Quatre objections au regain de fiction

Quatre objections au regain de fiction
Yves Rasir

Y-a-t-il encore dans la résistance des personnes pour mettre en doute ce que j’ai appelé la deuxième doxa du covid, à savoir l’origine artificielle du virus et sa fuite d’un laboratoire travaillant sur les « gains de fonction » ? Des deux côtés de l’Atlantique, j’ai l’impression que ce narratif doublement virophobique – les virus sont nos ennemis et l’Homme peut les rendre plus dangereux – ne souffre plus aucune discussion. Le récit du coco trafiqué en labo et évadé d’une éprouvette avant de déferler sur la planète prend des allures de dogme valant excommunication pour ceux qui le contestent. Il nous revient par exemple que Néosanté n’est plus du tout en odeur de sainteté au sein du CSI (Conseil Scientifique Indépendant) et de l’AIMSIB (Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante).  Dans ces deux cénacles dissidents, notre réticence à prêter foi au « scénario labo » commence à agacer les gardiens de la doctrine qui nous auraient rayés des médias fréquentables. Inutile de dire que ça nous laisse froid et que cette aversion pour le débat ne nous empêchera pas de le maintenir ouvert. À nos yeux, la théorie du « lab leak » ne tient pas la route et nous en avons déjà maintes fois souligné les faiblesses et les incohérences. Sous la plume de la microbiologiste Hélène Banoun, l’AIMSIB vient de publier un nouvel article censé emporter les convictions et démontrer le sérieux de la piste Gof (Gain of Fonction), comme disent les Anglo-Saxons. Et c’est vrai qu’à première lecture, cette enquête approfondie et documentée accrédite l’hypothèse virale et celle de la manipulation ayant mal tourné. Avec tout le respect que j’ai pour son auteure, cet opus n’a pourtant pas ébranlé mon viroscepticisme ni amoindri ma mécréance envers la version du virus « Frankenstein » ayant échappé à ses créateurs.

1. L’hypothèse virologique est superflue

    Une objection majeure s’impose dès la première ligne du texte. Hélène Banoun écrit en effet que « Pour comprendre l’origine du virus de la Covid et la gestion de la crise qui en a résulté, l’approche virologique est bien sûr indispensable. » Et bien non, justement, l’approche virologique  n’est pas indispensable ! Elle le serait si « la pandémie de covid-19 », comme l’écrit également Hélène, avait réellement eu lieu. Le problème, c’est qu’elle n’a pas eu lieu !  Je sais que je me répète beaucoup mais il est très important de rappeler encore et toujours la vérité : la pandémie n’a jamais existé ! Il y a eu une pandémie de peur, une pandémie de tests, une pandémie de iatrogénie, une pandémie d’abandon de soins et de mesures sanitaires délétères, une pandémie d’assassinats au Rivotril, une pandémie de gouvernemensonges et de statistiques falsifiées, mais il n’y a pas eu de fléau viral justifiant le développement des injections expérimentales ou le recours à un arsenal médicamenteux spécial. Les livres de Laurent Toubiana, Eusèbe Rioché et Pierre Chaillot, ainsi que les travaux  de Denis Rancourt, apportent les preuves irréfutables qu’il ne s’est rien passé d’inhabituel en 2020. Pas de surmortalité anormale, aucune saturation hospitalière, juste une banale saison grippale à peine plus sévère que d’ordinaire.  Pas de quoi fouetter un corona ou un influenza. Sans les fraudes au dépistage et à la codification (les deux clés de cette gigantesque escroquerie), la coque serait restée vide et les concepteurs de cette évidente opération psychologique auraient échoué dans leur mission de faire paniquer pour rien.  Comme l’a dévoilé Pierre Chaillot, il n’y a même pas trace d’une quelconque propagation virale dans toute cette histoire, et même dans toute l’histoire des épidémies : juste la manifestation synchrone de syndromes grippaux fortement corrélés aux circonstances atmosphériques. Pour comprendre ce qui s’est passé, l’approche virologique est donc parfaitement superflue. À mon sens, cette dernière est même ce qui empêche de comprendre les vraies origines de la pseudo crise sanitaire.  

    2. Même le covid long est une fiction

    Admettons néanmoins que les experts en ingénierie sociale aient également tablé sur de l’ingénierie virale et qu’une particule traficotée se soit fait la malle pour aller répandre le mal. Si c’était le cas, on aurait vu la différence, non ? Les médecins auraient rencontré de l’inédit et du peu courant.   La chronologie  et  la symptomatologie auraient dérogé, fût-ce légèrement,  aux habitudes saisonnières. Bernique :  comme cette année et comme toutes les autres années, la grippe baptisée covid a piqué du nez dès que le printemps 2020 a montré le bout du sien. Et comme je l’ai souligné dans de nombreuses newsletters, rien ne permet d’affirmer qu’une nouvelle maladie avait émergé au cours de l’hiver. Aucun symptôme ne lui est propre, le tableau clinique n’a rien de spécifique et même le nom de « pneumonie atypique » décerné aux premiers cas chinois n’avait rien… d’atypique. C’est l’appellation classiquement donnée aux pneumopathies dont l’étiologie reste inconnue. Les radios pulmonaires en « verre dépoli » ne sont pas non plus l’apanage du covid et ses traitements éprouvés (zinc et vitamine D côté naturopathie, antibiotiques et anti-inflammatoires côté allopathie) sont ceux de la grippe annuelle. Le covid long ? La médecine observe des grippes à rallonge depuis Mathusalem et c’est aussi une mystification liée eu dépistage et à la codification. Comme vient encore de le révéler une étude australienne, les symptômes persistants ne sont ni uniques ni exceptionnels. Parmi les participants, les chercheurs n’ont trouvé aucune différence significative entre les covidés et les grippés. Bref, rien de neuf sous la pluie. Il ne reste rien d’insolite pour caractériser la prétendue maladie émergente prétendument  causée par un  prétendu nouveau virus. Fatale pour la théorie virale, l’absence totale de particularité pathologique infirme encore plus clairement l’hypothèse d’un agent infectieux « augmenté » et relâché volontairement ou accidentellement par des apprentis-sorciers.  

    3. Les confinements auraient marché

    Mais admettons toujours qu’un coco renforcé et en fuite  ait envahi la terre il y a quatre ans. Comment expliquer  sa mystérieuse clémence envers le continent africain ou son affinité très prononcée pour les pays de l’Otan ? Et surtout, comment expliquer le parfaite inutilité des confinements ? Selon les adhérents à la thèse Gof, le virus couronné serait doté d’une « clé » et d’un « bras »   lui permettant de crocheter les cellules et de les infecter plus facilement. Si c’était vrai, on aurait donc dû constater que les mesures sanitaires non-pharmaceutiques (masques, distanciation sociale, couvre-feux, lockdowns…) étaient efficaces. C’est virologiquement cohérent, c’est encore plus logique en cas de contagiosité artificiellement rehaussée. Or rien n’a fonctionné, aucune atteinte aux libertés n’a eu le moindre effet positif en termes de santé et n’a eu la moindre influence sur la dynamique épidémique ! Comme l’a pointé Pierre Chaillot, l’exemple de la Norvège fournit l’éclatante démonstration que les stratégies de confinement ont échoué : ce pays n’a pas confiné et a obtenu les meilleurs scores européens en matière de mortalité. On peut en dire autant de la Biélorussie, qui a traversé la tempête en toute sérénité et en a récolté les fruits. Dans une moindre mesure, le cas de la Suède est également éclairant : sa politique « laxiste » ne lui a pas valu de figurer dans les moins bien classés, loin de là! Traduit sur son blog par Laurent Mucchielli, un article scientifique vient encore de rendre justice à la décision suédoise de ne pas céder à l’affolement. Selon le scénario  du coco musclé en labo, le royaume scandinave aurait pourtant dû  le payer cher. Vu qu’il n’en a rien été, c’est un indice de plus que le gain de fonction est une fiction pasteurienne démentie par la réalité. Si super virus il y a avait, les confinements auraient marché au lieu d’être au mieux inopérants, au pire contre-productifs.

    4. Le scénario américain sent  mauvais

    Dans sa plaidoirie pour la théorie « lab leak », Hélène Banoun prend parti pour un récit très en vogue aux États-Unis : le virus chimérique ne serait pas né en Chine mais bien en Amérique, à Fort Detrick plus précisément. Ce que la biologiste ignore peut-être, c’est que ce laboratoire de l’armée US situé dans le Maryland alimente depuis belle lurette les fantasmes bioterroristes les plus farfelus. Il y a 30 ans, certains auteurs à sensation lui ont attribué la fabrication du HIV. Après celui du sida, on a soupçonné le labo secret d’avoir militarisé le virus ebola. Et plus récemment, la rumeur a circulé que la maladie de Lyme chronique proviendrait de tiques génétiquement modifiées à Fort Detrick.  S’il enrichit la collection de fléaux imputés à ce centre de recherches, rien ne prouve que le corona y a été manipulé avec succès ni que le covid y a démarré. Si  ce scénario hollywoodien était consistant, il faudrait   expliquer pourquoi l’ennemi invisible s’est fait discret chez l’Oncle Sam pendant des mois, est sorti du bois à Wuhan  fin  décembre et  a attendu sa petite escapade chinoise pour revenir brutalement « inonder » l’Occident.  En guise d’élément à charge, Hélène mentionne une petite épidémie de pneumonie survenue en juillet 2019 dans une maison de retraite de Virginie, à 100 km de Fort Detrick. Et alors ? Quoi de plus fréquent qu’une flambée d’infections bactériennes dans une population vulnérable ? Et quid des vaccinations préalables ou d’une antenne 5G à proximité  ?  Qu’avaient mangé les résidents  et que leur donnait-on comme médicaments ? En fidèle adepte de Pasteur, Mme Banoun écarte trop prestement la notion de terrain et les réels facteurs de maladie. Ce qui me chiffonne surtout, c’est que la membre du CSI et de l’AIMSIB mentionne une source  très douteuse (référence 38) à l’appui de sa narration « pro labo ». Lors de sa parution en décembre 2021, cet étrange « rapport d’investigation » non révisé et anonyme  m’avait déjà paru suspect. Aujourd’hui, je le trouve encore plus bizarre puisque ses auteurs demeurent dans l’ombre alors que leurs spéculations sont devenues très « mainstream ». Ce n’est pas tant son contenu abracadabrant – le virus made in USA aurai émigré en Chine via les homards congelés –  qui me dérange, mais la confiance qu’il continue à inspirer. À l’heure actuelle, il est pourtant clair que la fausse pandémie  a été soigneusement planifiée et que ses instigateurs n’ont pas lésiné sur les moyens de terroriser la population mondiale. Avec un coco naturel et des variants de moins en moins inquiétants, la baudruche allait trop rapidement se dégonfler. Grâce à la thèse artificielle, le poison de la peur pouvait perdurer et être encore plus pathogène. Et si c’était le but ? Pour moi, la piste du « gain de fonction » ne sent pas bon du tout. Elle perpétue le mythe d’un cataclysme virologique et voile machiavéliquement la  vraie machination d’ordre psychique. La guerre de 5ème génération, ça consiste à conquérir les esprits, quitte à instrumentaliser quelques cerveaux utiles.

    Yves Rasir

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    9 commentaires

    1. Toutes ces théories virales reposent sur le fait que le prétendu nouveau virus et la prétendue nouvelle maladie qui lui a été associée n’existaient pas AVANT. C’est-à-dire avant l’utilisation des fameux et fumeux tests PCR qui servent à étiqueter covid-19 des malades qui seraient étiquetés autrement sans un test positif. Car s’il s’avère que le virus existe depuis une durée indéterminée, toutes ces théories sont minées : tout le blabla sur l’origine et la propagation du virus, sur son évolution et ses variants plus ou moins virulents ou contagieux, tout s’écroule, s’effondre, se désintègre !
      Maintenant, pour ceux qui veulent croire au gain de fonction, ce sars-cov2 en a une extraordinaire : il est capable de nuire à ses victimes par « procuration ». En effet, il ne rend pas malade directement mais il utilise les décideurs pour qu’ils infligent aux populations des mesures mortifères. Quelle intelligence, pour un être maléfique qui n’est doté d’aucun neurone !
      Plus sérieusement, l’escroquerie a consisté à emballer la réalité pour tromper les populations et leur vendre les nouvelles mesures dites sanitaires, les nouveaux virus, la nouvelle maladie, les nouveaux vaccins et les nouveaux traitements, bref, pour produire de nouveaux marchés juteux (puisque ce sont les états qui paient directement, comme les marchés d’armement militaire). C’est tout comme l’escroquerie « climatique » qui consiste à emballer la réalité du dérèglement météo en « réchauffement climatique » en accusant le carbone et son effet de serre désormais inversé (le GIEC rapporte que les températures augmentent plus fort aux pôles qu’à l’équateur). Tout ça pour qu’on ne touche pas aux vraies causes humaines qui impactent les conditions météo (la chaleur et l’humidité de l’air) et leurs conséquences, à savoir la consommation d’énergie et l’aménagement des territoires (le GIEC conclut que seul le carbone produit un réchauffement et pas du tout toute la chaleur rejetée dans l’atmosphère par les activités humaines, bref il considère qu’il y a de la chaleur qui ne chauffe pas).
      Pour en revenir au gain de fonction, je me méfie de nouveaux poisons chimiques qui seraient mis au point en labo et déversés sur les populations pour les rendre malades en affirmant qu’il s’agit d’un nouveau virus qui oblige à « vacciner » la terre entière.

    2. https://childrenshealthdefense.org/defender/la-dissimulation-du-covid-le-gouvernement-a-force-les-vaccins-covid-pour-proteger-lindustrie-des-armes-biologiques/?lang=fr
      Article reçu de la LNPLV ou : « Comment les militaires américains ont détourné l’interdiction de poursuivre les recherches sur les armes biologiques offensives en prétendant mettre au point un vaccin préventif ».
      On a donc des équipes de scientifiques (je ne mets pas en doute la sincérité de la plupart d’entre eux) qui « bricolent » sur des entités patchworks numériques et nommées sur consensus, dont les fonctions sont purement hypothétiques, qui produisent des chimères dont l’activité n’est même pas supposable tant il y a de lacunes logiques et matérielles dans le processus.
      Le commanditaire (Fort Detrick ou pas) éclairerait sur le résultat probable (mortifère, bien sûr) et peu importe si l’arme biologique est le sarscov ou le prétendu vaccin. Pour ma part, je pencherais pour le prétendu vaccin, produit qui a bel et bien été injecté pour une étude sauvage sur la population mondiale et dont on connaît (si on le cherche) les effets dits  »adverses » répartis par lots, donc en fonction du contenu.

    3. Bonjour Michel, vous dites :

      « Personnellement , je ne suis pas « complotiste » dans le sens ou il y aurait des personnes qui se regrouperaient pour agir conjointement dans un sens établi. »
      Qu’à fait l’OMS avec la fausse maladie de la COUILLEVIDE 19 ? Bill Gates et l’Event 201 ça ne vous dit rien ?
      Désolé mais nier à ce point la réalité des complots me semble malsain.

      Je suis compotiste et fier de l’être, je réussi particulièrement bien la compote de pommes.
      Allez Michel, ressaisissez-vous !

    4. bonjour,

      je suis très admiratif des recherches et de l’intelligence de rédaction de Yves,
      Personnellement , je ne suis pas « complotiste » dans le sens ou il y aurait des personnes qui se regrouperaient pour agir conjointement dans un sens établi.
      Je préfère penser que la vague covidienne avec les flots de dérapages énoncés dans cette infos lettre, que je ne remet pas en question, serait plutôt une vague d’erreurs en cascade toutes conduites par la peur . Peur immense qui conduit notre civilisation au désastre, peur profondément ancrée dans le coeur humain , peur inconscientisée par notre culturation , occultée massivement par la mise sous couvercle de toute nos émotions .
      Peurs multipliées par les individus qui ont chacun à leur échelle réagit dans un sens qui au bout du compte est devenu aberration meurtrière ….
      Que pensez vous d’investiguer dans ce sens ? La simple (hyper complexe) question du comment accueillir la ou les peurs collectives , qui ont maintes fois fait délirer notre humanité, me semble source de conscientisation et donc d’évolution sociétale . Qu’en pensez vous ?

      • Bonjour Michel, vous dites :

        « Personnellement , je ne suis pas « complotiste » dans le sens ou il y aurait des personnes qui se regrouperaient pour agir conjointement dans un sens établi. »
        Qu’à fait l’OMS avec la fausse maladie de la COUILLEVIDE 19 ? Bill Gates et l’Event 201 ça ne vous dit rien ?
        Désolé mais nier à ce point la réalité des complots me semble malsain.

        Je suis compotiste et fier de l’être, je réussi particulièrement bien la compote de pommes.
        Allez Michel, ressaisissez-vous !

    5. C’est vrai, il est très difficile d’être à contre-courant de l’idéologie dominante. Souvent, devant l’adversité, la dérive apparaît, mais rien ne permet de perdre la direction de la boussole de la raison, si tant est que la raison s’appuie fermement sur les faits et non les ragots.
      Dès mars 2020, au lancement de la campagne covid, dont les premiers échos n’avaient pas vraiment retenu mon attention, devant l’ampleur des restrictions au mode de vie et de travail, je fus saisi par la propagation du sentiment de peur répandue par les médias. Alors que je sortais d’une petite grippe printanière parfaitement attendue et normale comme crise d’adaptation au regain de la vitalité, j’avais saisi l’inanité de cette gigantesque campagne de bourrage de crâne. Je fus rejeté de toutes parts par mes propos qui se voulaient apaisant, mais parfaitement incompris par mes interlocuteurs. Il est vrai que les théories dites pasteurienne et la théorie du terrain ne m’étaient pas inconnus. Mais laquelle choisir malgré mes connaissances, même si je penchais depuis longtemps plus vers celle du terrain. Depuis, cet épisode, ma certitude à celle du terrain s’est largement affirmée.
      Reste, que c’est la science qui a pour tâche de réunir les deux aspects en une seule et de dégager tous les côtés étrangers, et ils sont nombreux cotés de pasteuriens, pour enfin organiser les conditions nécessaires à la bonne santé humaine, certainement étendues aux autres animaux dont nous faisons aussi partie.
      Le processus est ingrat, les croyances sont bien ancrées, les aspects économiques sont gigantesques et les intérêts bien établis. Toutefois, la campagne de la COVID a eu pour fonction d’ébranler toutes les institutions relatives à l’économie de la santé, d’autres institutions économiques sont ébranlées parallèlement qui progressivement élargissent les fissures.
      Enfin, votre revue et newsletter sont intéressantes et vivantes par leur contenu. Recevez tous mes encouragements pour votre activité.

    6. Très bon texte, pertinent. L’avenir nous donnera, je l’espère, plus de réponses à nos questions. Gardons l’esprit critique !

    7. Cher Monsieur,
      J’aime vos articles et suis bien souvent d’accord avec vos arguments. Que feu le professeur Montagnier, ai prétendu très tôt l’existence d’inserts du génome de la malaria et du sida dans le « nouveau venu » covid, qu’une équipe indienne ai fait concomitamment la même annonce avant de la retirer sous la pression et que l’hydroxychloroquine et surtout l’ivermectine ai démontrés une telle efficacité dans le traitement laisse penser, selon moi et je suis un simple chercheur de vérités en toute humilité, qu’il demeure un doute sur la fabrication éventuelle d’un organisme manipulé. Entre le dogme de l’existence de virus et celui de leurs non existence, repose encore notre grande ignorance de la complexité du vivant. Revenir de la vision pasteurienne est essentiel mais dois t on jeter ce bébé avec l’eau du bain?

      • Bonjour Samy,
        Le « bébé avec l’eau du bain » nommé Pasteur était un imposteur et un incompétent.
        Lorsque vous aurez approfondi vos connaissances sur l’œuvre immense et exceptionnelle d’Antoine Béchamp et sa découverte des microzymas (travail indispensable) vous n’aurez plus de scrupules, je vous le garantis.
        Cordialement.

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