Editorial n°85
Si la médecine néglige encore tellement le pouvoir pathogène du stress, c’est parce qu’elle se focalise sur les événements qui en génèrent, par exemple le décès d’un proche, un divorce ou la perte d’un travail. Et comme les études ne révèlent qu’un lien ténu, voire non significatif, elle en déduit que ce facteur pèse peu…