Les vaccidents cachés

Yves Rasir

Malgré l’omerta des médias et l’aveuglement volontaire des autorités sanitaires belges ou françaises qui refusent toujours de divulguer les chiffres de mortalité selon le statut vaccinal, la terrible réalité ne peut plus être niée : l’injection génique expérimentale blesse et tue dans des proportions inédites et dramatiques. En Grande-Bretagne, où les données ne sont pas tenues sous le boisseau, la tendance des injectés à mourir plus souvent et plus précocement que les autres est d’ailleurs officiellement reconnue. Une nouvelle étude effectuée ce printemps vient de montrer que les femmes multivaxxées étaient nettement plus à risque de décéder que les non-vaxxées. Comme l’a encore exposé lumineusement le statisticien Pierre Chaillot dans une longue conférence tenue le 21 juillet dernier, il ne fait aucun doute que les pics de décès enregistrés depuis deux ans et demi dans les pays massivement vaccinés sont imputables aux campagnes vaccinales contre le covid. La corrélation temporelle est limpide et la surmortalité toutes causes confondues dans toutes les tranches d’âge confirme indéniablement le lien de causalité. Pour le dissimuler et s’exonérer de toute responsabilité, les gouvernementeurs vont évidemment brûler leur dernière cartouche en faisant croire que l’hécatombe peut s’expliquer autrement, et notamment par le vieillissement de la population. Ainsi que le relate le blogueur Patrice Gibertie, c’est le stratagème qui vient d’être employé au Japon et il faut s’attendre à ce que tous les pays décimés usent de la même fraude grossière pour cacher la poussière macabre sous le tapis. En dépit de leurs efforts de camouflage, les vaccina-tueurs finiront cependant par devoir admettre l’ampleur du désastre. Ils ne pourront pas éternellement se voiler la face sur le fait que les piquouzés sont anormalement fauchés avant l’heure. Davantage encore que les statistiques, l’accumulation des disparitions énigmatiques finira bien par faire tomber les œillères. Histoire d’accélérer le dévoilement, je plaide cette semaine que de nombreux trépas inattendus et inexpliqués sont probablement des vaccidents(*) passés inaperçus.

Les cancers en mode turbo

Dans le journal Le Soir, j’ai lu ce matin le récit bouleversant du calvaire d’Alexina, une maman de 36 ans atteinte d’un cancer du côlon en phase terminale et dont l’euthanasie a tourné au cauchemar. N’arrivant pas à la faire partir avec leurs drogues létales, le médecin et les infirmières l’ont achevée en l’étouffant sous un coussin ! Sans plus de précision, le quotidien raconte que la maladie s’est déclarée en 2021 et qu’elle a été tellement fulgurante que la  jeune femme était déjà considérée comme condamnée avant la fin de l’année. Vu qu’elle était gardienne d’enfants, on peut supposer qu’elle était vaccinée et qu’elle a même été une des premières Belges à recevoir la piqûre, dans la foulée des « catégories vulnérables ». Depuis deux ans, qui n’a pas entendu d’histoire semblable ? Qui n’a pas une connaissance qui est décédée très rapidement d’un cancer foudroyant ? Au début de l’été, l’un de mes ex-beaux-frères s’en est allé à 64 ans dans des circonstances similaires : un cancer colorectal qui l’a emporté en moins de 9 mois. En discutant avec des résistants, j’ai entendu à maintes reprises des récits identiques de personnes en pleine santé et encore jeunes,  diagnostiquées d’une tumeur peu après une dose du vaccin et enterrées quelques mois plus tard à peine. Certes, les fact-checkers sont passés par là, notamment ceux de TF1, pour nous jurer qu’il y avait fake-news sous roche. En mars dernier, un collectif de 50 cancérologues français a même signé une tribune pour « réfuter cette théorie ». Mais c’est à mes yeux plutôt le double aveu que l’establishment covidiste commence à culpabiliser. Cachez ces turbo-cancers que nous ne saurions voir sans réaliser l’horreur de nos crimes….

L’épidémie de morts subites

Plus expéditifs que le cancer-express, l’AVC et l’infarctus sont également soupçonnés de sévir préférentiellement parmi les vaccinés. Et comme de bien entendu, le lien causal est également nié par les autorités. Celles-ci reconnaissent un risque plus élevé de myocardites et péricardites mais n’admettent toujours pas que l’inflation des crises cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux soit une conséquence des injections. Ici encore, je pense que l’addition de témoignages et de cas vécus permettra sous peu de faire bouger les lignes et d’ébranler les bonnes consciences.  Qui ne connaît pas quelqu’un de moins de 70 ans qui est décédé subitement ou qui a frôlé la mort peu de temps après sa dernière rasade d’ARN messager ?  Il y a trois semaines, je vais à une fête dans un village voisin du mien et je sympathise avec une charmante sexagénaire malheureusement vaccinée. Elle me raconte que sa santé s’est instantanément dégradée suite au vaccin et qu’elle a fait un infarctus ayant failli l’envoyer au cimetière. La semaine suivante je revois cette dame en compagnie d’une autre femme encore plus jeune et elles papotent d’un cours du soir hebdomadaire qu’elles suivent ensemble. Je demande innocemment s’il s’agit de yoga ou de salsa et elles me répondent qu’il s’agit d’ateliers de revalidation cardiaque :  la copine de ma nouvelle  amie avait également flanché du cœur peu après la piquouze ! Pour deux habitantes d’un même patelin, combien d’autres passent sous le radar ? Of course, les médecins traitants de ces deux rescapées n’ont pas fait le lien avec le vaccin. Tant que le bruit statistique n’est pas assourdissant, ils resteront accrochés à leur croyance que le produit administré  est « sûr ». Je pense néanmoins que la vérité va percoler et qu’eux aussi se rendront prochainement à l’évidence. Selon une amie « complotiste » qui  a interrogé son cardiologue, ce dernier n’a jamais vu une telle épidémie de morts subites dénuées de signes avant-coureurs. Suivra-t-il l’exemple de son confrère Aseem Malhotra ?  Provaccin convaincu, ce cardiologue britannique a changé radicalement d’opinion et est devenu lanceur d’alerte lorsqu’il a vu son père en bonne santé passer la rampe sans crier gare. Rien de tel qu’un choc qui vous affecte personnellement pour progresser en lucidité….

Des crashs karmiques ?

Sans pouvoir le prouver, je suis pour ma part persuadé que certains accidents d’avion ou de la circulation sont aussi un « effet secondaire » du vax. Et comme j’ai toujours cru à la justice immanente, c’est-à-dire à  l’évolution naturelle du monde vers du plus de conscience grâce à l’action de forces invisibles, je n’ai pas été surpris par deux faits divers récents. Le 15  août, le journaliste Gérard Leclerc s’est crashé avec son avion de tourisme. Il y a perdu la vie et les deux autres personnes à bord n’ont pas survécu non plus. Or l’ancien reporter de France 2 était bon pilote et rien ne laissait présager le drame. Plus étonnant encore : dimanche dernier, le comédien Mathieu Kassovitz s’est grièvement blessé au guidon de sa moto. Plus de frayeur que de mal au final ( juste une fracture du fémur et de la cheville), et l’acteur s’est déjà exprimé en déclarant « avoir chuté connement ». C’est le moins qu’on puisse dire  puisqu’au sortir d’un virage, il a fait une sortie de route incompréhensible et est allé percuter une rambarde de sécurité. Comme il suivait un cours de perfectionnement au pilotage de son deux-roues, on peut difficilement conclure à une imprudence de novice. Ce qui m’a troublé dans ces deux affaires, c’est que les deux protagonistes s’étaient tristement distingués en prenant part à  l’hystérie covido-vaccinaliste.  Sur le plateau de C-News, Gérard Leclerc avait affirmé haut et clair son soutien au passeport sanitaire et lancé lors d’un débat qu’il trouvait normal que les gens non-vaccinés soient discriminés. Quant à Mathieu Kassovitz, il avait poussé en août 2021 une gueulante contre les manifestants antipass et antivax sur le plateau de RMC. Pour lui, à ce moment-là en tout cas, les opposants à l’injection n’étaient que des ignorants d’autant plus stupides qu’ils devaient la vie au génie de Pasteur.  N’est-ce pas curieux que ces deux apôtres du vaccin et du pass vaccinal soient les victimes de deux crashs mystérieux ? C’est peut-être le moment de se rappeler que chez les bouddhistes, la destinée d’un être vivant est régie par la loi du karma voulant qu’on finisse toujours par payer ses mauvaises actions passées….

D’étranges trous noirs

À l’appui de mes hypothèses « vaccidentielles », je peux déposer le témoignage très émouvant d’une jeune fille rencontrée cet été à un barbecue résistant. Elle s’y trouvait parce qu’elle se posait des questions sur la vaccination et sur la relation éventuelle avec son grave accident de voiture survenu en 2021, peu après sa première dose. Le crash a été terrible et elle en est sortie par miracle, après des semaines de coma et de multiples opérations. Elle a remonté sa manche gauche et nous a montré son bras complètement déformé et couvert d’affreuses cicatrices. J’en suis encore bouleversé en l’écrivant.  De la soirée tragique, la jolie demoiselle se souvient qu’elle n’était absolument pas sous l’influence de l’alcool mais bien accablée de fatigue depuis l’injection quelques jours auparavant. S’est-elle endormie au volant ? A-t-elle perdu connaissance ? En tout cas, la miraculée ne conserve aucun souvenir des quelques secondes qui ont précédé l’impact presque fatal. C’est le trou noir complet et cela accrédite le scénario de l’évanouissement. En écoutant ce récit poignant, je me suis souvenu qu’un autre accident spectaculaire avait fait couler beaucoup d’encre au printemps. Le 30 mars dernier, au volant de sa Mercedes, le footballeur professionnel Sofian Kiyine a foncé à toute allure sur le mur d’un hall omnisport et sa voiture a été catapultée dans les airs avant d’atterrir au milieu de la salle. Si des enfants avaient occupé les lieux à ce moment-là, c’était le carnage !  Bien qu’ayant bu un peu, le conducteur n’était pas ivre et il ne peut expliquer la vitesse très excessive de son véhicule. Il plaidera au tribunal qu’il  a été sujet à un malaise et il évoque lui aussi un « trou noir » pour justifier son embardée obscure. Est-ce encore  un « événement indésirable » du pseudo-vaccin ?  Je n’affirme évidemment rien mais la probabilité qu’il provoque des syncopes à retardement n’est certainement pas à négliger. En suscitant la création de micro-caillots responsables de mini AVC, la fiole toxique pourrait très bien être à l’origine des collisions inexpliquées. En lisant le journal, j’ai appris dernièrement que les accidents de la route ralentissaient en fréquence après deux années d’augmentation sensible en 2021 et 2022. Je serais vraiment curieux de voir si les courbes de la mortalité automobile épousent celles des campagnes vaccinales. De toute façon, il faut bien trouver des explications à l’incontestable surmortalité qui leur est liée au lieu de se mettre la tête dans le sable.

Yves Rasir 

(*) Un peu déçu ne pas l’avoir inventé moi-même, j’emprunte ce mot-valise à Dominique Guillet. Sur son fil Telegram des « Brigades anti-graphène », ce journaliste-citoyen très engagé a recensé de très nombreux « vaccidents » éminemment suspects. 


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