SIDA : ce que Montagnier a vraiment dit

Article N°6

Depuis 2 ans, une vidéo très étonnante circule sur le net : extraite du film «  House of Numbers (Voir Néosanté n° 2), elle montre le Pr Luc Montagnier, co-découvreur du virus HIV, répondant aux questions du réalisateur Brent Leung. Dans cette interview, il affirme qu’une alimentation antioxydante permet de restaurer rapidement les défenses immunitaires et de se débarrasser du virus. Très vite, on a accusé le film de trahir les propos du professeur et de manipuler ainsi les spectateurs. Pour en avoir le cœur net, le site Natural News a mis sur papier l’intégralité de l’interview controversée. Voici la transcription de ce dialogue, assortie de commentaires : jugez vous-mêmes !

Natural News a transcrit l’intégralité de la conversation entre Brent Leung et le Pr Luc Montagnier.

Leung [le réalisateur] : Plus tôt, vous avez parlé du stress oxydatif. Le traitement du stress oxydatif est l’un des meilleurs moyens de traitement de l’épidémie de SIDA en Afrique ?

Montagnier [Médecin virologue] : Je crois que c’est une voie d’approche pour diminuer le taux de transmission, car je pense que nous pouvons être exposés maintes fois au VIH sans qu’il ne provoque d’infection chronique ; nous en sommes débarrassés en quelques semaines par notre système immunitaire, s’il est en bon état ; et voilà aussi où est le problème des Africains. Leur alimentation n’est pas très équilibrée, ils souffrent du stress oxydatif, même s’ils ne sont pas infectés par le VIH, de sorte que leur système immunitaire ne fonctionne déjà pas très bien. Étant ainsi prédisposés, cela peut, vous savez, permettre au VIH d’entrer et de se maintenir. Il existe donc plusieurs voies qui ne sont pas vaccinales, un nom magique, le vaccin, de nombreux moyens de réduire la transmission juste par de simples mesures nutritionnelles, en donnant des antioxydants, des antioxydants appropriés, avec des mesures d’hygiène, en luttant contre les autres infections. Ils ne sont donc pas spectaculaires, mais ils pourraient, vous savez, diminuer très bien l’épidémie au niveau où elle est dans les pays occidentaux.

Leung : Donc, si vous avez un bon système immunitaire, votre corps peut se débarrasser naturellement du VIH ?

Montagnier : Oui.

Leung : Ah, intéressant. Vous pensez que nous devrions préconiser plus les antioxydants, et les choses de cette nature, que les antirétroviraux (remèdes anti-SIDA) en Afrique ?

Montagnier : Nous devrions préconiser davantage, vous savez, une combinaison de mesures : antioxydants , conseils alimentaires, nutritions, lutte contre les autres infections (paludisme, tuberculose, parasitoses, vers), éducation, et aussi, évidemment, hygiène génitale féminine et masculine. Des mesures très simples qui ne sont pas très coûteuses, mais qui peuvent faire beaucoup. Et c’est réellement mon souci au sujet des nombreuses actions spectaculaires en faveur des fonds mondiaux pour acheter des médicaments et ainsi de suite, et de Bill Gates et autres, en faveur du vaccin. Mais, vous savez, les mesures de ce genre ne sont pas très bien financées, elles ne sont pas financées du tout, ou elles sont, vous savez, très dépendantes des prises de décision des administrations locales. Mais les administrations locales suivent l’avis des conseillers scientifiques des institutions intelligentes, et elles ne reçoivent pas ce genre de conseils très souvent.

Leung : Eh bien, il n’y a pas d’argent pour l’alimentation, exact ? Ça n’engendre pas de profit.

Montagnier : Ça n’engendre aucun bénéfice, oui. L’eau est importante. L’eau est la clef.

Leung : Maintenant, une chose que vous avez dite, vous parliez du fait que, avec un système immunitaire fort, il est possible de se débarrasser du VIH naturellement. Si vous prenez un pauvre Africain infecté et que vous amélioriez son système immunitaire, est-il possible pour lui aussi de s’en débarrasser naturellement ?

Montagnier : [Signe de tête affirmatif] Je pense que oui.

Leung : C’est un point important.

Montagnier : Il est important de savoir que c’est complètement négligé. Les gens pensent toujours aux médicaments et aux vaccins. C’est donc un message qui peut sembler différent de ce que vous avez entendu dire avant, non ?

Leung : Conclusion ? [de l’enregistrement, ndt]

Montagnier : Non, non, oui, mon message, c’est différent de ce que vous avez entendu de (Anthony) Fauci ou…

Leung : Oui, c’est un peu différent.

Montagnier : Peu différent.

Commentaires

Comme vous pouvez le voir dans cette transcription (et en regardant la vidéo), Leung ne pose pas des questions pipées et ne se livre à aucune sorte de supercherie. S’il y avait quelque chose de louche, ce serait que Leung est plutôt réservé dans ses questions. Il préfère permettre à Montagnier de faire le gros de la conversation. En particulier, Leung n’interrompt pas Montagnier, et il ne tente en aucune façon de le piéger verbalement.
Pour sa part, le Dr Montagnier ne mâche pas ses mots. Il est très clair dans ce qu’il explique, le répétant à plusieurs reprises de différentes manières. Pour l’essentiel, il dit que (en le paraphrasant) :
• On peut être exposé au SIDA sans être infecté.
• Un système immunitaire fort pourra protéger contre le SIDA.
• On peut combattre le SIDA grâce à une alimentation correcte.
• L’importance du vaccin contre le SIDA est exagérée.
• Le SIDA peut être traité autrement qu’avec un vaccin, avec des choses peu coûteuses et hautement efficaces.
• Pour se protéger du SIDA, ce dont les Africains ont réellement besoin, c’est d’une meilleure nutrition.
• Les faits concernant la nutrition et le SIDA sont négligés (par l’établissement médical).Il n’est pas ambigu sur ces choses. Il parle clairement à dessein et n’hésite pas dans ce qu’il dit. À la fin de l’interview, avant que les caméras soient éteintes, il fait même reconnaître à Leung que l’information qu’il vient de délivrer est pour l’essentiel une « bombe » en désaccord avec les scientifiques spécialistes du SIDA comme Fauci.
Maintenant, si vous revenez au film House of Numbers et regardez la conversation entre Leung et Montagnier, vous constaterez que les sous-titres du film sont exactement en phase avec le discours non coupé de Montagnier. Il n’y a absolument aucune distorsion, aucune citation hors contexte. En tout cas, Leung a agi d’une façon très professionnelle dans le choix des sous-titres du film final, qui reflètent fidèlement l’esprit de ce que communique Montagnier.

Traduction Peter Lombard

Source originale :
www.naturalnews.com/027631_AIDS_House_of_Numbers.html
Traduction copyleft de Pétrus Lombard
Source en français:
http://www.ramassi.net/index.p…u-sujet-du-sida

Rappelons que le film «  House of Numbers » (SIDA : la vérité chocante) est disponible sur le site
www.houseofnumbers.com.
La version de luxe comprend une version sous-titrée en français ainsi que l’intégralité des interviews.

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Un commentaire

  1. Complément à cette interview :

    Faits :

    On ne détecte pas le virus ou que très rarement même chez des malades au stade final du sida, seule une chance rare et une extrême persévérance peuvent faire apparaître le VIH chez une personne séropositive, donc un problème énorme se pose pour les virologues qui ne trouvent pas de virus actif chez les malades…

    On ne remarque que des anticorps qui serait une réponse de défense au VIH. En fait ces anticorps sont non spécifiques puisqu’on les retrouves dans 70 autres causes ou facteurs pouvant faire cette même réaction de « séropositivité » (liste de Christine Johnson).
    Les anticorps sont traditionnellement un signe de ce que le système immunitaire a rejeté le virus. Ce sont les anticorps que reconnaissent les « tests de dépistage » de l’infection… ces tests de dépistage sont aléatoires, car les critères de diagnostic ne sont pas les mêmes dans tous les pays, vous pouvez donc vous retrouver positif en France et négatif en Australie, la définition de séropositivité varie donc d’un pays à l’autre.

    La plupart des gens croient que le test de « charge virale » met en évidence le vrai virus, or ce n’est pas le cas. Ce test recherche de minuscules brins d’ARN qu’on déclare être spécifiques au VIH. On applique alors une formule mathématique complexe qui génère un nombre qu’on étiquette « charge virale » ce terme est trompeur car il suggère que le virus est présent à un titre élevé, bien qu’un virus infectieux soit généralement indétectable. Au lieu de cela, ce terme désigne la quantité de fragments d’ADN viral qui peuvent être générés in vitro par la réaction en chaîne polymérase (amplification de l’ordre du milliard de fois) au départ de l’ARN de rares virus neutralisés par les anticorps, ou de l’ADN des rares cellules infectées de manière latente isolées à partir du patient (artificiellement et à l’extérieur du corps, in vitro).

    Le nombre d’unités infectieuses constitue le seul critère clinique correct pour déterminer si l’on est en présence d’une pathogénie virale. Aucun scientifique n’a JAMAIS réussi à démontrer, au microscope électronique, la moindre particule de rétrovirus directement dans le sang d’un patient étiqueté comme ayant une « charge virale » élevée! (toujours pas isolé et multiplié en culture de manière purifiée à ce jour – ‘purification par centrifugation de gradient de densité de saccharose’).

    Le virus latent et biochimiquement inactif ‘VIH’ n’est présent que dans moins d’un lymphocyte T4 sur 500, il n’existe en biologie aucun précédent de gène dormant ayant jamais eu un effet quelconque ni, moins encore, causé une maladie mortelle.
    Le virus VIH ne respecte aucun des postulats de Koch qui servent à prouver qu’un microbe est la cause d’une maladie. C’est la seule maladie vraiment virale qui ne se conforment pas parfaitement aux postulats de Koch.

    Hypothèse : ‘Le VIH pénètre dans la cellule et la désintègre immédiatement!’ – Ceci n’a jamais été observé et est absolument contraire à la caractéristique spéciale enseignée à propos des rétrovirus, à savoir que les rétrovirus ne tuent pas la cellule hôte.

    ‘SIDA’ est un nouveau nom qui sert à étiqueter d’anciennes maladies (environ 35 à ce jour), la liste dans laquelle on inclus ces maladies et de plus en plus allongée, ce qui permet d’essayer de justifier la pandémie annoncée depuis les années 80′.

    Plus de 30 ans et plus de 200.000.000.000 de dollars ont été investi dans la recherche sans aboutir, alors que le premier virus a été isolé au 19ème siècle, en 1 semaine et sans moyens. Il serait temps d’investiguer vers d’autres pistes plus prometteuses, car l’hypothèse VIH-SIDA est restée improductive jusqu’à ce jour.

    Par exemple, le « stress oxydatif » souligné par le Pr. Luc Montagnier et bien d’autres scientifiques dont plusieurs prix Nobel (+/- 2000) pourrait être une piste à exploiter sérieusement, ce stress peut induire une immunodépression grave (malnutrition, carences, médicaments, drogues récréatives, transfusions sanguines à répétition, etc.)

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