Suite et fin de notre « dodécalogue », la liste des 12 recommandations que nous soumettons à nos lecteurs pour éviter de contracter une grippe covid ou d’en manifester les symptômes trop sévèrement. Nous en étions restés mercredi dernier au « pouvoir du souffle » et le 7ème conseil porte une nouvelle fois sur l’oxygénation.
 
7) À l’ozonothérapie tu penseras
 
La semaine dernière, j’ai eu le plaisir d’animer une conférence en présence de deux médecins normaux, c’est-à-dire de deux médecins quireçoivent ou visitent leurs patients et les soignent précocement au lieu de les laisser en plan ou de les envoyer à l’hôpital en cas de covid. L’un des deux généralistes qui ont partagé leur expérience était le Dr Thierry Schmitz, figure bien connue des médecines alternatives en Belgique et toujours à la pointe des traitements naturels innovants. Comme son confrère, le Dr Schmitz n’a déploré aucun décès parmi les nombreux malades du covid qu’il a eu à traiter. Outre l’injection de vitamine C en intraveineuse, ce vrai disciple d’Hippocrate a recouru à l’ozonothérapie pour aider ses patients à oxygéner leur sang. Venue d’Allemagne, cette méthode consiste à prélever du sang et à y insuffler de l’ozone avant de le réinjecter dans la circulation. Comme l’indique sa formule chimique (03), l’ozone est en effet une molécule plus riche en oxygène que l’oxygène lui-même, et qui ne répugne pas à partager ses atomes. Une séance d’ozonothérapie consiste à prélever 10 fois 200 millilitres de sang, à y insuffler le gaz oxygénant et à le réinjecter au patient qui repart ainsi avec 2 litres de sang remis à neuf. La machine fait merveille en prévention de la désaturation et le Dr Schmitz a d’ailleurs constaté par vidéo que des collègues chinois l’avaient utilisée à Wuhan. Tolérée en Belgique, cette approche est malheureusement prohibée en France, ce qui oblige les Gaulois réfractaires aux interdits à franchir la frontière. Dans cette interview, Thierry Schmitz explique clairement comment se déroule un protocole d’ozonothérapie et ce qu’on peut en attendre. Les abonnés du mensuel Néosanté se souviendront que notre revue a consacré un article à ce procédé dans son numéro 81 de septembre 2018.
 
8) Ton sang tu fluidifieras
 
Restons focalisés sur le système sanguin car les problèmes de coagulation sont, avec l’hypoxie qui leur est liée, la principale complication du covid. Comme l’ont révélé des autopsies, les microthromboses au niveau des capillaires pulmonaires sont plus nombreuses que dans une grippe ordinaire. Personnellement, je pense que la campagne de terreur orchestrée par les gouvernements n’est pas étrangère à ce phénomène et je m’en suis expliqué dans l’infolettre intitulée « On leur a glacé le sang ». Mais il est évident aussi qu’une intoxication chimique (mercure ? oxyde de graphène ?) peut avoir pour résultat d’épaissir le sang et d’y créer des caillots. S’il s’avère que la protéine spike est une toxine coagulante et que les vaccinés la propagent, cela pourrait également expliquer les vagues de « contaminations » concomitantes aux vagues de vaccination. Avant de passer aux anticoagulants si nécessaire, il est donc judicieux d’adopter les bons gestes permettant d’améliorer naturellement  la fluidité de son liquide vital. En cuisine, privilégiez les aliments comme l’ail, le curcuma ou le gingembre. Rayon compléments alimentaires, optez pour la vitamine E, les Oméga-3, la bromélaïne (une enzyme extraite de la tige de l’ananas) et la nattokinase, une autre enzyme provenant du natto, un plat à base de  soja fermenté. Bien sûr, la pratique d’une activité physique régulière participe à la fluidification du sang, de même qu’une bonne hydratation. Toutes les bonnes astuces naturelles pour fluidifier le sang, vous pouvez les retrouver sur cette page web bien fichue. Mais il y  manque une solution et non des moindres : l’hirudothérapie. Ainsi que je vous l’ai déjà confié, l’application de sangsues est LE moyen par excellence de prévenir et de traiter les troubles thrombotiques. Il existe malheureusement trop peu de thérapeutes versés dans cette technique ancestrale peu ragoûtante mais diablement efficace.
 
9) Au sport ou au sauna tu sueras
 
En naturopathie, la règle d’or est d’abaisser le niveau de toxémie en stimulant les émonctoires principaux que sont le foie, les reins, les poumons, les intestins et la peau.Le sport est à cet égard une médecine polyvalente car il permet, à suffisante intensité, de dynamiser toutes les voies d’épuration corporelle. L’exercice physique induit notamment une accélération du transit et, comme le montre un nombre croissant d’études, il favorise un changement positif de la composition du microbiote intestinal.À ma connaissance, aucun sportif professionnel n’est encore décédé du covid. Beaucoup d’athlètes ont succombé après l’injection génique expérimentale mais je ne sache pas qu’un seul d’entre eux a payé le prix fort à la maladie. Plusieurs recherches scientifiques, celle-ci entre autres, ont démontré que la sédentarité augmentait considérablement le risque d’hospitalisation et de décès en cas d’infection covidienne.  Si, pour l’une ou l’autre raison, vous ne pouvez pas vous dépenser physiquement, sachez que la peau est un émonctoire majeur et que, par le biais de la sudation, vous pouvez en partie compenser votre inactivité. Pensez donc à vous faire couler des bains chauds ou, mieux, à faire régulièrement du sauna. Personnellement, j’ai acquis il y a longtemps déjà une cabine infra-rouge.  Ce type de sauna domestique est à la fois efficace et économique car on y sue déjà abondamment à partir de 45°C. Les lampes infra-rouge prodiguent aussi d’autres bienfaits non négligeables.  Avec les rayons UV du soleil (ou du banc solaire !) permettant de synthétiser la vitamine D, c’est une frange du spectre lumineux à haut pouvoir thérapeutique.
 
10) La fièvre tu respecteras
 
La preuve que suer est bon pour la santé, c’est que le corps humain se met automatiquement en hyperthermie en cas de maladie infectieuse. La fièvre est un symptôme que tout naturopathe vous encouragera à ne pas combattre, et même à favoriser comme le faisaient nos aïeux en enfouissant les malades sous des couvertures. Timidement mais sûrement, la médecine allopathique commence d’ailleurs à reconnaître que les épisodes fébriles sont de nature à impulser les guérisons spontanées, du moment que la température atteinte demeure supportable. Pour rappel, le prix Nobelde médecine André Lwoff a démontré dans les années 60 que la fièvre jouait un rôle guérisseur dans les infections virales ou bactériennes. Il est totalement scandaleux que ses travaux et découvertes demeurent toujours ignorés de nombreux médecins et qu’ils ne soient pas enseignés aux carabins. Et ce qui est véritablement dramatique dans le contexte actuel, c’est que les protocoles anticovid officiels recommandent toujours de faire appel à un fébrifuge comme le paracétamol. Outre sa toxicité pour le foie et l’épuisement du glutathion qu’il entraîne, ce médicament a en effet le grand tort d’être antipyrétique, ce qui en fait une molécule doublement dommageable. Autant que possible, il faut laisser notre thermostat interne faire son travail et permettre à la chaleur de carboniser les microbes et particules virales devenues inutiles. En cas de fièvre ou de douleurs trop fortes, l’aspirine sera préférable car cette dernière a l’avantage d’être légèrement anticoagulante. Mais n’oublions pas que selon une étude scientifique que j’ai déjà maintes fois citée, l’abus d’acide acétylsalicylique a très probablement aggravé les ravages de la grippe espagnole en 1918.  Ne commettez pas la même erreur avec la grippe covid !
 
11) Au jeûne tu te mettras
 
Un autre geste que conseillera immanquablement un naturopathe, c’est celui de jeûner régulièrement pour rester en bonne santé et se construire une bonne immunité. Au moindre signe de maladie infectieuse, le réflexe sera également de s’abstenir de manger. Mettre le système digestif au repos complet est un puissant moyen de guérir un grand nombre de pathologies. Et se forcer à s’alimenter, c’est le meilleur moyen de les empirer. Bien sûr, aucune étude de grande ampleur n’a exploré l’efficacité du jeûne pour affronter la grippe covid. Ce qui ne peut rien rapporter financièrement n’a guère de chances de figurer dans des programmes de recherche. Heureusement, il existe un pays – l’Allemagne – où les médecines naturelles sont moins méprisées qu’ailleurs et où la pratique du jeûne thérapeutique peut se faire avec suivi médical dans des institutions spécialisées, les cliniques Buchinger Wilhelmi. Celles-ci ont mis au point un protocole en prévention du covid long et l’ont testé avec quelques patients. Comme vous pouvez le lire ici, le personnel soignant a constaté des « améliorations stupéfiantes » et des « rétablissements spectaculaires » chez les malades soumis à ce « traitement ». Ce compte-rendu enthousiaste n’est pas un article scientifique peer reviewed mais il devrait néanmoins attirer l’attention car il suggère que le jeûne est puissamment agissant sur l’infection. Une amie chère à mon cœur a soigné ainsi sa maman covidée en 2020, en la mettant à la diète puis en la réalimentant en douceur avec des jus de légumes. Malgré son âge et son diabète, la dame s’est rétablie en quelques jours. Chez les jeûneurs expérimentés, il y a les partisans du jeûne hydrique (on ne mange pas mais on continue à boire de l’eau, des tisanes ou des bouillons) et les défenseurs du jeûne sec. Couramment pratiquée en Russie, cette seconde méthode implique de ne consommer ni solide ni liquide. Selon ses promoteurs, elle renforce l’efficacité du jeûne et en accélère les effets. Nous lui avons consacré un article dans la revue Néosanté n° 101 de juin 2020.
 
12) Aux traitements conventionnels éprouvés tu te résoudras
 
Quitte à en fâcher plus d’un, je me refuse à chanter les louanges de l’hydroxychloroquineet de l’ivermectine. La première n’est pas dénuée de toxicité et la seconde est une calamité environnementale. Les vétérinaires savent que le crottin d’un cheval traité à l’ivermectine devient poison pour les insectes et les poissons.
Si de nombreux humains en consommaient, les dégâts sur la faune aquatique seraient immenses via les eaux usées ! Vous pouvez en juger ici. De plus, les études sur ces deux médicaments chimiques sont contradictoires et les échos que j’en ai ne plaident guère en leur faveur. Ces derniers mois, j’ai reçu moult témoignages indiquant que la prescription hâtive de chloroquine ou d’ivermectine n’avait pas infléchi le cours de la maladie ni empêché son aggravation. En revanche, patients traités et médecins traitants sont unanimes sur les performances de l’azithromycine ou d’autres antibiotiques courants. C’est aisément compréhensible car les complications du covid résident souvent dans une surinfection bactérienne secondaire, la grippe « tombant sur les poumons » et se muant en pneumonie.  C’est d’autant plus logique que les antibiotiques ont un effet anti-inflammatoire et que l’inflammation exacerbée – les fameux orages de cytokines – constitue un facteur de sévérité bien identifié. Au demeurant, l’intérêt de tempérer l’inflammation par l’administration de cortisone – sous forme de dexamathosone en particulier – n’est plus à démontrer : la littérature médicale regorge de preuves qu’elle a permis de réduire la mortalité au fil des vagues. Dans son arsenal, la médecine classique possède aussi les anticoagulants, médicaments décalqués sur la bave de sangsue et qui peuvent également sauver la vie s’ils sont prescrits à bon escient et au bon moment. Bref, notre dernier « commandement » est de faire confiance à l’art de guérir conventionnel lorsque les moyens naturels de prévenir et de soigner ont échoué. Car contrairement à ce que martèlent les autorités sanitaires et les gouvernements depuis deux ans, votre médecin n’est pas démuni face au covid et rien ne justifie la politique du « tout vaccin ». À la conférence que j’ai animée la semaine dernière, le deuxième praticien qui partageait son expérience m’a aussi confirmé que l’oxygénation ambulatoire pouvait parfaitement suffire à soulager la plupart des détresses respiratoires. Officiellement, il faudrait déjà s’inquiéter avec une saturation inférieure à 95 et foncer à l’hôpital si le plancher de 90 est dépassé. Or ce toubib a fait oxygéner chez eux des patients descendus jusqu’à 80 et même 70 !  Ne pas paniquer et ne pas faire paniquer, c’est sans doute le meilleur conseil à vous donner pour conclure ce protocole « labellisé » Néosanté.  

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5 commentaires

  1. Personnellement en tant que thérapeute , j’utilise la serrapeptase à haute dose pour diminuer les D dimères : action rapide
    argent colloidal (de qualité) en aérosol pour les voies respiratoires si toux covid ou par voie orale si pas de toux
    + le reste vit D+K, zinc, vit C ,Nac etc..

  2. ce dossier pourrait bien servir a monter une plainte contre les ARS et autres instances .
    En effet , les conseils prodigués officiellement sont sytematiquement néfastes pour les patients .
    On peut alors supposer une préméditation pour empoisemnt (pseudo_vaccin) , tentative d’assassinat par mauvais traitment (empecher et interdire les soins efficaces , doliprane ,non oxygenothérapie et meme interdiction )
    On rajoutera les consignes de réanimation officielles ( remdesivir , autre ,mise en intubation avec risque av/risque défavorable )
    et consignes inversées néfastes (voir video CHU marseille ‘réanimation) dr Foucher ), alors inconnu .
    Tout cela et la liste non exhaustive , devrait constituer un réseau de présomptions accusatoires ).

  3. Bonjour ! hors sujet, totalement 🙂
    Quel est votre avis sur le protocole de prévention du cancer d’André Gernez ?
    (je suis une récente abonnée, donc excusable si vous avez déjà abordé le sujet, qui ne date pas d’hier :-))
    Merci pour votre travail,
    Cordiaux messages,
    Jackie

  4. Bonjour,
    Concernant les traitements allopathiques, il ne faut pas jeter le bébé » avec l’eau du bain; hydroxychloroquine a bien montré ses effets, mais si elle est prise précocement. l’ivermectine, comme tous les médicaments habituels, probablement, est peut-être toxique pour l’environnement (que dire des produits de chimiothérapie cancéreuse retrouvés dans les eaux ? ) mais a bel et bien fait ses preuves, dans les covids longs aussi apparemment. Lire cet article qui en parle https://bernardrentier.wordpress.com/2021/12/22/reconsiderer-livermectine-dans-le-contexte-de-la-covid-19/?fbclid=IwAR0mEzQDJ3cvW-DW74pwkqnk0IeXD4RC8OvRpTT3uxc6nIPgvN0L8Essn1o; De nombreuses études montrent son efficacité. Sans défendre forcément les molécules chimiques, pour autant; la nigella sativa (cumin noir) peut fort bien la remplacer, et ne revient pas plus cher. C’est aussi un gros souci de l’IVM : son prix! Et le fait qu’elle soit sous les radars de « l’ordre » dominant. Il est surtout primordial d’avoir une bonne hygiène de vie générale, éviter tous les toxiques environnementaux, de garder le moral et d’éviter à tout prix les carences en zinc, vitamine D et vitamine C, mais pas que; une alimentation de qualité, biologique, riches en végétaux peuvent certainement aider à maintenir une bonne santé et une longue vie heureuse…

    • En réponse tardive, mais en effet vous avez raison.. Ce que vous donnez à lire Mr Razir est une sources wikipédia (?)… alors « Nein danke ! »

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