qu’elles n’affectent nos alvéoles pulmonaires (dans la partie bronchique de la maladie). Transposé dans une vie, c’est comme si nous placions une porte blindée pour empêcher quelqu’un d’entrer dans notre vie, pour éviter qu’il ne nous tue ou ne détruise l’un des nôtres. L’autre est alors vécu comme un énorme danger.
Cette maladie exprime donc des stress généalogiques en lien avec :
– « Je dois convaincre cette personne de ne pas me tuer ou de ne pas tuer l’un des miens »
– «Je dois empêcher cette personne d’entrer dans ma vie pour éviter qu’elle ne la détruise»
– Supplier inutilement de ne pas être tué et de pouvoir partir
– Supplier inutilement que l’on ne prenne pas les nôtres, qu’on les laisse partir sans leur faire de mal
– Un assassinat ou une mort horrible vécu comme tels
– Un appel au secours sans réponse possible pour sauver sa vie (ou celle d’un des siens) d’une mort atroce
– Assister à la mort de quelqu’un sans ne rien pouvoir faire pour le sauver

Le chlore est beaucoup utilisé dans son côté purificateur et assainisseur : il rend l’eau potable, blanchit les tissus, tue des bactéries et des microbes. Une autre lecture du chlore piégé dans la cellule peut ainsi être faite : c’est comme si nous en avions besoin pour nous protéger et comme si nous cherchions inconsciemment à purifier ou à nettoyer le foyer. Dans la mémoire familiale : Y a-t-il des souillures profondes, au sein du foyer, par une personne que l’on a laissé entrer ou que l’on n’a pas pu empêcher d’entrer ? Y a-t-il une personne qui est entrée dans le foyer et qui l’a anéanti ?
– Mémoire de drame en lien avec l’arrivée d’une belle-mère ou d’un beau-père qui apporte le drame dans le foyer pour un enfant.
– Mémoire de viol par quelqu’un que l’on a laissé entrer chez nous ou qui y est entré de force (à maxima cela peut être une mémoire d’inceste).

L’épaississement du mucus peut aussi obstruer le canal déférent de l’appareil reproducteur de l’homme ou l’utérus de la femme. C’est comme si on voulait empêcher le sperme de sortir ou au contraire d’entrer.
– Mémoire d’enfant illégitime
– Mémoire d’un homme ou d’une femme ne voulant pas du tout de l’enfant tandis que l’autre le veut
– Mémoire d’enfant issu de viol

Il est à noter que des études ont montré que le porteur du gène défaillant de la mucoviscidose permet une lutte naturelle contre la fièvre typhoïde, et certaines études, non encore concluantes, disent aussi contre le choléra.
– Mémoire de drame lié à la typhoïde ou au choléra

Thibault Fortuner

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