Les « vaccins » ARN pollués à l’ADN !

Yves Rasir

Combien de mois ou combien de semaines ?  La question n’est plus de savoir si le désastre de la vaccination covid va être reconnu mais quand. Quand va cesser l’aveuglement des médias et des gouvernements. Ceux-ci ont beau balayer la poussière sous le tapis, ils ne pourront pas éternellement nier que les « vaccins » à ARN messager  sont d’une effroyable toxicité. Dans un article scientifique récemment publié, le Pr Denis Rancourt et ses co-auteurs ont examiné les statistiques de décès toutes causes confondues dans 17 pays de l’hémisphère sud. Les chercheurs arrivent à la conclusion que dans 15 d’entre eux, des pics de mortalité anormaux sont survenus immédiatement après le lancement de la campagne vaccinale et à la suite des doses de rappel. Selon leurs calculs glaçants, la surmortalité depuis janvier 2021 s’élève à 1.750.000 décès dans les pays étudiés, ce qui correspond approximativement à 1 issue fatale sur 800 injections. En extrapolant ces résultats au reste du globe ayant acheté les fioles Pfizer ou Moderna, l’hécatombe mondiale se chiffre à plus de 17 millions de morts ! De son côté, le statisticien Pierre Chaillot a analysé les données britanniques permettant de comparer la mortalité selon le statut vaccinal. Il conclut que les vaxxés sont sur-représentés parmi les trépassés, et ce dans toutes les tranches d’âge. Le lien de causalité est indéniable puisque la tendance à mourir prématurément s’accentue avec le nombre de doses reçues. À la fin de sa vidéo, Chaillot cite judicieusement le sociologue Marshall Mc Luan : « Seuls les plus petits secrets ont besoin d’être protégés. Les plus gros sont gardés par l’incrédulité publique ». Pour incroyable qu’il soit, l’impact calamiteux des injections expérimentales est pourtant tragiquement vrai.

Alertes aux plasmides

Reste à déterminer les causes de cet authentique holocauste. Parmi les nombreuses hypothèses avancées par les scientifiques et ne s’excluant pas l’une l’autre, il y a l’apparition d’anticorps facilitant l’infection, le phénomène d’échappement immunitaire,  la nocivité des nanoparticules lipidiques enrobant l’ARN, et surtout la grande toxicité de la protéine spike. Alors que le vaccin est censé stimuler la production de cet antigène de manière éphémère et localisée, il apparaît que la protéine de pointe peut persister longtemps et se répandre partout dans l’organisme, cette persistance et cette omniprésence étant associées à de graves inflammations multi-organiques. Selon le microbiologiste Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, la spike vaccinale interfère avec le système hormonal et sa présence massive finit par saper les mécanismes de l’immunité innée. Les vaccinés deviennent progressivement immunodéficients.  Depuis quelques mois, une autre explication est cependant en train d’émerger : la pollution des fioles par des débris de bactéries ! Pour fonctionner, la technologie de l’ARN messager nécessite en effet l’ajout d’ADN issu de chromosomes. Ce matériel génétique est puisé dans de minuscules fractions de bactéries appelées plasmides. En théorie, ce bouillon de culture bactérien est éliminé au cours du processus, mais il semblerait que ce ne soit pas le cas et que les produits Pfizer et Moderna contiennent énormément de résidus plasmidiques. Cette piste de la contamination a d’abord été évoquée par le chercheur américain Kevin McKernan, pionnier du séquençage du génome humain, qui a analysé des fioles et y a débusqué, entre autres, de l’ADN de singe vert. La thèse de la purification imparfaite a ensuite été reprise par le biologiste moléculaire Philipp Buckaults (Université de Caroline du Sud) qui a récemment témoigné devant une commission sénatoriale. C’est enfin le Pr Brigitte Konig (Université de Leipzig) qui a reproduit les expériences de ses deux collègues et a trouvé des quantités  faramineuses d’ADN bactérien dans le vaccin Pfizer/BioNTech. Selon les analyses effectuées dans son laboratoire de Magdeburg, le niveau de contamination bactériologique est 354 fois plus important que le maximum autorisé par les normes en vigueur ! En Allemagne, l’alerte avait déjà été lancée en 2022 par le biologiste Jürgen O. Kirchner dans son livre « Die mRNA-Maschine » et la pollution des fioles a fait l’objet d’une plainte officielle au Bundestag. Il ne s’agit donc pas d’une accusation fantaisiste sortie de nulle part mais d’un constat fait et refait par des scientifiques de premier plan.

Un mécanisme terrifiant

 Le signal d’alarme est loin d’être banal car la présence d’ADN bactérien n’a rien d’anodin. D’énormes quantités de plasmides ont également été trouvées dans les globules gras, ce qui permet, comme pour l’ARNm, leur acheminement dans les cellules du corps. La différence est que l’ADN plasmidique est beaucoup plus stable et qu’il peut agir pendant très longtemps. Or comme l’explique le Dr Sucharit Bhakdi dans cet article angoissant, l’absorption cellulaire d’un chromosome étranger fonctionnel équivaut à rien moins qu’une altération génétique. En outre, l’expression des gènes étrangers provoque immanquablement une attaque immunitaire contre les cellules productrices qui sont dès lors menacées de mort. Les vaisseaux sont endommagés, des caillots sanguins se forment et les tissus meurent par manque d’oxygène. Comme le cœur est un organe inapte à renouveler ses cellules mortes, ce mécanisme terrifiant peut notamment éclairer les nombreuses et mystérieuses morts subites d’origine cardiaque observées dans le monde entier. Vu que le cerveau ne peut pas non remplacer ses cellules mortes, la fréquence des troubles neurologiques et psychiques post-vaccinaux s’en trouve également élucidée. Dans les organes « renouvelables », l’altération génétique peut néanmoins entraîner l’apparition de maladies auto-immunes et favoriser la formation de tumeurs, ce qui expliquerait au passage la flambée de cancers fulgurants observée en Occident. Au niveau de l’appareil reproducteur, l’ADN d’origine bactérienne suffirait à affecter la fertilité et, via le placenta, à susciter la mortinatalité. Pire que ça encore : des mutations dans les spermatozoïdes et les ovules fécondés pourraient rendre cette pollution génétique  héréditaire et compromettre  durablement la capacité d’enfanter des êtres viables. Bref, des maladies et des souffrances sans fin pourraient devenir le destin des personnes vaccinées et de leurs descendants. Pour empêcher ce scénario d’horreur, il faudrait impérativement cesser les injections géniques et interdire d’urgence cette technologie d’apprentis-sorciers dénués de conscience.

Gare à l’écran de fumée

Solide et crédible, la thèse des plasmides me paraît toutefois mériter méfiance et suspicion, et ce pour trois raisons. La première est que l’alerte émane de chercheurs adhérant au paradigme pasteurien et considérant par conséquent les virus et les bactéries comme des ennemis du genre humain. La bactérie Escherichia Coli, utilisée comme source d’ADN, n’est jamais qu’un microbe commun colonisant banalement l’intestin humain sans y proliférer lorsque le terrain entérique est équilibré. On s’inquiète peut-être beaucoup pour pas grand-chose. Secundo, la piste de l’intrus bactérien a l’immense avantage d’offrir un alibi aux vaccina-tueurs : si la pollution est accidentelle et qu’elle découle de protocoles industriels mal maîtrisés, leur responsabilité reste engagée mais leur culpabilité n’est plus avérée. Devant un tribunal pénal, ils pourraient plaider l’imprudence et le défaut de prévoyance, ou même rejeter la faute sur ceux qui ont exigé d’eux le développement ultra-rapide des injections salvatrices. A fortiori, on ne pourrait plus les inculper d’entreprise criminelle et de génocide intentionnel puisque l’impureté des vaccins serait purement involontaire. La bouée de sauvetage arrive vraiment à pic, vous ne trouvez pas ? Troisièmement, cette explication biologique permet une nouvelle fois d’écarter la très plausible causalité chimique, autrement dit la présence dans les fioles d’ingrédients non-déclarés et potentiellement toxiques, comme l’oxyde de graphène et ses dérivés. A fortiori toujours, ça reléguerait dans l’ombre l’éventualité que les produits Pfizer et Moderna contiennent de l’hydrogel et des nanostructures magnétisables mis au point par la DARPA, l’agence de recherche de l’armée américaine. Ce qui est sûr et certain, c’est que les deux firmes pharmaceutiques ont fabriqué leurs mixtures sous la supervision du département de la Défense US dans le cadre de l’opération Warp Speed. À l’instar de la fumeuse théorie du virus manipulé à Wuhan, la théorie de l’ADN contaminant vient opportunément faire diversion et détourner l’attention de la genèse militaire des faux vaccins ARN. Méfions-nous  donc des écrans de fumée en n’oubliant pas que la guerre en cours contre les peuples se déroule essentiellement par le biais d’informations biaisées…

                                       Yves Rasir


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