Cette fois, ils n’ont plus aucune excuse.  S’ils persistent à prétendre que le pseudo-vaccin est la seule ou la meilleure solution pour faire face à la pseudo-pandémie, les conseillers scientifiques et leurs perroquets politico-médiatiques finiront par se noyer dans leur mauvaise foi.  Ils n’ont plus d’alibi, ils ne peuvent plus ne pas savoir qu’il existe des traitements efficaces contre la grippe covid et que ces remèdes sont parfaitement inoffensifs puisqu’il s’agit de micronutriments naturels. La littérature médicale regorge en effet d’études montrant que de simples compléments alimentaires aident non seulement à prévenir les formes graves de la maladie, mais aussi à en guérir. La dernière preuve en date vient une nouvelle fois de Belgique, où un essai clinique a donné des résultats spectaculaires.

Quercétine-curcuma : le duo gagnant
Pour cette expérience menée dans les hôpitaux bruxellois du CHIREC entre avril et octobre 2021,  49 patients hospitalisés pour covid ont été répartis de façon aléatoire en deux groupes. Dans le premier,  24 patients ont reçu  pendant 14 jours de la vitamine D en plus des soins standard.  Dans le second groupe de 25 malades, c’est le complément alimentaire Nasafytol (composé de vitamine D, de curcuma et de quercétine) qui a été administré durant deux semaines en plus des traitements classiques. Les deux groupes présentaient les mêmes caractéristiques démographiques en matière d’âge, de sexe, de taille, de poids, d’ethnicité et d’IMC.  Résultats ? Impressionnants :  trois quarts des patients complémentés au Nasafytol   pouvaient quitter l’hôpital au bout d’une semaine car la sévérité de leurs symptômes avait chuté de moitié !  Dans ce groupe, il n’y a eu aucune aggravation, aucun transfert aux soins intensifs et aucun décès tandis que dans le groupe uniquement complémenté en vitamine D, cinq patients ont eu des complications sévères, avec un décès à déplorer. Certes, cette étude n’a pas encore été publiée dans une revue peer-review. La modestie de l’échantillon, les éventuels liens d’intérêt et l’absence de double aveugle posent également question. Mais quelle que soit l’ampleur de l’effet placebo, il est clair que la supplémentation en quercétine et curcuma a très bien fonctionné et qu’elle a permis de réduire fortement la morbidité et la mortalité attribuées au virus. Selon le Dr Jean Gérain, qui a supervisé l’essai clinique, l’effet bénéfique du complément alimentaire se manifeste au bout de 3 jours. Et même si cette étude ne le prouve pas, il est très probable que son action préventive soit tout aussi remarquable.

Vitamine D : l’ambiguïté
Si la vitamine D a été administrée aux deux groupes, c’est parce qu’il ne fallait plus démontrer son importance face aux infections virales en général, et face au covid en particulier.  On ne compte plus les études montrant que les taux sériques de cette hormone conditionnent l’évolution de la maladie, et c’est encore ce que souligne cette méta-analyse internationale : avec le calcium, la vitamine D est le micronutriment dont les niveaux dans le sang au moment de l’infection sont les plus prédictifs des risques d’aggravation ou des chances de guérison. Selon cette autre étude israélienne sortie en février, la corrélation entre la carence en vitamine D et la sévérité du covid est on ne  peut plus claire : la mortalité chez les personnes carencées a été de 25,6 % contre 2,3% chez celles ayant des niveaux suffisants (plus de 40 ng/ml). Autrement dit, les patients en déficit sanguin de vitamine D ont été 14 fois plus susceptibles de développer une forme de covid grave ou critique. Ces résultats suggèrent que la complémentation ne peut qu’être profitable en prévention et en traitement de la maladie. Le hic, c’est que la réalité ne se conforme pas toujours à la logique. Ainsi, la revue systématique citée plus haut ne permet pas d’affirmer l’intérêt de se supplémenter. Et tout dernièrement, l’étude Coronavit est venue jeter un froid chez les zélateurs de la vitamine D. Ce travail a été mené par des chercheurs britanniques auprès de 6 200 patients répartis aléatoirement en groupes supplémentés ou non. Grâce à la supplémentation, les taux sériques se sont normalisés chez les sujets déficitaires. Cependant, les analyses ultérieures ont montré que cette correction n’avait pas réduit le risque d’infection respiratoire aigüe.  En outre, aucun avantage notable n’a été constaté sur les taux d’hospitalisation et d’admission en réanimation. Il est donc certain qu’un manque de vitamine D expose à un grand péril mais il n’est pas du tout évident qu’un apport extérieur diminue le danger. Ce paradoxe tient probablement à la faible assimilation de certaines formulations, aux doses trop basses prescrites et à leur impact variable sur le système immunitaire. Moralité ? Faisons davantage confiance à la vitamine D synthétisée par le corps humain soumis au rayonnement solaire. À ce sujet, je rappelle encore une fois que les Afro-américains et les Européens d’origine africaine ont proportionnellement payé un bien plus lourd tribut à l’épidémie que les Occidentaux à peau claire. En raison de leur pigmentation qui les rend moins sensibles aux UV, les personnes de couleur ont un cruel besoin de soleil au sortir de l’hiver et il faudrait à mon sens leur recommander de fréquenter les salons de bronzage….

L’alimentation anti-covid
Si elle ne s’impose pas comme une priorité pour la vitamine D, la voie alimentaire fait cependant figure d’instrument prophylactique hors pair : les données scientifiques se sont aussi accumulées qui attestent qu’une meilleure nutrition exerce un effet protecteur majeur contre le covid. L’alimentation de type occidental est trop pauvre en végétaux et trop riche en produits industriels ultra-transformés. Ces deux caractéristiques favorisent une inflammation latente qui fait à son tour le lit des maladies chroniques (diabète, obésité, hypertension…) et qui rend plus sensible aux infections. Un mauvais état nutritionnel est également propice au stress oxydatif, lequel a un impact délétère sur le système immunitaire.  À l’inverse, une alimentation  anti-oxydante et anti-inflammatoire favorise une  plus solide immunité. Concernant le covid, des études épidémiologiques  ont clairement mis en évidence que le contenu de l’assiette faisait la différence.  Par exemple, chez les agents de santé  de six pays, ceux qui avaient des régimes à   dominante végétale et plus faibles  en viandes rouges et  transformées avaient entre 59 et 73% de risque en moins de développer un covid modéré à grave. De même, une étude polonaise a révélé  que les personnes consommant quotidiennement 500 g (ou plus) de légumes et de fruits et 10 g (ou plus) de noix avaient un risque de covid  inférieur de 86% à celles qui en consommaient de plus faibles quantités. Plus généralement, l’adhésion  à un régime de type méditerranéen a été corrélée à un moindre pourcentage de personnes infectées et décédées du covid. Tel a été le  cas dans 23 pays et dans 17 régions d’Espagne auscultés par des chercheurs universitaires de Cambridge.  Je  ne vais pas être plus long et vous donner les références car vous pouvez les retrouver dans cet article du site The Conversation  où les chercheurs français en nutrition Michel Duru et Anthony Fardet mettent les pendules hippocratiques à l’heure en rappelant tout le pouvoir thérapeutique d’une alimentation saine et équilibrée. Si vous ne connaissez pas Anthony fardet, c’est que vous ne lisez pas, ou pas assez attentivement, le mensuel Néosanté : ce pourfendeur de la malbouffe est le concepteur de la « règle des 3 V » (manger plus vrai, plus végétal et plus varié) et je recense toujours ses ouvrages dans la rubrique « Espaces livres » de la revue.

Les huiles amies du poumon
Dans une autre page rédigée par mes soins, la rubrique « Nutri-infos », je tâche de résumer chaque mois les avancées de la science nutritionnelle. Dans le numéro de mai, je mentionne notamment une étude américaine qui a cherché à savoir si un apport en vitamine A (rétinol) ou en provitamine A (terme regroupant les caroténoïdes alimentaires que l’organisme peut convertir en rétinol) pouvait être associé à une meilleure fonction pulmonaire chez les enfants.  Résultats : le risque de trouble respiratoire obstructif et  d’asthme à l’adolescence est bien réduit par un apport plus élevé de vitamine A durant l’enfance, mais pas par le carotène. Cela  confirme ce que les données animales avaient déjà montré, à savoir que l’acide rétinoïque procuré par la vitamine A joue un rôle précoce crucial dans le développement des alvéoles pulmonaires. À quand le retour de la cuillère quotidienne d’huile de foie de morue ? Cette huile de poisson est en effet très riche en vitamine A et nos grands-mères avaient donc bien raison de la faire avaler aux enfants pour stimuler la santé de leurs poumons. Si ça se trouve, ce rituel serait bien plus efficace que le port du masque et la distanciation sociale en prévention de la grippe covid ! Dans une autre étude que je résumerai le mois prochain,  des chercheurs ont examiné la consommation d’huile d’olive par près de 100 000 participants suivis pendant 28 ans. Non pas pour enfoncer une porte ouverte et mesurer la réduction  du risque cardiovasculaire mais pour évaluer l’influence du fruit de l’olivier sur la mortalité générale et sur la mortalité liée à d’autres causes spécifiques. Les résultats sont assez stupéfiants car ils montrent qu’une consommation élevée d’huile d’olive est associée à une diminution de 19% du risque de décès toutes causes, ainsi qu’à une réduction de la mortalité par cancer (-17%), par maladie neurodégénérative (-29%) et par affection respiratoire (-18%). Ainsi donc, le simple fait de cuisiner à l’huile d’olive et d’en assaisonner généreusement ses salades réduit quasiment d’un cinquième le risque de succomber à une maladie touchant les poumons. Si ça se trouve toujours, cette seule bonne habitude serait donc d’une efficacité  préventive contre le covid supérieure à celle attribuée aux vaccins ! J’extrapole hâtivement, mais c’est pour souligner la puissance médicinale insoupçonnée des aliments de qualité présents sur nos tables. Au lieu de déclarer ridiculement la guerre au virus,  le  satrape mondialiste qui s’apprête à rempiler à l’Élysée  aurait pu brandir le rameau de la paix et vanter l’olive comme moyen parmi d’autres d’améliorer décisivement  le terrain. Hélas, on sait maintenant que sa mission présidentielle est de semer la mort en cachant  que  la médecine fonctionnelle  et nutritionnelle  peut sauver beaucoup de vies. Si cette vraie crapule est réélue, sûr que la fausse solution vaccinale continuera d’être préférée et de plus en plus imposée.

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