VACCINATIONS : science ou croyance ?

On retrace généralement l’histoire de la science en énumérant ses triomphes, mais il est possible de le faire aussi en retraçant ses errances, ses erreurs et ses mystifications. Pour le Dr Eric Ancelet, la vaccination fait partie de ces fausses victoires dont l’analyse critique révèle la fragilité des fondements scientifiques, les dangers potentiels et la mécompréhension du vivant. Dans ce premier volet d’une passionnante série, le vétérinaire français interroge le mythe de Louis Pasteur et « débanalise » l’acte vaccinal.

La médiologie se donne pour projet d’étudier les liens et interférences entre, d’un côté une création humaine, un « objet », une méthode ou une technique, de l’autre un ensemble d’individus, une société humaine, une culture, une civilisation, et de plus en plus l’humanité tout entière.
Le postulat médiologique présuppose donc que l’un(e) et l’autre, objet et sujet, invention et culture, évoluent dans l’espace et le temps en subissant des influences réciproques, en bien ou en mal, pour le meilleur et pour le pire.
Le « meilleur » pourrait être ici une évolution sur les plans biologique et spirituel, une conscience élargie, un meilleur équilibre psychologique, le bien-être et la santé du corps pour tous. Le « pire » serait alors une involution de l’âme vers l’obscurantisme et l’intolérance, une gigantesque inflation névrotique, le mal-être et la maladie du corps pour le plus grand nombre.

Concernant la vaccination, jusqu’où peut aller l’impact de cette technique, modèle universellement reconnu de progrès scientifique, sur le présent et le devenir de très vastes collectivités humaines ?
Poser cette question aujourd’hui représente un énorme défi pour nos capacités cognitives, fortement influencées par une soumission aux autorités extérieures (surmoïques), nos formatages culturels, éducatifs et familiaux, notre vision rétrécie et limitée au monde immédiatement visible, nos préjugés et nos croyances, nos désirs et nos peurs, et parmi ces dernières la plus importante, la peur égotique de n’être plus, la peur de la mort.

Où se situe la vérité ?

Pour relever ce défi, nous devrons nous souvenir qu’une société humaine est composée de nombreux êtres vivants interconnectés, humains et animaux, de sexe masculin et féminin, chacun et chacune absolument unique, biologiquement et psychologiquement très complexe, chacune et chacun engagé dans un processus évolution individuel et collectif qui est un phénomène infiniment mystérieux dont il est impossible de saisir ensemble tous les aspects et implications.

La généralisation imposée d’une technique encore très empirique doit donc se faire avec prudence, selon le principe de précaution qui est le fondement d’une éthique bien comprise. Or ce principe n’est pas respecté en ce qui concerne la vaccination de masse telle qu’elle est aujourd’hui pratiquée, assortie d’obligations légales qui laissent peu de place à la responsabilité individuelle, à la liberté de disposer de son corps.
Notre réflexion doit aller au-delà d’un accident vaccinal isolé, fortuit et sans volonté de nuire. À l’heure où j’écris ces lignes, des textes alarmants circulent sur Internet, affirmant « preuves à l’appui » que la campagne contre la grippe A est un sombre complot prévoyant un génocide, une réduction drastique de la population planétaire  !
Où se situe la vérité ?
Le Christ aurait répondu ni sur terre, ni au ciel, ni entre les deux. Dès lors, il est aisé de comprendre que le travail proposé ici n’est qu’une entrée en matière et en conscience, une simple (?) réflexion susceptible d’éveiller l’intérêt de tous, et, je l’espère, susciter une approche scientifique pluridisciplinaire mobilisant des chercheurs non inféodés aux pouvoirs politiques et industriels, œuvrant dans des domaines aussi variés que la médiologie (à tout seigneur…), l’épistémologie, la politique, la sociologie, l’économie, la psychologie, la biologie, la médecine, l’éthologie, l’éthique, la philosophie, l’histoire des sciences et des religions, la mythologie, la pédagogie, et cette liste n’est pas exhaustive.

Différencier croyance et vérité

Pour nous forger une opinion, nous devrons nous souvenir aussi que certaines techniques très largement diffusées, voire imposées à tous, susceptibles d’effets psychophysiologiques considérables, sont entre les mains d’élites jugées compétentes dans les domaines en question, gothas composés de spécialistes et d’experts habilités à en disposer comme bon leur semble selon leurs propres croyances et convictions, les besoins propres à leur cause, leur volonté de puissance enracinée dans leurs névroses les plus intimes.
Il peut s’agir de création de monopoles (eau, énergie, semences végétales, génomes…) ; de gestion des richesses, de l’énergie (puissance et pouvoir étroitement liés) ; de production illimitée d’armes de destruction massive ; de l’usage inconsidéré de milliers de molécules toxiques dans l’industrie et l’agrochimie ; de manipulations inconsidérées des génomes microbiens, végétaux, animaux et humains ; enfin de la diffusion de substances biologiques ou issues de la chimie de synthèse, médicaments destinés théoriquement à maintenir ou à restaurer la santé, et parmi eux les vaccins dont on commence à considérer sérieusement les « effets indésirables » que certains, de plus en plus nombreux, n’hésitent pas à qualifier de catastrophe écologique, l’un des plus terribles égarements scientifiques de l’histoire de l’humanité.

Comment se forger une opinion ? En fait, toute la problématique revient à ne plus confondre croyance et vérité, à renoncer aux chimères et aux peurs pour accéder avec courage à l’au-delà des apparences, au monde réel.

Définir autrement, proposer un autre regard, n’est pas essentiellement remplacer une erreur ou un mensonge ancien par une vérité nouvelle.
Proposer un autre regard, une autre vision du monde, serait plutôt aider à cette subtile alchimie qui consiste pour tout individu responsable à transformer progressivement, au fil d’une vie et au prix de grands efforts, l’infantilisme en maturité, la confusion en discernement, l’illusion en lucidité, le préjugé en réflexion, la naïveté en prudence, le chimérique en (principe de) réalité.

Qui fut réellement Louis Pasteur ?

« Il nous faut reconsidérer de fond en comble les données historiques et épistémologiques qui sont le fondement de nos croyances. On retrace généralement l’histoire de la science en énumérant ses triomphes, mais il est possible de le faire aussi en retraçant ses errances, ses erreurs et ses mystifications. L’Histoire classique, « racontée aux enfants », est un peu comme une vieille dame qu’il n’est possible de rencontrer qu’après de multiples « liftings » et maquillages successifs, parée de tous ses atours et entourée de ses courtisans avides d’honneurs et de privilèges. Le personnage historique idéalisé est semblable au héros du mythe, à jamais absent de notre réalité mais omniprésent dans l’inconscient collectif, modèle imaginaire et sans tâches auprès duquel chacun trouve une raison d’être et d’agir. Nous essaierons ici d’approcher la biographie de Louis Pasteur sans fards ni parures hagiographiques, en quelque sorte au saut du lit » (Eric Ancelet – « Pour en finir avec Pasteur » – Editions Marco Pietteur).

Né en 1822, décédé en 1895, Louis Pasteur était un chimiste ambitieux mais sans aucune formation médicale, auquel furent attribuées de nombreuses découvertes fondamentales comme l’existence des microbes, leur rôle dans les maladies dites « infectieuses », et le moyen de s’en prémunir par vaccination.
Sa vie et son œuvre ont donné lieu à d’innombrables récits, des biographies souvent proche de l’hagiographie, et Pasteur est aujourd’hui encore considéré comme l’un des plus grands bienfaiteurs de l’humanité.
Or ceci n’est pas la réalité, et encore moins LA vérité, mais une croyance nourrie d’attentes, de fantasmes et de projections, une légende dorée maintenue par ignorance, négligence ou paresse, mais aussi entretenue soigneusement et obstinément par certains « initiés » soucieux de ne pas bousculer l’histoire officielle, inquiets surtout de ne pas mettre en danger les intérêts considérables liés au nom de Pasteur. Des intérêts qui ne sont pas seulement financiers.
Dès lors, reconsidérer le parcours d’un homme mort depuis plus d’un siècle peut passer pour un révisionnisme de bien mauvais aloi. Et pourtant, il s’avère que Pasteur n’était ni génial ni désintéressé, et qu’il s’est lourdement trompé, tant dans ses interprétations concernant l’origine et le rôle des microbes, que dans sa prétention à éradiquer purement et simplement certaines maladies par la méthode vaccinale.
Bien que méconnus du plus grand nombre, de nombreux auteurs ont pris la parole ou la plume pour dire qui fut réellement Louis Pasteur, un usurpateur qui s’est attribué sans vergogne des résultats obtenus avant lui par d’autres chercheurs restés anonymes.
Pasteur s’est trompé. L’ensemble de ses théories « personnelles », élaborées sur la base d’investigations effectuées par d’autres, se sont révélées erronées. S’appuyer sur ces croyances obsolètes pour comprendre l’origine et le sens des maladies, notamment l’origine et le sens des maladies infectieuses, et au-delà espérer maintenir cet équilibre dynamique que nous nommons santé par des vaccinations pratiquées sans discernement, est une erreur aux conséquences dramatiques.

Que signifie réellement vacciner ?

Selon le dictionnaire, un vaccin est une substance préparée à partir de microbes, virus ou parasites, qui, inoculée à un individu lui confère une immunité contre le germe correspondant. Il y a dans cette phrase plusieurs mots clés.
Vacciner consisterait donc à immuniser grâce à l’injection d’un vaccin, c’est-à-dire exempter, protéger, mettre à l’abri et hors de portée d’une maladie que l’on considère induite par un microbe.
Ces généralisations très académiques, cette uniformisation d’une trompeuse simplicité, ne me paraissent en aucun cas susceptibles d’éclairer certaines complexités. Complexité des microbes et de nos interactions avec ce puissant microcosme (que signifie « être malade » ?) ; complexité des modes de fabrication et de la composition très suspecte des multiples vaccins actuellement commercialisés ; complexité psychologique, biologique, génétique, immunitaire… des personnes vaccinées ; complexité des relations et interactions entre vaccins et personnes vaccinées ; complexité des motivations conscientes et inconscientes des autorités de tutelle qui décident l’obligation vaccinale pour des centaines de millions d’êtres humains, sans tenir compte des complexités précitées.

Vacciner, c’est générer une maladie chronique généralisée, définitive, souvent héréditaire, afin d’éviter une hypothétique maladie aigu individuelle et passagère.
La première vaccination, contre la variole, fut pratiquée de manière empirique par le médecin anglais Edward Jenner en 1796.
La variole est un exemple unique qu’il importe de connaître pour juger de la suite. Elle reste un « modèle royal » tant pour les vaccinophiles que pour les vaccinophobes. Son histoire est celle d’une utopie, que les premiers poursuivent encore tandis que les seconds, de plus en plus nombreux, abandonnent pour tirer les leçons d’un échec. Elle démontre aujourd’hui clairement que l’exception ne peut en aucun cas devenir la règle.
La variole fut à n’en pas douter une redoutable épreuve pour l’humanité. Maladie mortelle certes, mais redoutée aussi, car cette « petite vérole » rendait aveugle et défigurait définitivement ceux qui en réchappaient.
Elle fut la première maladie infectieuse à donner lieu à un vaccin, très vite généralisé et le premier à devenir obligatoire.
Tout le mérite de cette découverte fondamentale et fondatrice revient au médecin Jenner, et non au chimiste Pasteur.
Elle est aussi la seule maladie considérée comme éradiquée de la planète, grâce à la vaccination qui devint dès lors « un idéal de référence ». Si Pasteur ne joua aucun rôle dans cette histoire, il se fit le porte-flambeau de cet « idéal » qui consacrera sa gloire et la pérennité de ses illusions.
Avons-nous définitivement éradiqué la variole grâce au vaccin ? Peut-être, mais par quoi l’avons-nous remplacée ? Certaines maladies cutanées prennent aujourd’hui une ampleur considérable, avec des atteintes organiques très sérieuses, comme certains psoriasis qui ressemblent à s’y méprendre à… une variole froide. Avons-nous réellement franchi le cap évolutif qui donnait son sens à cette maladie ?

Pasteur disait que l’intuition ne vient qu’aux gens préparés à la recevoir. Mais contrairement à Pasteur, Jenner est un homme de terrain confronté quotidiennement à un fléau qui tue un demi million de personnes chaque année en Europe.
Jenner est un observateur doué et doté de bon sens. Son intuition incarne ce que l’on nommera « le triomphe de l’empirisme ». S’il ignore l’existence du virus, et son rôle dans l’apparition de certaines maladies telles que la variole, il remarque que les vachers atteints de cow-pox n’attrapent jamais la variole, ou seulement des formes bénignes. Le cow-pox est la variole bovine, nommée aussi « vaccine », que les vachers contracte au moment de la traite, car les vésicules infectées se situent sur la mamelle des vaches.
Que fit Jenner ? Le 14 mai 1796, il inocule à un enfant de huit ans en bonne santé (c’est important) le pus prélevé dans la pustule d’une fermière atteinte du cow-pox. Renouvelé, ce geste audacieux va effectivement protéger les personnes inoculées, qui ne contractent plus la variole.
L’injection pratiquée par Jenner s’avère donc un succès immédiat. La maladie induite par ce vaccin naturel est toujours bénigne, la protection contre la variole excellente, le risque de propagation nul. Historiquement, c’est le seul cas où l’inoculation d’un virus animal naturellement atténué pour l’homme a permis d’éviter à ce dernier une maladie mortelle, sans effets secondaires. Le virus en question est contenu dans un liquide biologique et n’a subi aucune transformation, aucune manipulation de son génome.

Après des siècles d’épidémies, c’est un véritable choc que connaît l’humanité, tandis que Jenner « prophétise » la disparition prochaine de la variole (effectivement annoncée par l’O.M.S. en 1980).
Sa « vaccination » va être pratiquée dans le monde entier durant la première moitié du dix neuvième siècle, par passage « de bras à bras » en l’absence de vaches malades. Dès 1800, soit 22 ans avant la naissance de Pasteur, elle devient un « modèle historique » pour le raisonnement médical.
Ce succès monte à la tête du brave médecin de campagne. Il croit avoir saisi une « loi de la nature », et pose pour principe que « les opérations de la nature sont généralement uniformes ». Voici l’erreur, le piège grossier  ! L’exception considérée comme la règle  ! C’est bien là que le bât blesse, lorsqu’un geste inspiré mais absolument empirique, effectué dans une situation épidémiologique unique, devient le fondement d’une théorie universelle.

La concrétisation et la pérennisation de cette très grave erreur conceptuelle, nous les devons à Louis Pasteur. C’est à l’âge de 59 ans, en 1 881 (il est alors hémiplégique depuis 13 ans), que Pasteur crée le néologisme vaccination et expose son principe, provoquer une forme atténuée de la maladie pour prémunir de la forme grave. En d’autres termes, induire une maladie chronique définitive pour éviter une forme aiguë passagère.
Il conserve donc habilement le terme « vaccin », associé à un immense espoir d’évitement du mal, et tente de généraliser le cas de la variole à d’autres maladies infectieuses. Sans succès. La fabrication de nouveaux vaccins va s’avérer beaucoup plus laborieuse que prévu, nécessiter des techniques nouvelles (atténuation de la virulence des germes inoculés, adjonction d’adjuvants de l’immunité…), générer énormément d’errements et des symptômes alarmants voire la mort des personnes inoculées.

Ces maladies chroniques d’origine vaccinale, induites depuis plus d’un siècle, sont toujours actives à bas bruit chez les centaines de millions de personnes vaccinées, sous forme de multiples dysfonctionnements organiques favorisant l’apparition de troubles neurologiques (autisme, cécité, myopathies, sclérose en plaques…), de multiples formes d’allergie, de l’ensemble des cancers et des maladies auto-immunes.
Ceci est dû notamment à la composition très suspecte des vaccins.

Qu’est réellement un vaccin ?

Vacciner consiste objectivement à inoculer un vaccin à travers la peau, directement dans le milieu intérieur, sans que l’information passe par le filtre des muqueuses.
Qu’y a-t-il vraiment dans les vaccins, du dix-huitième siècle à nos jours ?
Le vaccin jennérien était une substance biologique naturelle prélevée sur un être vivant et inoculée sans transformations ni adjonctions. Le premier enfant inoculé a passé le cap de la septième année et il est en bonne santé.
Les vaccins pasteuriens, anciens et modernes, ne sont plus des substances biologiques naturelles, et ne contiennent pas seulement des microbes, virus ou parasites. Les enfants sont vaccinés contre de nombreuses maladies entre la naissance et deux ans, une période où le système immunitaire est immature.

Atténuer pour ne pas tuer

Contrairement à la vaccine bovine, immunisante mais inoffensive pour l’humain, il a d’abord fallu « atténuer » la virulence des microbes visés pour que leur inoculation ne tue pas les vaccinés, ce qui est arrivé de nombreuses fois du temps de Pasteur.
La notion d’atténuation n’est pas nouvelle, puisqu’elle fut constatée au déclin des épidémies, moment où le germe semble perdre spontanément sa virulence par passages successifs sur de nombreux individus, c’est-à-dire au fur et à mesure que les populations concernées intègrent l’information microbienne. C’est alors un phénomène constaté, sans aucune base scientifique, et donc difficile à générer, contrôler et maintenir. Le fondement de la vaccination pasteurienne est d’obtenir l’immunité sans virulence, d’empêcher le germe d’agir même si le terrain est réceptif en faisant « souffrir » les microbes par des moyens physiques (chaleur) ou chimiques (oxygène, antiseptiques…), par passages successifs sur des animaux vivants, ou de nos jours par mutation génétique. Mais il y a toujours la possibilité d’un retour à la virulence, de mutations à l’intérieur des corps inoculés, et ceci est absolument incontrôlable.

La composition des vaccins est aujourd’hui très complexe.
Il y a bien entendu des molécules organiques, germes entiers (de moins en moins), protéines ou morceaux de protéines nommés antigènes, dont le rôle est de susciter une réaction immunitaire, en l’occurrence la synthèse d’anticorps considérés comme protecteurs contre la maladie infectieuse concernée.
Les individus inoculés, le plus souvent des nourrissons ou de très jeunes enfants, sont jugés « sains » au moment de l’inoculation, et suffisamment compétents biologiquement (maturité psychophysiologique, et notamment immunitaire) pour répondre favorablement à l’injection vaccinale. Ils ne sont le plus souvent ni l’un ni l’autre, surtout dans les pays en voie de développement (pauvres) où sont écoulés les stocks de vaccins inutilisés et/ou inutilisables dans les pays développés (riches).
Aujourd’hui les vaccins utilisés en routine sont polyvalents, et peuvent contenir des informations biologiques issues de cinq, six ou même sept micro-organismes différents, ce qui est inconcevable dans les conditions naturelles. Ces vaccins sont injectés directement dans le milieu intérieur, ce qui constitue une agression considérable, car le filtre régulateur des muqueuses est shunté.
Surtout, les vaccins ne contiennent pas que des substances biologiques, mais aussi des substances chimiques très toxiques telles que le mercure, l’aluminium ou le formol, que l’on nomme plaisamment « adjuvants de l’immunité » car sans ces poisons il n’y aurait pas d’immunité vaccinale !
Les conséquences immédiates et médiates de l’inoculation de tels poisons chez les nouveau-nés sont innombrables et dramatiques. L’autisme en expansion actuellement serait en relation directe avec l’empoisonnement au mercure vaccinal.(À suivre)

Par le Dr Eric Ancelet

Auteur du livre « Pour en finir avec Pasteur » (Editions Marco Pietteur) et de deux autres ouvrages sur la médecine équine, le Dr Eric Ancelet promeut une conception globale de la santé et une approche alternative de l’art vétérinaire, Pour connaître ses activités vous pouvez visiter le site :www.ohm-bioalternatives.com
Adresses mail : ohmbio@orange.fr ou ancelet.eric@orange.fr

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