VACCINATIONS : science ou croyance  ? (  II  )

Un autre regard sur les microbes

Dans le deuxième volet de cette série d’articles consacrés à la vaccination, le Dr Eric Ancelet
remet en question le postulat pasteurien selon lequel les microbes sont la cause des maladies infectieuses. Que sont réellement les germes, virus et bactéries  ? De quelle nature sont nos relations avec eux  ? A quoi sert véritablement le système immunitaire  ? Les réponses apportées bouleversent l’idéologie actuelle et jettent les bases d’un nouveau paradigme médical.

Qu’est réellement un microbe ?

La définition du vaccin suppose que le «germe» visé est dangereux ( on dit «pathogène» ) puisqu’il faut s’en protéger par un vaccin. De quelle nature est ce danger ? N’y a-t-il aucun autre moyen de s’en prémunir ? La complexité ici tient à la fois de l’infinie diversité du monde microbien, et de nos croyances le concernant.
Selon la version officielle, la maladie infectieuse découle directement de la présence et de l’activité du microbe, considéré comme un pur parasite.Les autres facteurs de vulnérabilité, qu’ils soient biologiques ( constitution, malnutrition, immunodépression… ), psychologiques ( susceptibilité au stress, insécurité, fragilité émotionnelle, détresse existentielle, peurs… ) ou sociaux ( pauvreté, solitude… ) sont minimisés, négligés, voire purement et simplement niés.

Vers un nouveau paradigme : le virus utile

Que sont réellement les procaryotes ou «microbes» ? De quelles natures sont nos relations avec eux ? Louis Pasteur a-t-il réellement saisi toute la complexité et l’intérêt de ces relations ? Qu’a-t-il réellement vu ? Qu’a-t-il cru voir ? Sur la base de quelles connaissances et convictions a-t-il interprété ce qu’il a vu ?Les microbes sont-ils tous et toujours pathogènes ? Ou bien y a-t-il d’une part de «bons microbes», des symbiotes indispensables à l’équilibre de la planète et de tous les êtres vivants, et de «mauvais microbes» dont l’unique fonction serait de rendre malade et tuer ? Dans quelles conditions les microbes restent-ils silencieux ? Dans quelles conditions sont-ils activés et peuvent-ils provoquer cette crise existentielle que nous nommons «maladie» ? Combien de personnes vont-elles «tomber malades» lors de cette activation ? Une, dix, des centaines, des millions ? A partir de quand peut-on utiliser le mot «épidémie» ?Mieux encore, et si cette activation et les maladies qui en découlent avaient du sens, une signification, une direction, un impact globalement positif sur l’évolution individuelle et collective des êtres vivants ? Quel pourrait alors être ce sens ?Les questions ici posées ont suscité diverses réponses, dont j’ai exposé l’essentiel dans mon livre «Pour en finir avec Pasteur». C’est à chacun qu’il appartient d’observer le réel, d’écouter et de lire au-delà du discours des médias officiels, d’exercer ses facultés de discernement, d’affronter ses peurs, et de se forger sa propre opinion.

Qui est réellement le vacciné ?

Chaque individu est biologiquement et psychologiquement unique, ce qui implique une inégalité fondamentale, une biodiversité qui exclut absolument tout jugement de valeur, toute idée de supériorité ou d’infériorité.Ces différences biologiques, innées et acquises, concernent l’être et le devenir, nos capacités adaptatives et évolutives en relation avec le fonctionnement harmonieux du triple système neuro-endocrino-immunitaire, ce que les homéopathes nomment le «terrain biologique».Il n’est tenu aucun compte de cette inégalité dans les calendriers de vaccination obligatoire, lors des programmes de vaccination banalisés, progressivement mondialisés, imposés massivement à des centaines de millions d’individus sans aucun discernement. Les individus inoculés ne sont pas forcément «sains», et même en bonne santé ils sont bel et bien immatures donc incompétents sur le plan immunitaire à l’âge où sont pratiquées des multitudes d’injections ( avant deux ans ).

Il existe pourtant un certain nombre de contre-indications officielles aux vaccinations.
– La première est la dénutrition, ce qui contre-indiquerait a priori la vaccination des enfants dans les pays dits «en voie de développement», épuisés par ces vaccins qui dévorent leurs faibles réserves en oligo éléments et vitamines, tout particulièrement l’acide L ascorbique ( vitamine C ) qui est un puissant antioxydant naturel. Mais les pays pauvres ne sont pas les seuls concernés. Les enfants occidentaux sont eux aussi victimes de carences qualitatives majeures du fait d’une alimentation industrielle totalement dévitalisée ( type «fast food» ).
– La seconde contre-indication officielle est la présence de maladies intercurrentes, c’est-à-dire d’infections ou parasitoses chroniques, ce qui amène la même réflexion concernant les pays les plus pauvres où des enfants dénutris ET malades sont systématiquement vaccinés à l’école ou à l’occasion de leur présentation au dispensaire. Ici encore, l’Occident est concerné malgré son apparente opulence, car toute vaccination provoque une maladie chronique, ce qui devrait contre-indiquer formellement la multiplication des injections réalisées avec des vaccins combinés.
– La troisième contre-indication est un état d’immunodépression, terme qui signifie que le système immunitaire est incapable de faire face à l’agression vaccinale et de développer des «défenses» correctes contre la ou les maladie( s ) concernée( s ). Une fois de plus c’est le cas de tous les enfants du monde, au Nord comme au Sud, cette incompétence étant naturelle par immaturité du système chez l’enfant de moins de sept ans. Au-delà de sept ans, et après des générations de vaccination systématique, lequel d’entre nous n’est pas aujourd’hui, peu ou prou, immunodéprimé, touché par ce vieillissement prématuré qui signe l’épuisement de l’énergie vitale  ?

A quoi sert réellement le système immunitaire ?

La Science, dans ses aspects «durs», rationnels, objectifs, propose certaines représentations ou constructions théoriques grâce auxquelles nous pouvons percevoir et concevoir le monde, mais ce ne sont en aucun cas des descriptions de ce que le monde EST en réalité.Ainsi, nous nous sommes lourdement fourvoyés en décrivant la structure/statique des acides nucléiques ( ADN et ARN ), et leur fonction/dynamique nommée «code génétique» ( cf. Pour en finir avec Pasteur).
Concernant le véritable rôle de l’immunité dans la dynamique vitale, les avis divergent bien que les phénomènes observés soient identiques. Ce qui diffère c’est le regard, l’ouverture d’esprit, les préjugés, les attentes, les projections, les fantasmes, l’imaginaire, et au-delà forcément l’interprétation des observations, étroitement liée aux présupposés culturels qui orientent la perception pour qu’elle soit en accord avec nos convictions, nos passions et les actions que nous désirons accomplir dans le monde.

À quoi vous fait songer le mot immunité?

Etymologiquement, immunis signifie «exempt de charges». Et en effet, nous espérons tous bénéficier du privilège d’être dispensés de certaines confrontations, épreuves, initiations, et les maladies font bel et bien partie de ces questions posées par quelque Sphinx embusqué au détour de nos chemins de vie.
Le privilège d’être sain, bien portant (euphorique), autrefois acquis progressivement par l’implication, l’expérience individuelle au contact du monde, est devenu un droit et même un devoir collectif, conféré par l’artifice d’un acte propitiatoire qui garantit la sécurité sans effort et sans contrepartie – un baptême laïque. Nous avons apparemment beaucoup perdu avec le «progrès», perdu le courage, la conscience et la confiance dans nos propres facultés d’apprentissage et de discernement, et peu à peu être immunisé, éprouvé, accéder à la maturité, à la citoyenneté, est devenu synonyme de
«être (majeur et) vacciné. »
La quête obsessionnelle d’immunité laisse à penser que le monde est dangereux, qu’il y a moi et les autres, un moi fragile et beaucoup d’autres dont il faut se protéger, et cette protection sera conférée par les autorités qui détiennent savoir et pouvoir en échange d’une allégeance, d’une soumission à la Loi.
Dans cette perception schizo-paranoïde du monde, en relation avec une persistance morbide de l’oralité (société de consommation, peur d’être englouti, dévoré, décomposé par les «vers», phobie des microbes…), être immunisé c’est donc être isolé, insensible, imperméable, réfractaire aux messages microbiens, puisqu’ils sont seulement et toujours pathogènes et seuls responsables des maladies infectieuses.Face à ces tueurs aveugles il était logique d’imaginer un système de défense très élaboré, une armée toujours sur le pied de guerre, un ensemble de barrières infranchissables entre nous et le monde, une sorte d’autisme existentiel.

Alors, que désirons-nous vraiment ? Combattre ou échanger, rejeter ou assimiler?
L’immunité est-elle un système de défense ou un système de communication?

A l’opposé de cet autisme culturel, rappelons que tout être vivant est un système ouvert, par essence néguentropique, avide d’informations, créateur d’ordre et doté de mémoires multiples, qui se construit et se déconstruit sans cesse, renouvelle ses éléments constitutifs afin de maintenir sa forme et développer sa conscience. L’être vivant EST une mémoire qui communique. Porteur d’informations innées et inhérentes à sa lignée, il reçoit et intègre les énergies environnantes telles que les émotions et les vibrations quantiques, la chaleur, la lumière et les sons, les mouvements de l’air et de l’eau, les substances nutritives, les bactéries et les virus. Il les transforme et les fait siennes avant de les transmettre à son tour.
Dans cet ensemble, le système immunitaire ne peut que tolérer et même faciliter la circulation des informations microbiennes, afin de garantir l’harmonie et la progressivité du processus d’individuation (Carl Gustav Jung), qui consiste à faire du Soi à partir du Non-Soi par épigenèse, apparition d’éléments qui n’existaient pas en germe dans l’oeuf originel. Certes, si les messages reçus sont inutiles ou menacent l’être en perpétuel devenir, celui-ci est capable, par le jeu de ses mémoires innées et acquises, d’opposer à l’agression une riposte : il s’adapte, transforme, élimine, refoule grâce à la mise en jeu de filtres complexes dont l’ensemble constitue l’immunité.
Mais celle-ci reste avant tout un système ultraperfectionné de communication biosphérique, dont les microbes sont les vecteurs privilégiés. L’autre n’est plus un «ennemi», mais un messager porteur d’informations à décoder et engrammer, et les microbes dits «pathogènes» interviennent seulement au détour des conflits ou crises existentielles, pour restaurer les structures lésées et reprogrammer les acides nucléiques (ADN
et ARN).
(A suivre)

Par le Dr Eric Ancelet

ERATUM
* Dans notre numéro de mai, la phrase finale de l’article du Dr Ancelet a malencontreusement été tronquée. La voici dans son intégralité :
« L’autisme en expansion actuellement serait en relation directe avec l’empoisonnement au mercure vaccinal. »

Auteur du livre « Pour en finir avec Pasteur » ( Editions Marco Pietteur ) et de deux autres ouvrages sur la médecine équine, le Dr Eric Ancelet promeut une conception globale de la santé et une approche alternative de l’art vétérinaire.
Pour connaître ses activités vous pouvez visiter le site :
www.ohm-bioalternatives.com

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