La solution sélénium

Depuis 20 mois, en candide que je suis,  j’ai dit de plusieurs recherches scientifiques qu’elles pouvaient changer le cours de l’histoire et briser l’hystérie covidiste en démontrant qu’il existe des solutions simples et naturelles à cette pseudo-pandémie virale. J’ai notamment pointé cette étude de l’université de Liège qui est sortie en février 2021 et qui montrait que les patients admis aux soins intensifs étaient tous carencés en antioxydants, principalement en vitamine C et en glutathion. Dans le mensuel Néosanté, j’ai également mentionné les nombreuses études confirmant que la vitamine D était une alliée primordiale de l’immunité et que son déficit était clairement associé aux formes graves du covid.  En avril 2021, une méta-analyse. a synthétisé les résultats de 11 études observationnelles chez les personnes âgées. Il en ressortait à nouveau que le manque de vitamine D expose à un risque accru de complications en cas d’infection. Plus récemment, en septembre, une nouvelle étude statistique menée par des chercheurs irlandais et écossais sur les données de 417 000 patients a révélé que les personnes vivant dans des lieux où le rayonnement UV est élevé avaient un taux fortement réduit de formes mortelles et sévères de covid.  Voilà une preuve indirecte mais éclatante que le soleil, essentiel à la production de vitamine D par la peau, est un vaccin très efficace !

Trouvaille belge
 
Le zinc ? Je n’ai pas  trop insisté sur ses mérites car de dignes représentants de la médecine conventionnelle le font déjà suffisamment.  Cet oligoélément indispensable au système immunitaire fait partie intégrante des protocoles instaurés avec succès par le Pr Didier Raoult à Marseille et par le Dr Vladimir Zelenko à New-York. J’ai cependant rappelé, dans un Néosanté de 2020, que la grande grippe de 1918 avait mystérieusement épargné les côtes françaises de l’Atlantique. À l’époque, on ne connaissait pas encore toutes les vertus antioxydantes du zinc mais les Charentais ou les Bretons n’ignoraient pas que les huîtres, qui en contiennent beaucoup, pouvaient puissamment endiguer les fléaux infectieux. Le sélénium ? Dans mon infolettre du 3 juin 2020, j’ai attiré votre attention sur une étude chinoise qui venait de paraître et qui montrait une nette corrélation entre la gravité du covid et la consommation de cet oligo-élément, laquelle était vérifiée par une analyse des cheveux. Selon les chercheurs, la mortalité par cas confirmé était cinq fois plus élevée dans les provinces faiblement consommatrices. Dernière de la classe de ce point de vue nutritionnel, la province de Hubei (dont Wuhan est la capitale) a enregistré un taux de guérison trois fois moindre qu’ailleurs. C’est précisément cette découverte chinoise qui a conduit des chercheurs belges de l’Université de Gand sur la piste du sélénium. Basée sur l’analyse de sang de 138 patients atteints du covid et admis l’année dernière dans deux hôpitaux de la ville flamande, leur étude vient de paraître dans la revue Nutrients et elle apporte une information sensationnelle : tous les malades gravement atteints avaient une carence en zinc et en sélénium au moment de leur admission ! Sur les patients décédés, 7 sur 10 avaient même une grave carence de ces deux nutriments.  Par contre, ceux qui ne présentaient pas de carence ont  très majoritairement survécu et se sont rétablis plus rapidement. Autre enseignement extraordinaire de cette étude : l’impact des déficits en micronutriments dépasse celui des comorbidités ! La carence en sélénium et/ou en zinc lors d’une hospitalisation s’est en effet avérée être un facteur de risque plus important encore que la présence du diabète, d’un cancer, d’une obésité ou d’une maladie cardiovasculaire. Autrement dit, mêmes les patients très vulnérables seraient moins démunis face à la grippe covid si leur sang était enrichi en ces deux antioxydants. 

Se complémenter ?
 
Normalement, personne ne devrait être carencé en zinc ou sélénium avec une alimentation équilibrée.  Ces précieux composants sont présents en abondance dans les produits de la mer tels que les coquillages (huîtres, palourdes, moules…), les poissons (sardines, thon, saumon…) ou les crustacés (crabe, homard, crevettes…). Ainsi, une portion de 100g de crevettes peut  suffire à assurer les besoins  pour une semaine.  On  trouve aussi du zinc et du sélénium dans la viande (porc, agneau, bœuf, canard..), les abats (le top étant le foie)  les fruits oléagineux (toutes les noix et surtout les noix du Brésil), ainsi que dans les œufs  pochés et les champignons shiitakés. Le problème, c’est  que ces aliments ne sont pas assez consommés par les personnes âgées et qu’on les retrouve rarement aux menus des résidences pour seniors. En outre,  la sénescence va de pair avec une diminution des capacités d’assimilation de ces nutriments tandis que leur absorption est également réduite par certains médicaments. Faudrait-il donc supplémenter les vieux et les autres personnes à risques, comme on le fait avec le fer et (pas assez) avec la vitamine D ? On aurait en tout cas tout à gagner à ne pas attendre et à tourner le regard vers la Finlande. Pour des raisons géologiques, ce pays possède un sol pauvre en sélénium et les maladies liées à un manque de sélénium (divers cancers, cardiopathies..) y sévissent plus qu’ailleurs. Dans les années 60, le gouvernement finlandais  a pris le taureau par les cornes et a décidé d’ajouter du sélénium aux engrais agricoles, ce qui a automatiquement fait augmenter la teneur en sélénium des légumes et céréales cultivés dans la région. Ce programme n’a pas vraiment eu les résultats espérés pour la santé humaine – les taux de cancers et de maladies coronariennes, notamment, n’ont guère évolué – mais la population a vu la concentration  en sélénium de son plasma sanguin grimper en moyenne de 70% . Est-ce pour cette raison que la Finlande est l’un des pays ou la mortalité attribuée au covid est remarquablement faible ? Ce n’est sans doute pas l’unique explication mais il est très probable que le peuple finlandais, et ses aînés particulièrement, ont bénéficié préventivement de tout ce sélénium ingéré pendant des décennies.
 
Une pharmacie naturelle bien remplie
 
 Ce qui est sûr et certain, c’est que les antioxydants  se retrouvant dans le sang sont associés à l’atténuation des infections respiratoires en général, et de la grippe covid en particulier. Ce que l’étude de Liège a montré pour la vitamine C et le glutathion, l’étude de Gand le montre à présent pour le zinc et le sélénium. Si nous vivions dans un monde normal et si cette plandémie  n’était pas orchestrée à des fins ténébreuses, les autorités sanitaires n’auraient pas tout misé sur le vaccin et auraient lancé des actions de supplémentation massives ou ciblées. À part la Grande-Bretagne qui a distribué de la vitamine D à ses vieillards, je ne sache pas que cela a été fait. Il y a trop d’argent en jeu et la pharmacratie qui nous gouverne par politiciens interposés n’a aucun intérêt à ce que les solutions naturelles soient mises en avant et deviennent populaires. Elle tolère d’interminables polémiques sur l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine mais elle s’arrange pour que la vaste pharmacie naturelle demeure médiatiquement fermée au grand public.  Pour rappel, tout ce que la nature offre comme molécules utiles pour l’évitement et le traitement du covid a été rassemblé  par le « journaliste citoyen » Dominique Guillet dans cet article très documenté. Comme nous, le blogueur-investigateur pense que le coronavirus à l’existence même pas prouvée est un écran de fumée et que les vraies causes  des symptômes de la « coque-vide » sont d’origine toxique. Or justement, le graphène et les autres substances nanoparticulaires dont on nous cache l’omniprésence nous sont  principalement nuisibles  par  processus d’oxydation. Contre ce stress oxydant, les protocoles que Dominique a compilés sont dès lors  et logiquement performants.  Il y manque le sélénium, mais je suppose que cet oligoélément sera prochainement intégré  dans le compendium si la lecture de mon billet éveille son flair d’enquêteur hors-pair.

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