La plandémie qui vient

Yves Rasir

Naturel ou artificiel ? Échappé accidentellement ou relâché volontairement ? Bricolé à  Wuhan ou ailleurs ? Après avoir agité les réseaux sociaux, la question de l’origine du virus  est désormais débattue dans les médias subsidiés. Et tout le monde semble attendre avec impatience les informations dont Joe Biden vient d’ordonner formellement la déclassification. Des pans entiers de la « complosphère » trépignent et certains « lanceurs d’alerte » se félicitent d’avoir été les premiers à formuler l’hypothèse que le coco venait d’un labo.  Mais bon sang de bonsoir,  est-ce bientôt  fini ce cirque ? Dans une infolettre publiée il y a plus de deux ans, j’estimais déjà que ce débat était secondaire puisqu’il n’y avait pas  de crise sanitaire imputable à ce virus. Aujourd’hui, je persiste dans mon désintérêt pour la controverse puisque sa futilité a été amplement confirmée par les faits : IL N’Y A PAS EU DE PANDÉMIE. J’écris cette phrase en grand et en gras car une majorité de la population semble encore persuadée du contraire. La croyance demeure qu’il s’est passé quelque chose de spécial en 2020, qu’un nouvel agent infectieux a déboulé sur le globe et que la surmortalité éphémère enregistrée ici-et-là peut lui être attribuée. Or c’est faux, tout ça ! C’est du pipeau ! Les travaux et les livres de Laurent Toubiana, Denis Rancourt, Christophe de Brouwer ou Pierre Chaillot  démontrent à suffisance que la pseudo-pandémie Covid-19 n’est qu’une fiction basée sur une narration bidon. Si vous connaissez encore des gens chloroformés par ce récit mensonger, je vous suggère de leur faire suivre cette vidéo où Pierre Chaillot est interviewé par Éric Verhaeghe jouant l’avocat du diable.  En une demi-heure à peine, le statisticien dégomme tous les mensonges officiels et remet les pendules à l’heure. S’ il y a une phrase à retenir de cet entretien, c’est bien celle-ci : « Dans les statistiques, il n’y a pas de trace de l’impact d’un quelconque virus, à aucun moment ». L’éléphant n’a même pas accouché d’une souris, il n’y avait tout simplement pas d’éléphant ni de souris.

Pas que pour le flouze, la piquouze

Maintenant que la coronarnaque est complètement démontée dans les chiffres, il faut se poser la vraie question : la panique mondiale s’est-elle « auto-organisée » sous l’effet du paradigme médical virophobique ou la mystification  des foules a-t-elle été préméditée à des fins inavouées ? En d’autres termes, l’occasion a-t-elle fait le larron ou le larron a-t-il fabriqué l’occasion de commettre son crime ? Autrement dit encore, complot ou pas complot ? Il y a trois ans, je ne penchais guère pour la thèse de la machination. Je pensais que la bêtise, l’incompétence et la corruption de la science pouvaient suffire à expliquer l’avènement irrationnel du covidisme. Mais j’ignorais que  la déferlante totalitaire avait été scénarisée et ouvertement désirée par des organismes comme la Fondation Rockefeller ou le Forum Économique Mondial. Je ne connaissais pas Klaus Schwab et ne savais pas que la plupart des gouvernements occidentaux étaient pilotés par ses « young global leaders ». Je n’avais pas encore compris ce que l’auteur anonyme mais  érudit du « Manifeste conspirationniste » a résumé dans une phrase de cet ouvrage hyper instructif : «  L’irréalité que nous vivons n’est pas celle d’une catastrophe qui sidère, mais celle d’un scénario que l’on déroule ». Bref, j’étais un âne qui a dû rattraper son déficit de connaissances  et prendre conscience que la mascarade covidienne était le fruit d’une opération psychologique soigneusement planifiée et menée dans le cadre d’un vaste projet globaliste pouvant s’apparenter à une « guerre secrète contre les peuples », pour reprendre l’expression clairvoyante de Claire Séverac. Ce qui m’a définitivement fait basculer dans la « théorie du complot »  est un détail importantissime souligné par Pierre Chaillot, à savoir que l’année 2019 a été la moins mortelle de tous les temps. Début 2020, le contexte était donc  idéal pour lancer la fable que la grippe  était devenue hautement létale et qu’une redoutable particule virale déferlait sur terre. L’objectif de ce narratif  fictif ? Nous tendre  bien évidemment le traquenard vaccinal et nous vendre l’injection expérimentale comme seule issue à la crise. Toutes les décisions aberrantes prises par les autorités s’éclairent à la lumière de cet objectif  suprême même pas dissimulé. Se pose à présent la question de savoir si cette gigantesque escroquerie pharmafieuse a été montée dans la seule intention d’engranger des profits faramineux. À mon avis, ce n’est pas le cas pour au moins trois raisons : 1) l’industrie vaccinale « traditionnelle » (GSK, Sanofi-Pasteur…) a été trop curieusement « doublée » par deux autres firmes américaines  (Pfizer et Moderna); 2) Ces mêmes deux labos US ont développé leurs produits en étroite collaboration avec le Pentagone ; 3) Cette mise en production supersonique a été précédée par l’ahurissante prohibition de remèdes potentiels et par l’incroyable occultation des voies de prévention naturelle. De toute évidence, il fallait absolument imposer l’ « unique solution » du vaccin et inoculer un maximum de Terriens un maximum de fois en un minimum de temps. Le but de tout ça ? En toute rationalité,  on peut imaginer qu’il s’agit de dépeupler la planète puisque la vaccination a déjà été utilisée à des fins de contraception et de stérilisation. Nous avons abordé cette hypothèse génocidaire dans le dossier de Senta Depuydt publié dans le Néosanté n° 127 (novembre 2022). Sans verser dans la déraison, on peut également penser que les pseudo-vaccins sont  des vecteurs de nanomatériaux et de nanostructures destinées à « augmenter » leurs receveurs. Toujours sous la plume de Senta Depuydt, nous avons indagué cette piste transhumaniste dans le Néosanté N° 131 (mars 2023). Personnellement, j’en suis arrivé  à la conclusion que la deuxième explication est la plus crédible : tout se passe comme si les comploteurs-vaccinateurs avaient ourdi de « graphéniser » l’humanité en vue de son asservissement numérique. La piquouze permet d’amasser du flouze mais elle est plus probablement un instrument de contrôle des masses par une clique de puissants psychopathes.

Des candidats épouvantails en pagaille

Si cette hypothèse est bonne, nous ne sommes pas sortis de l’auberge. L’oxyde de graphène est certes devenu un polluant  ubiquitaire, on le retrouve déjà un peu partout dans l’environnement et dans des produits de consommation courante. Avec ses « brigades anti-graphène », le journaliste-citoyen Dominique Guillet a accumulé les preuves que ce matériau « miracle » envahissait déjà nos organismes de mille et une manières. Le défaut du graphène, c’est qu’il s’élimine relativement facilement via la prise d’anti-oxydants. C’est pourquoi son administration délibérée doit être répétée à intervalles rapprochés et si possible par voie interne. Quoi de mieux, pour ce faire, que les vaccins et leurs nombreux rappels ? Comme en attestent des dépôts de brevet et des études publiées  dans des revues scientifiques, la technologie est au point et l’ingrédient graphénique pourrait s’être déjà secrètement invité dans certains cocktails vaccinaux. Si sa présence dans les fioles anticovid n’est pas encore indubitable, elle est hautement probable puisqu’une douzaine de chercheurs indépendants et bien équipés  affirment l’avoir repérée. Dans son dossier, Senta Depuydt dévoile les photos prises notamment par l’un de ses informateurs versé en microscopie électronique. Le hic pour les plandémistes, c’est que le coco  couronné n’épouvante plus grand monde, que  la toxicité des injections géniques commence à se voir et à s’avouer  (dernièrement par le ministre allemand de la santé) et qu’elles ne font  dès lors plus recette. Pour continuer à piquer tout ce qui bouge, il leur faut inventer rapidement  une nouvelle urgence sanitaire justifiant de nouvelles campagnes d’inoculations massives. Un réplique corona ? Peu envisageable car beaucoup  de mougeons ont compris que ce type de virus accompagne généralement des rhumes et des grippettes.  Le virus syncytial synonyme de bronchiolite ?  Pfizer a déjà demandé une autorisation de mise sur le marché pour son vaccin mais malgré les efforts de dramatisation  médiatique de l’hiver dernier,  la maladie n’est pas  assez effrayante pour susciter la panique.  Le virus Ebola ou sa variante de Marbourg récemment signalée en Tanzanie ? Ils ont l’avantage de terroriser mais les fièvres hémorragiques mortelles ont la fâcheuse habitude de rester cantonnées en Afrique.  La variole du singe ? Les psycho-opérateurs y ont peut-être pensé mais cette affection curable a également la manie de sélectionner ses victimes, en l’occurrence dans les milieux homosexuels. Un « bête » virus  influenza de base, alors ?  Vu que le H1N1 et son vaccin sont cramés depuis la  fausse pandémie de 2009, ça m’étonnerait beaucoup.   Non, il faut agiter un épouvantail plus terrifiant et agiter en même temps la fiole qui viendra tout régler. Le fléau tout trouvé, c’est à mon sens  la grippe aviaire.

Le virus parfait pour faire paniquer

Voici en effet un spectre qui fait bien peur. Depuis la tentative ratée de 2003  – à  peine quelques centaines de morts – les fabricants de pandémie ont entretenu le mythe que le virus  H5N1 se transmettait facilement de la gent ailée aux humains et que la maladie continuait à dévaster les élevages de volailles par vagues successives. En réalité, l’écrasante majorité des animaux sont euthanasiés « par précaution » pour enrayer la contagion. Sur  les centaines  de millions de poules, de dindes ou de canards sacrifiés depuis une vingtaine d’années, seule une infime minorité  manifestait des symptômes grippaux. La plupart ont été  abattus,  gazés ou atrocement asphyxiés par privation d’aération au motif qu’il fallait empêcher le virus de circuler.  Celui-ci n’a rien à voir avec l’holocauste, à peine peut-on le suspecter d’être impliqué dans de petites flambées grippales frappant les élevages industriels.  Du reste, rien ne prouve que le mal soit transmis par les oiseaux sauvages. Hormis quelques dépouilles  d’oies ou de grues considérées comme « cas confirmés » suite à un test PCR, on n’a jamais trouvé trace d’épidémie de grippe aviaire dans l’avifaune vivant en liberté. Quant à l’origine zoonotique de la forme humaine, inutile de préciser qu’elle n’a jamais été prouvée non plus. Qu’à cela ne tienne,  les viropathes et virocrates ont réussi à faire croire que le genre humain était désormais menacé  par une calamité bien pire que le covid. Depuis l’année dernière, les alertes et les abattages « préventifs » se multiplient un peu partout sur  la planète.  La grippe aviaire est le fléau plandémiste parfait  parce qu’il conjugue un double avantage vaccinolucratif : les vaccins pour les humains sont prêts depuis longtemps et ceux pour les volatiles sont également disponibles. La France envisage de vacciner toutes les volailles à l’automne 2023 et les États-Unis aussi. Voyez à travers cet article canadien et cet article de l’AFP comment tout ce plan est déployé sous la pression de « cabinets de conseil internationaux ». Étant donné que  les œufs et la viande de poulet sont des ressources alimentaires capitales pour la quasi-totalité de la population mondiale,  vous imaginez le jack-pot que ce marché représente et la « chance » qu’il offre de graphéniser à tour de bras. Mais il y a peut-être encore pire : cette fausse pandémie serait également une stratégie machiavélique  visant à ruiner les producteurs et à  provoquer des famines. Cela vous parait fou ?  Lisez le long dossier consacré à ce sujet par Dominique Guillet. Depuis le temps que je lis ses enquêtes approfondies et abondamment sourcées,  je ne l’ai jamais pris en défaut de propager des fake-news.  Son ton est corrosif, son style extrêmement incisif mais le contenu informatif qu’il partage gratuitement vient toujours étayer les opinions qu’il exprime. Ne soyez pas rebutés par la radicalité du propos et examinez objectivement ses avertissements et arguments. C’est du très très lourd ! Pour ma part, je n’ai rien à ajouter au  travail colossal que ce journaliste-chamane accomplit à l’aide de l’intelligence naturelle,  c’est-à-dire de plantes inspirantes et stimulantes. En guise de conclusion provisoire sur cette affaire de grippe aviaire,  je suggère seulement de se préparer à la « plandémie qui vient ». Comment ? Il me semble  prudent de se lancer dans le petit élevage de poules à l’abri des regards pour avoir au moins des œufs sains à se mettre sous la dent quand l’hystérie anti-volaille battra son plein. À défaut, il  faudra absolument privilégier les petits éleveurs bio qui ne vaccineront pas et garantiront l’absence de graphène à tous les échelons de la production. La guerre que l’on nous fait est loin d’être finie et il convient plus que jamais de résister.

                                      Yves RASIR

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