CAUSE ET SYMPTÔME DES MALADITS ET LE THEOREME DE GÖDEL

CAUSE ET SYMPTÔME DES MALADITS (Ce que le mal du conflit a dit dans le corps) ET LE  THEOREME DE GÖDEL

Par Richard Sünder

Je souhaite rappeler que le premier et le seul médecin au monde à avoir énoncé le principe des quatre fonctions qui régissent les quatre types de maladits (ce que le mal psychique somatise, donc projette dans le corps, en fonction du ressenti d’un conflit dans l’aire cérébrale qui gouverne tel ou tel organe correspondant) est le Dr Hamer.

LES QUATRE FONCTIONS DE LA BIOLOGIE

A savoir : 1) les maladits qui font de la masse ou du plein (donc des tumeurs, des kystes, etc.) ; 2) les maladits qui suppriment de la masse, donc font du vide (lyses ou nécroses, ulcérations) ; 3) les maladits, qui font du mouvement ou de l’accélération (danse de saint-Guy, tremblement, diarrhée) ; 4) les maladits qui freinent le mouvement ou le bloquent (ralentissement des fonctions digestives, intestinales, constipation, paralysies, etc.).

Il se trouve que, la première fois que j’ai entendu un médecin parler de ces quatre fonctions, c’était à une conférence de Claude Sabbah. J’y étais allé sur le conseil d’un ami qui m’avait raconté l’histoire d’une jeune fille qui portait le nom de sa défunte sœur aînée et qui avait choisi d’être kiné. Or les masseurs-kinésithérapeutes, quand on leur demande quelle est leur profession répondent soit « Je suis kiné », soit « je suis kinésithérapeute » ou, plus rarement, « je suis masseur-kinésithérapeute ». La jeune fille en question n’était guère épanouie, elle était même plutôt sombre et dépressive. Claude Sabbah l’interroge, elle raconte que sa sœur aînée est morte et qu’on lui a donné son nom. « Quelle est votre profession ? » « Je suis masseur-kiné », répond-elle. « Quoi ? » demande Claude qui sait que cette réponse est tout à fait inhabituelle. Elle répète « Je suis masseur-kiné ». Répétez lentement en détachant les mots, les syllabes ».  Tout à coup la jeune fille dit : « Je suis… ma sœur… qui naît ! » Elle éclate en sanglots. Elle vient de prendre conscience de la cause de son mal-être et de sa dépression. Comme si, au lieu d’être elle-même, elle ne pouvait être que le double de sa défunte sœur.

DE MA SOEUR QUI NAÎT A HAMLET ET MACBETH :

LA PANSEMIOTIQUE EST INCONTOURNABLE

J’observe incidemment que le jeu de mots « masseur-kiné — ma sœur qui naît » est très exactement un signe pansémiotique. La pansémiotique est la théorie selon laquelle tout, dans le Cosmos, est signe, chargé par l’inconscient ou le Surréel d’une signification cachée à destination de la conscience qui a pour objet de la décrypter ou de la décoder. Exemple : un jeune psychiatre qui ne voulait pas parler à son analyste de ses problèmes d’impuissance veut lui citer Hamlet mais fait un lapsus et cite le film réalisé par Orson Welles d’un ouvrage de Shakespeare, Macbeth, qu’il prononce avec un épouvantable accent français : « Ma queue baisse ». S’apercevant aussitôt de l’analogie, le voici qui parle du problème qu’il voulait taire.

A propos des causes des pathologies, le Pr Yves Agid, chef de service de neurologie à la Pitié-Salpétrière a dit dans une émission de télévision, « Savoir Plus Santé », le 17 février 2001 : « On ne connaît les causes d’aucune maladie ! » Conclusion : la médecine conventionnelle ne guérit aucune maladie. Forcément la seule chose qu’elle fasse n’est pas d’en rechercher la cause — ce qui impliquerait une analyse psychique ou psychothérapeutique faite au prix du caviar (qui a l’art de la vie)—, elle est de supprimer le symptôme !  Soutenir que « Aujourd’hui on guérit un cancer sur deux » est une contre-vérité éhontée, scandaleuse, pour ne pas employer de terme plus adéquat, puisqu’on ne fait rien d’autre que de supprimer non pas la cause (c’est-à-dire le conflit qui est somatisé, lorsque le stress atteint le seuil critique dans l’aire cérébrale qui gouverne l’organe) mais le symptôme. Couper le gazon à la tondeuse, c’est supprimer la verdure donc le symptôme produit par la racine. Pour supprimer définitivement la cause, il faut détruire la racine — métaphore du conflit.

LA PROPAGANDE MENSONGERE  D’INFO-SECTES

Quand j’ai entendu les quatre fonctions de la biologie, j’ai tout de suite compris que Hamer avait raison — même s’il peut se tromper sur d’autres points, comme tout le monde et surtout comme les médecins conventionnels, que son côté obstiné l’avait desservi mais que, contrairement à la propagande mensongère de la radio et de la presse belges, canadiennes et françaises et des sites médicaux, les tribunaux de Chambéry ont rejeté la demande de l’UNADFI qui n’avait pas pu rapporter la preuve que l’Association Stop au cancer était une secte. Ce chef d’accusation n’a donc pas été retenu. L’UNADFI a été déboutée.

J’ai également compris que Claude Sabbah avait, avec autant de raison, repris ces quatre fonctions fondamentales de la biologie. Pourquoi ? Mais tout simplement parce que ces quatre fonctions sont les quatre fonctions de la syntaxe qui gouverne le Cosmos, parce qu’elles sont le ceint axe autour duquel tout tourne aussi bien dans le sens dextrogyre que dans le sens contraire, lévogyre. Eh oui, cette syntaxe est celle du Verbe absolu : l’Arithmétique qui est bel et bien infinie et qui est donc la Métaphysique absolue. Le célèbre logicien Kurt Gödel a démontré au moyen de son fameux Théorème d’incomplétude, dit Théorème de Gödel, en 1931, que l’Arithmétique contient sa propre syntaxe en elle-même.

AU COMMENCEMENT ETAIT LE VERBE

OU

LES DEUX ORIGINES POSSIBLES DE NOTRE MONDE

Au commencement était le Verbe et même le Verbe absolu puisque l’Arithmétique est constituée de l’infinité des nombres et que ce langage infini, donc métaphysique (il n’a aucune existence physique finie), est le langage absolu, sans au-delà (il est l’au-delà absolu puisqu’il n’y a rien que lui-même — par définition — au-delà de l’Infini) ni en deçà (il est l’en-deçà absolu puisqu’il n’y a que lui-même en-deçà du Zéro). Ou, pour mieux dire, au-delà du Zéro, il y a l’Infini et au-delà de l’Infini, il y a le Zéro, on n’en sort pas, c’est toujours l’Infini, le grand ou le petit.

Or il se trouve que la cosmogenèse nous propose deux origines possibles mais contradictoires pour le Cosmos physique et (actuellement) fini où nous habitons. La première est la thèse du point mathématique (un point de volume nul, absolument métaphysique, donc un point de néant, dont toutes les propriétés sont zéro, mais dont la densité et la  température sont… infinies ! C’est le Zéro — la fameuse singularité de l’origine — infiniment plein que les physiciens quantiques veulent absolument éliminer.

Le Zéro (comme il s’agit du contraire de l’Infini, je lui ai donné ce nom qui lui convient, parce que c’est le seul évident et convenable : Zéro). Le Zéro a été découvert séparément par Robertson et par Walker, deux physiciens qui ne se connaissaient pas, en 1935, comme solution rigoureuse des équations d’Einstein (rédigées non pas par Einstein, qui en était incapable, contrairement à la légende propagée par les journalistes de télévision, mais par sa femme qui mettait ses idées en formalisme mathématique). Après son divorce il n’a plus rien découvert, ne s’obstinant qu’à récuser la physique quantique — physique du hasard, au contraire de la sienne, relativiste, qui était déterministe. Einstein ne pouvait pas admettre que « Dieu joue aux dés » et que la boule, frappée sur le billard de Londres, tombe quasi-instantanément dans le trou à Calcutta ! Raison pour laquelle Niels Bohr lui avait dit : « Einstein, cessez de dire à Dieu ce qu’il doit faire ! »

A LA THESE DU ZERO LES PHYSICIENS QUANTIQUES

OPPOSENT L’ANTITHESE DE L’INFINI VIDE

GLACIATION INFINIE,

SOLUTION DE LA CUBATURE DE LA SPHERE

La seconde, c’est l’antithèse du Vide quantique, c’est-à-dire de l’Infini absolument vide (densité zéro, donc pesanteur nulle, légèreté absolue et lévitation infinie, et température infiniment glaciale, ce qui implique que l’Infini vide, étant la glaciation absolue, est absolument cristallisé : c’est un cube sans confins de géométrie euclidienne où les parallèles sont parallèles à l’infini), qui est l’expansion infinie du Zéro.

Lequel, tout au contraire, est un point mathématique, donc un point de néant, dont la courbure est infinie : les parallèles y sont infiniment recourbées par leur masse pesante infinie, résolvant instantanément la cubature de la sphère en quatre dimensions et la quadrature du cercle en deux dimensions (2D) !  Les physiciens quantiques, à commencer par le chimiste russo-belge nobellisé Prigogine, inventeur des structures dissipatives, récusant le Zéro, lui ont opposé, dès les années 80, l’antithèse de l’Infini vide en inventant la possibilité (tenez-vous bien !) de « fluctuations quantiques du Vide qui auraient soudain produit des particules en nombre suffisant pour former notre Monde » — le Cosmos physique fini, qui aurait alors été le produit du hasard absolu !

Rendre compte des faits par ce fantastique conte de fée était, certes, d’un stupéfiant effet ! Mais aussi parfaitement invraisemblable que relevant du délire quasiment absolu ! Pourquoi ?

Mais, parce que, si notre Cosmos n’était que le produit du hasard absolu, il ne pourrait pas contenir la moindre relation logique de cause à effet ! Evidence qui leur a échappé à tous, Prigogine compris ! Comme quoi le Nobel n’est pas un brevet d’intelligence — Charpak l’a amplement prouvé — et les physiciens quantiques, sous l’influence des structures de Prigogine devaient sans doute être plutôt dissipés.

LE MODELE GEOMETRIQUE DE l’ARITHMETIQUE

THERMODYNAMIQUE DEMONTRE L’UNITE ABSOLUE

DU ZERO ET DE L’INFINI, DONC DE  l’ÊTRE ET DU NEANT

D’autant que, si l’Arithmétique n’avait été composée que du seul Infini vide — hypothèse d’école évidemment absurde, tout comme le Vide quantique en tant que seule origine du Cosmos physique —, elle aurait absolument ignoré le Zéro et tous les autres nombres à la seule exception de l’Infini. Bref nous devrions alors ignorer le Zéro, le 2, le 3, le 4 etc. jusqu’à l’∞ – 1 (l’infini moins un) ! Et nous ne devrions connaître que l’Infini vide… le hasard absolu !

Or, quoiqu’ils aient été incapables de comprendre et de concevoir l’absurdité de ce raisonnement, puisqu’ils utilisent tous l’Arithmétique tout entière, qui est l’entité absolue — on ne peut en distraire aucun nombre ni en isoler un seul —, les scientifiques, notamment physiciens, astrophysiciens et cosmologistes, n’ont pas été capables de voir que les mathématiques complexes — qu’ils utilisent pour décrire le tissu ondulatoire continu, donc déterministe, de notre Cosmos — ne sont nécessairement qu’une superstructure de l’Arithmétique, faite de corpuscules discontinus —  l’infinité des nombres qui sont tous faits de zéros ou de points mathématiques — qui est… la Métaphysique absolue !

Ce que j’ai démontré en bâtissant le modèle géométrique de l’Arithmétique thermodynamique (l’Arithmétique est la Thermodynamique puisque sa densité et sa température sont infinies en Zéro plein — contraire évident de l’Infini vide qui est le Néant, de densité zéro et de température absolument nulle), entre le 17 décembre 1971 et décembre 1974 et que j’ai complété en le quantifiant pour diviser l’Arithmétique en deux en 1978 tandis que Dirk, le fils de Hamer (dont je ne savais rien, je n’ai appris son existence qu’en 1992 à un séminaire de Claude Sabbah) était grièvement blessé à la cuisse par un coup de fusil tiré par l’héritier du trône d’Italie. Dirk devait finalement en mourir. Son père devait faire un cancer du testicule (conflit de perte du fils), qu’il finit par lâcher quand il s’aperçut que la mort de son fils était la cause de sa découverte — le legs de son fils.

J’ajoute en incidente — mais certes pas des moindres — que, si le Zéro infiniment plein est le contraire de l’Infini infiniment vide, qui est le Néant, le Zéro, son contraire, est nécessairement l’Être infini, donc absolu. Au sens de l’Être suprême de Robespierre mais certainement pas de « Dieu », terme que l’on ne définit jamais, que j’évite comme la peste, tout comme j’évite les Eglises, qui ont inventé les croisades, la Guerre sainte, l’Inquisition, la morale bourgeoise, toutes choses qui me semblent relever plutôt du Diable que de Dieu, notre Monde n’étant que l’incarnation de l’Être absolu et simultanément du Néant, son contraire, puisque tous deux ne font qu’un, ce que Sartre n’a pas su voir, pas plus qu’aucun des pseudo-philosophes contemporains. Sans oublier Heidegger lui-même.

TOUTE LA SCIENCE EST FONDEE SUR L’INTERDIT DE KANT

QUI EXCLUT LA METAPHYSIQUE SOUS PRETEXTE

QU’ELLE NE PEUT PAS FAIRE

L’OBJET D’UNE EXPERIENCE PHYSIQUE

Toute la science est fondée sur l’exclusion absolue — exigée par l’interdit de Kant — qui récuse la Métaphysique sous prétexte qu’elle ne peut faire l’objet d’aucune expérience… physique ! Autre absurdité puisque le simple fait de concevoir le Zéro, l’Infini et l’Arithmétique est la démonstration irréfutable que l’origine de notre Cosmos physique fini ne peut rien être d’autre que le Verbe absolu ! Le seul fait que nous puissions le concevoir établit, de facto, la filiation du Verbe absolu — l’Arithmétique, donc la Métaphysique — et de notre Cosmos physique fini. De quoi faire pâlir Engels, Marx et Lénine et jusqu’à Jacques Monod et même feu Bourdieu qui était, comme Monod, la bourde de Dieu !

Eh oui, le logicien nous enseigne qu’un système logique ne peut pas concevoir plus de dimensions qu’il n’en contient. Or notre Cosmos physique fini ne contient que trois dimensions spatiales actuellement finies, une dimension temporelle également finie et, nécessairement, une dimension psychique théoriquement finie, bien que le cerveau humain soit paradoxalement capable de concevoir l’Arithmétique, le Zéro et l’Infini dont les dimensions sont… incommensurables et infinies : c’est le Verbe absolu !

D’autant qu’en 1997, à Genève, Nicolas Gisin et son équipe ont non seulement démontré que deux photons jumelés, produits par l’excitation d’un atome, s’éloignaient en sens inverse l’un de l’autre, à près de 300.000 km par seconde et qu’ils échangeaient l’information métaphysique de leur trajectoire, parsemée d’obstacles, puisque, à chaque obstacle ils changeaient de trajectoire et conservaient la même, symétriquement opposée bien sûr.

Mieux encore, la vitesse de l’échange fut mesurée : dix mille fois la vitesse dite à tort de la lumière, réputée indépassable par Einstein, soit 3 milliards de km par seconde !

HAMER A EU DES PRECURSEURS

POUR LA THEORIE DU CONFLIT

MAIS C’EST LUI QUI L’A ETABLIE

SUR DES BASES SCIENTIFIQUES

En vérité, c’est le médecin-psychanalyste dissident Georg Groddeck, qui a exposé dans des fragments épars (que j’ai rassemblés en un chapitre de Médecine du mal médecine des mots) du tome 2 de ses Conférences psychanalytiques, la première théorie du conflit comme cause des maladies — c’est lui qui a créé le terme psychosomatique auquel s’est substitué aujourd’hui, sans l’exclure, celui de psychobiologie, quelque soixante ans avant Hamer, en 1917. Autre précurseur de Hamer, le Pr Henri Laborit, que j’ai bien connu, à son tour, a développé l’idée de la psychobiologie dans un chapitre de son ouvrage « Inhibition de l’action » (Editions Masson, 1980), où il raconte que, dans un hôpital psychiatrique, tout le personnel soignant, médecin et infirmières, est malade de la grippe (conflit de territoire), alors qu’aucun des « malades » (ils ont un foyer dans chacun de leurs hémisphères cérébraux — ils sont tous bipolaires) aucun d’eux n’a de conflit de territoire, aucun d’eux n’est malade.

Ce qu’il résume par la célèbre formule, qui ne fait l’affaire ni des chirurgiens, ni des « cancérologues »  — s’il en existe —, ni des laboratoires de l’industrie médico-pharmaceutique qui vendent radio et chimiothérapie au prix du caviar : « Plutôt que de pratiquer une gastrectomie sur l’estomac du gendre, mieux vaudrait éloigner la belle-mère ! »

Richard Sünder

P.S. : Le Professeur Mathé, célèbre cancérologue des années soixante à quatre-vingts, sachant déjà que la plupart des cancéreux mouraient non pas de leur cancer mais de la radio-chimiothérapie, affirmait dans un article de « l’Express », le  4 octobre 1985 : « Si j’avais une tumeur, je n’irais pas dans un centre anticancéreux ». Il est mort le 15 octobre 2010. De 60 à 70% des cancéreux meurent du traitement, pas de leur cancer. Il est prouvé que le « surdépistage » des cancers conduit les malades traités à la mort et que des cancéreux non traités vivent plus longtemps que ceux qui ont été traités. Ce qui n’empêche pas l’Association pour le dépistage du cancer colorectal (ADECA) de faire une propagande éhontée, avec le concours de la mairie de Paris, de la Caisse de sécurité sociale, d’associations de médecins, etc. pour dépister le cancer. Il semble bien que l’ADECA manque de cas et cherche sans cesse à accroître le gouffre du déficit de la Sécurité sociale !

Référence :

http://cancersurordonnances.over-blog.fr/article-le-cancer-sur-internet-102923693.html

Source du texte :

http://pansemiotique2.clust1.azuria.net/wp-admin/index.php

http://pansemiotique2.clust1.azuria.net/rien-ne-peut-exister-sans-constitution-pas-meme-le-neant/

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Richard Sünder est journaliste, épistémologiste (étude critique des sciences et de leur valeur logique), pansémioticien et conférencier. Après avoir développé le modèle géométrique de l’Arithmétique thermodynamique, de 1971 à 1974, et l’avoir quantifié en 1978, ce que personne n’avait eu l’idée de faire, il s’est aperçu que ce modèle modélisait la topologie freudienne de l’appareil psychique, la relation du conscient et de l’inconscient, la relation des idées et de la matière et la théorie du conflit comme cause essentielle des pathologies, développée par Georg Groddeck, Henri Laborit, Ryke Geerd Hamer, Claude Sabbah, Salomon Sellam, Christian Flèche et bien d’autres. Il a utilisé le modèle pour faire de la psychothérapie psychobiologique (voir Les Moires de la Mémoire ou le Conscient, l’Inconscient et les signes). En 1978, sept ans après qu’Henri Laborit l’avait éconduit de son bureau, en lui disant qu’il lui fallait apprendre, il lui envoya une très longue lettre où il expliquait son modèle. Henri Laborit lui répondit : « Ce qui me gêne le plus, c’est que je ne vois pas de faille à votre argumentation ». Robert Vallée, mathématicien, fondateur du Cercle d’études cybernétiques que présidait Louis de Broglie, devait lui confirmer, dans un message personnel, l’intérêt de son entité Zéro-Infini. Quant au philosophe Gilles Deleuze, il devait écrire à propos du modèle : « Revit en vous un type d’analyse du langage qui me semble d’une grande force. Et la manière dont vous savez y joindre une physique est très frappante. Vos vidéons m’intéressent beaucoup. » L’agrégé de philosophie, Tony Brachet, citait l’auteur du modèle dans son Philorama. Boris Sirbey devait soutenir avec succès, à Nanterre, le 23 janvier 2006, une thèse de psychobiologie, « Science et Gnose », où il citait abondamment Richard Sünder.

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