Trois guérisons interdites

Yves Rasir

Comme vous le savez , ou devriez le savoir, la revue Néosanté a été créée principalement pour faire connaître la Médecine Nouvelle du Dr Hamer et la Biologie Totale des Êtres Vivants du Dr Sabbah, deux approches innovantes qui explorent l’influence de l’esprit sur le corps et décryptent le sens psychobiologique des maladies. Loin d’être la rançon absurde de la fatalité ou de la malchance, celles-ci sont des programmes intelligents déclenchés par le cerveau inconscient pour surmonter le stress émotionnel et donner le temps d’en résoudre les causes. Dans chaque numéro de notre mensuel, nous publions la chronique du Dr Pierre-Jean Thomas-Lamotte (un neurologue français qui a développé sa propre lecture symbolique des maladies mais qui a largement puisé dans les travaux de Hamer et Sabbah tout en les critiquant constructivement), trois pages traitant de pathologies particulières et pour la plupart rédigées par notre collaborateur Bernard Tihon, ainsi qu’une rubrique intitulée « Le plein de sens ». Cette dernière est composée soit de récits de patients relatant leur parcours de compréhension et de guérison de leurs maux, soit de « cas cliniques » racontés par des médecins ou des thérapeutes. En bientôt 135 numéros, nous avons ainsi partagé près de 300 témoignages montrant que les maladies pouvaient s’améliorer et bien souvent se guérir moyennant prise de conscience de leur sens et résolution de leur causalité conflictuelle. Malheureusement, cette page a tendance à manquer de carburant et de participants. D’abord parce que les Dr Hamer et Sabbah sont tous deux dans l’au-delà et qu’ils ont formé peu de médecins, lesquels se font vieux, ont pris leur retraite ou sont eux-mêmes décédés. Ensuite parce que les autres praticiens en décodage biologique craignent de se voir accusés de pratiquer illégalement la médecine et sont pour cette raison réticents à communiquer leurs succès. Et enfin parce que les disciples d’Hippocrate engagés dans cette voie thérapeutique sont victimes d’une véritable chasse aux sorcières allant en s’accentuant. Certains toubibs ont été dénoncés, suspendus, voire carrément radiés et empêchés de pratiquer leur art. L’un d’entre eux est même poursuivi en justice et on lui interdit d’enseigner et de diffuser ses connaissances jusqu’à son procès. Cela m’embête beaucoup car son « répertoire » de cas cliniques est un fabuleux filon informatif que je comptais bien continuer à exploiter à travers Néosanté. Mais pourquoi renoncer et parler à l’imparfait ? En recourant à l’anonymat ou au pseudonymat, le médecin ne peut se voir reprocher de faire sa publicité. Aucun tribunal ne pourra jamais le condamner ni condamner son éditeur pour avoir imprimé des textes dont l’auteur demeure inconnu du public. C’est du moins le pari que nous faisons et allons faire dans les mois qui viennent en continuant à publier ce courageux médecin injustement persécuté. Nous allons tout simplement ne pas vous donner son vrai nom et nous allons le « protéger»  derrière un faux patronyme. Pour vous donner un avant-goût de cette nouvelle série de cas cliniques à paraître dans notre mensuel, voici en cadeau les trois premiers que le Dr …  m’a transmis. Ces trois « guérisons interdites » reflètent admirablement bien ce que la nouvelle médecine du sens pourrait accomplir si le système actuel ne s’ingéniait pas à la détruire.

                                     Yves Rasir

1. Ostéomes

Chantal, née en 1951, est venue me consulter en avril 2005. Née avec une luxation congénitale, elle vit un accident grave à 28 ans qui implique une intervention chirurgicale sur la hanche droite. Elle reste ensuite plusieurs mois en fauteuil roulant. Ensuite, elle ne peut plus marcher qu’avec l’aide de deux cannes. Tout cela vient majorer ses problèmes d’arthrose (usure prématurée des articulations). Elle se décide à se faire opérer à nouveau en mai 2002 et reçoit deux prothèses à 15 jours d’intervalle. L’opération est particulièrement délicate du côté gauche : elle nécessite des greffes osseuses et beaucoup d’autres “acrobaties” techniques. Dans les suites, des ostéomes se forment au niveau des capsules et des tendons qui en arrivent à souder complètement les deux articulations d’où une impotence quasi-totale des deux hanches. Le tout se complique d’une phlébite gauche en 2005. Elle présente par ailleurs une obésité assez importante. Elle arrive avec des béquilles. Elle souffre en plus des bras et de la main droite : elle ne peut même plus écrire.

Question décodage, selon le Dr Hamer, les problèmes de hanches relèvent d’un conflit de peur de l’acte sexuel. En effet, l’immobilisation des hanches en adduction (cuisses serrées) interdit cet acte. Les ostéomes peuvent relever par ailleurs d’un conflit de souillure avec peur d’être écartelée.

La prise de poids relève d’un conflit de manque ou d’abandon.L’histoire de sa vie est significative. À sa naissance, elle est laissée pour morte et abandonnée pendant que le personnel médical s’occupe de sa mère. Ses parents se séparent et l’abandonnent quand elle a 4,5 ans. Ils se raccommodent 2 ans plus tard et elle subit alors des tentatives d’inceste de la part de son père, sous les yeux de sa mère. Elle est obligée de se taire sous peine de voir ses frères placés à l’assistance publique ! Et le “jeu” va durer des années avec des scènes odieuses où elle manque étouffer… Elle subit une première intervention sur la hanche gauche en 1962 mais fait un rejet du matériel orthopédique et doit être ré opérée quelques mois après. Lors d’un contrôle radiologique, nue et les jambes bloquées en position écartée, l’infirmière l’abandonne à la garde de son père ! C’est la terreur… Sa vie de femme continue dans le même sens. Elle est abandonnée par son premier amour. Son mari la brutalise et la néglige au profit des copains. Elle subit toutes les trahisons possibles, et les maladresses des médecins vont dans le même sens en la terrorisant un peu plus. au point de se voir carrément “écartelée”… Elle est complètement abandonnée par sa famille dans toutes ces circonstances – y compris lorsqu’un de ses fils a un accident de moto en 1994 et s’en sort miraculeusement.

L’amélioration après le travail effectué ici est considérable. Chantal retrouve sa souplesse progressivement. Elle a quitté ses béquilles et n’utilise même plus de canne. Elle a commencé à maigrir. Vraiment, toute sa vie a changé…

2. Arthrose majeure  du genou

François est un prêtre français né en 1968.Il me consulte en mai 2005 pour une arthrose majeure du genou droit évoluant depuis le mois d’octobre 2004. Il a déjà subi plusieurs infiltrations aux alentours de Noël 2004 sans résultat. Début 2005, il est opéré d’un ménisque. Mais une fois l’articulation “ouverte”, le chirurgien constate la disparition du cartilage, une lésion au niveau de la rotule, des ménisques endommagés et une lésion avec fissure au niveau du tibia ! Il referme sans rien faire. Pour lui, la seule solution est la prothèse totale, mais il veut le consentement de son malade. En attendant, il lui interdit l’appui et même de conduire sa voiture !  En médecine psychosomatique, un rhumatisme aigu est toujours la réparation d’un conflit de dévalorisation lié au mouvement. Le genou est dans la symbolique de l’agenouillement, de l’obéissance. En phase de stress, le cartilage, l’os et les ménisques se démontent pour constituer de véritables caries osseuses. En phase de réparation, la reconstruction est exubérante et peut entraîner d’importantes déformations. L’inflammation est alors très importante ainsi que la douleur.

Je fais rapidement le point avec lui. Il m’apparaît comme un homme sincère, profondément croyant. Il possède manifestement un charisme pour les jeunes et parvient à entraîner à sa suite et à ramener à la foi des foules entières de jeunes lors de rassemblements chrétiens. Mais cela ne plaît pas à son évêque. Il lui retire sa cure et l’envoie en exil à l’autre bout de la France pour entreprendre des études de philosophie, sans se soucier de l’aider tant sur le plan matériel que psychologique. Il est pratiquement obligé de mendier sa chambre et ses repas : l’évêque promet toujours de payer mais ne le fait jamais… Il se trouve donc dans un ressenti de profonde injustice et d’intense dévalorisation.

La préprogrammation chez lui est évidente : son père désirait une fille et c’était très important pour lui. Donc, il ne vaut rien… Je l’incite à écrire à son évêque une lettre symbolique qu’il va poster à une adresse fantaisiste… Cette lettre contient bien sûr ses ressentis les plus profonds, sans le moindre jugement. Et l’adresse est rédigée de manière à ce qu’elle ne parvienne jamais « matériellement » à son destinataire. Parallèlement, je l’aide à faire le deuil en positivant et en entrant dans un véritable pardon. Et je lui conseille de prendre de la vitamine C et de la silice organique associés à un peu d’homéopathie. Le résultat est spectaculaire. En quelques semaines, il retrouve un genou parfaitement fonctionnel et peut même s’agenouiller !

3. Cancer des os

Marguerite, née en 1964, me consulte en mai 2006 pour un cancer de l’os.

Selon la médecine officielle, il s’agit de métastases d’un cancer du sein droit décelé en décembre 1998. À l’époque, elle a subi une ablation du sein avec curage ganglionnaire et radiothérapie. Dieu merci, elle n’a pas de lymphœdème dans les suites. Elle subit une intervention esthétique de reconstruction mammaire en juin 2005.

Le cancer des os est découvert en avril 2006. Bien sûr, la seule solution que les médecins lui proposent est la chimiothérapie. Elle présente sur les radiographies une atteinte majeure du corps de la 4e vertèbre lombaire, une atteinte moins nette de la 2e lombaire, un aspect hétérogène de la tête fémorale droite, des lésions au niveau des deux ilions (fondements du bassin) et d’autres lésions moins importantes sur plusieurs vertèbres dorsales (1, 2, 5 et 6) et lombaires (2). Il s’agit dans l’ensemble de lésions lytiques (caries) mais avec quelques zones de condensation (sarcomes – reconstruction). Le cancer de l’os est une carie de l’os. Il ne peut donc pas être une métastase d’un cancer du sein qui est une masse. Il y a là une incohérence de la médecine officielle.

Pour le Dr Hamer : le cancer de l’os est la résultante d’une très importante dévalorisation. Il s’agit de démonter le squelette du vivant de l’individu pour éviter qu’il ne gêne “encore” après sa mort ! Lors de la bascule en réparation, l’os se reconstruit. Les médecins parlent alors d’ostéosarcomes ou de lésions condensantes. Cette reconstruction est d’autant plus exubérante que la carence en vitamine C est importante.

Les lésions vertébrales sont en lien avec les parents : plus elles sont hautes et plus la mère est concernée, plus elles sont basses et plus c’est le père qui est en jeu.

Les lésions du bassin concernent en général des problèmes d’ordre sexuel.

Le cancer du sein droit correspond à un conflit à l’enfant. Soit conflit de séparation, soit conflit de danger de mort.

Marguerite est décidée à refuser la chimiothérapie et à suivre nos conseils. Nous travaillons bien sûr en premier lieu au décodage. Et les choses s’éclairent rapidement…

En 1996, après avoir longtemps désiré un enfant, Marguerite fait une IVG parce que la relation de couple n’est plus ce qu’elle était. Comme très souvent, elle le vit mal et culpabilise. Peu après, sa sœur entreprend le protocole pour faire une FIV et lui fait jurer de lui garder l’enfant si elle se trouve un jour enceinte et n’en veut pas !

Cette demande retourne le couteau dans la plaie pour Marguerite, c’est donc vraiment la séparation intempestive de cet enfant inconnu ! Elle développe alors son cancer du sein.

En mai 99, lors d’une soirée entre amis, son mari lui donne brutalement un coup de pied dans le derrière, sans raison valable. Elle est profondément humiliée de ce geste : il n’avait jamais été violent avec elle. Elle comprend vite qu’il y a anguille sous roche et découvre assez facilement qu’il est amoureux d’une autre femme. Il est probable que les localisations osseuses du bassin viennent de ce moment précis.

Par la suite, les relations restent tendues avec son mari et des problèmes apparaissent pour elle sur le plan professionnel. Après avoir échoué à une tentative d’entreprise maraîchère, elle dépend entièrement de son mari sur le plan matériel et s’enthousiasme pour des actions de développement dans le Tiers Monde. Mais ce travail est bénévole et chaque fois qu’une mission intéressante se présente, elle lui passe sous le nez. La vie professionnelle est un équivalent symbolique des parents en ce sens qu’elle apporte un sens à sa vie et devrait lui permettre de gagner sa subsistance… La dévalorisation est ici maximale et cela explique les localisations vertébrales. Chaque vertèbre correspondant probablement à une péripétie précise.

Dans les préprogrammations, nous retrouvons une intense dévalorisation : elle n’est pas le garçon tant attendu par les parents et sa mère lui répète toute son enfance qu’elle a été récupérée dans une poubelle !

Bien sûr, je l’accompagne tout au long de son travail de deuil : évacuation des ressentis négatifs depuis toute petite, positivation et donc pardon de tout ce qu’elle a ressenti douloureusement, etc..

Marguerite vient me revoir très régulièrement pour assurer le suivi de son problème de santé.

Sous vitamine C, silice organique et autohémothérapie pour stimuler ses microzymas, elle passe un été relativement calme sur le plan du mal. Et c’est normal puisqu’elle s’est proposée pour héberger une famille amie. Même si les choses se passent bien, ce n’est pas idéal et le stress est évident. Donc la reconstruction osseuse stagne. Enfin, à l’automne, elle solutionne son problème de logement. Immédiatement, le processus de guérison prend de l’ampleur. Le mois de décembre est particulièrement éprouvant avec des crises douloureuses qui peuvent durer plus d’une semaine et la laissent pantelante, exténuée. Et puis tout doucement, depuis janvier, la forme remonte lentement. Et les radios sont formelles, la reconstruction se confirme partout, le radiologue n’en revient pas !


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