Terrain, suite et pas fin

Hier, j’ai été un peu déçu de lire sous la plume de Jean-Jacques Crèvecœur que sa priorité dans la lutte anticovidiste n’était pas de mettre en doute l’existence du virus et qu’il fallait plutôt axer le travail d’information sur les ravages des injections et sur tout ce qui cache derrière l’obsession mondialiste pour cette fausse solution. Pour lui, il y a d’autres combats urgents à mener que de contester la réalité même du sars-cov2 et des virus en général.  D’un côté, je comprends parfaitement pourquoi notre ancien collaborateur se positionne ainsi : qu’elle existe ou non, la particule virale n’est pas l’agent causal de la maladie et il est donc vain d’en débattre. C’est une position pragmatique que j’ai également adoptée pendant très longtemps, notamment dans le dossier du sida où la dissidence est divisée entre ceux qui nient le HIV et ceux qui mettent seulement en cause son caractère pathogène. Le discours « négationniste » est tellement marginal et inaudible qu’on perd un temps précieux à lui prêter l’oreille et lui donner la parole.  D’un autre côté, je pense que Jean-Jacques se trompe et que la contestation du paradigme viral est potentiellement cruciale : si les virus ne sont pas véritablement isolés et purifiés et si leur existence n’est que croyance,  cela change absolument tout et cela revient à ratiboiser le dogme pasteurien puisque qu’il n’y a même plus ce tout petit rien s’opposant à la totale primauté du terrain ! Dans son argumentaire, J-J Crèvecœur  fait observer que « l’absence de preuve n’est pas la preuve de l’absence » et que le propos radicalement anti-virologique serait dès lors peu conforme à l’attitude scientifique.  Mais n’est-ce pas l’inverse qui est vrai ?  Comme le répète invariablement le virologue allemand  Stefan Lanka, on ne peut pas prouver l’inexistence de ce qui n’existe pas, on peut seulement prouver l’existence de ce qui existe. Il est donc très sain, pour l’avancement de la science, de réclamer les preuves que les virus existent et sont davantage que des mirages nanoscopiques !

Une série qui tue

En conséquence, je vais me démarquer de J-J. C  et accorder un crédit accru à l’hypothèse  selon laquelle la virologie est basée sur du vent puisqu’il n’y a même pas de virus impliqués dans les maladies qu’on leur impute à tort. Mais comme je suis un simple médiateur, je vais me contenter de vous communiquer les sources d’information vous permettant de vous faire votre propre opinion. La semaine dernière, je vous indiquais la sortie du film « Terrain », conçu et réalisé par le Dr Kaufman. Ce que j’ignorais, c’est que ce médecin américain avait aussi participé  à un projet encore plus ambitieux, une série documentaire en cinq parties intitulée « The viral delusion »  (« L’illusion virale ») et sous -titrée « la pseudo-science du SARS-COV2 et la folie de la virologie moderne ». J’ai regardé le premier épisode (qui fait déjà deux heures et 20 minutes)   et je me réjouis de visionner les autres car les intervenants sont de grande qualité et leurs  explications sont  à la fois claires et convaincantes, assorties de références sérieuses et illustrées d’images édifiantes. Si les quatre autres films sont aussi létaux pour le mythe pasteurien, je pense que cette œuvre sera un très gros clou dans son cercueil ! Malheureusement, ce très long docu n’a pas encore été traduit et il n’est pas gratuit. Mais le prix d’accès (11 $) est dérisoire et on peut espérer que les traducteurs du site Cv19.fr sont déjà à l’ouvrage pour nous élaborer un sous-titrage.

Un article et un essai qui décoiffent

Au risque de me répéter, ce site internet français abat un formidable boulot pour démonter le covidisme et faire connaître au public francophone les travaux anglo-saxons démontrant les failles du pasteurisme. En février dernier, ils ont notamment publié cet article très percutant et  très instructif : « comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ? ». Son auteur est Mark Bailey, un médecin et microbiologiste néo-zélandais qui a travaillé 20 ans dans l’industrie médicale avant de réaliser que son métier était fondé sur des postulats erronés. Pour votre gouverne, Mark Bailey est aussi le mari de Sam Bailey, la médecin-chercheuse qui a cosigné l’édition française de Virus Mania avec deux autres médecins et le journaliste médical allemand  Torsten Engelbrecht.   Mark Bailey reste souvent dans l’ombre de son épouse mais il sort à présent de l’anonymat et il apparaît plusieurs fois dans The Viral Delusion.   Si vous n’avez pas le courage de vous farcir la série, ayez au moins la curiosité de lire l’article mentionné ci-dessus. Ce texte résume très bien ce que les « antivirologues » contestent dans le récit plandémiste et, au-delà, ce qu’ils reprochent à la théorie virale. Je vous suggère surtout de lire l’essai  d’une cinquantaine de pages qu’il a cosigné avec le Dr John Bevan-Smith et qui ne fait pas mystère de son contenu puisqu’il dénonce en son titre « la fraude du covid-19 et la guerre contre l’humanité ». Gratitude aux auteurs de l’avoir mis gratuitement en ligne et merci aussi à Cv19.fr de l’avoir très bien transcrit en français.

Un  beau cadeau du Dr Scohy

Suite à l’infolettre de jeudi dernier (décalage  de 24 h car j’étais à un enterrement  le mercredi) , j’ai aussi reçu une réaction du Dr Alain Scohy, me proposant de « taper sur le clou » et de faire un sort aux erreurs de Pasteur en  rappelant que sa funeste théorie du germe avait déjà été contredite par son contemporain Antoine Béchamp, découvreur des mycrozymas. Notre ami Scohy me proposait très généreusement de publier dans Néosanté le cours sur Béchamp qu’il donne aux élèves de son école de médecine holistique. Calcul fait, il faudrait plus d’un an pour diffuser ce document  volumineux dans notre revue mensuelle. Avec son assentiment, j’ai donc décidé de faire autrement et  de publier ce syllabus de 69 pages  sur notre site internet. Si vous voulez découvrir ou mieux connaître Antoine Béchamp et ses travaux sur les microzymas, cliquez donc ici pour accéder gratuitement à la version  numérique de ce petit livre dont vous pouvez télécharger le PDF.  Ne me remerciez pas,  c’est le Dr Scohy qu’il faut remercier pour le partage non-lucratif de ses immenses connaissances sur Béchamp et son œuvre ! Je précise que l’auteur ne révise pas seulement l’histoire médicale du 19ème siècle et qu’il aborde aussi dans un chapitre la théorie virale qui est postérieure à Pasteur. Ce dernier postulait l’existence des virus mais ce n’est en effet que dans les années 30 que leur trace aurait été repérée grâce à la microscopie électronique. Pour Scohy, ce n’est là qu’un « conte de sorcier » à dormir debout qui a cependant généré la dramatique conception belliciste de l’immunité et offert un piédestal au dogme vaccinal. Au passage, je rappelle que notre collaborateur occasionnel nous avait déjà offert un article intitulé « Virus : mythe ou réalité ?», paru dans le numéro 52 (janvier 2016) de Néosanté. À l’époque, j’étais un peu réticent à publier ce texte déconcertant. A posteriori, je me félicite d’avoir franchi ce Rubicon éditorial.

Un témoignage comme je les aime

Pour conclure ce billet résolument « virosceptique », je partage  un témoignage que j’ai également reçu la semaine dernière. Il provient d’un urgentiste marocain qui a découvert Néosanté l’an dernier grâce à Jean-Jacques Crèvecœur et qui, depuis, se réjouit chaque mois et chaque semaine  de lire nos écrits. Voici son petit récit dont j’ai seulement barré le passage où il mentionne où il travaille, histoire qu’on ne puisse pas l’identifier : « Je travaille en tant que médecin réanimateur à ……. au sud du Maroc. Je me suis occupé, presque tout seul, des malades graves Covid lors des longs mois des vagues meurtrières. Je n’ai jamais mis la tenue de protection recommandée et à partir de la deuxième vague, je n’ai même pas mis de masque facial. J’autorisais les familles des malades à rester à côté d’eux pour s’en occuper et autorisais aussi les visites. Je n’ai pas eu le Covid,  de même pour le personnel soignant sauf pour ceux et celles qui se sont trop protégés. De même pour les familles accompagnantes des malades : elles ne l’ont pas eu, du moins pas la forme grave. »  Le médecin  termine son message en se demandant  où était donc le virus et en exprimant sa conviction, vu l’absence manifeste de contagion, qu’il n’existe tout simplement pas. Je sais que de tels témoignages sont irrecevables en  science et qu’ils ne  vont pas changer le monde. Mais je les apprécie beaucoup parce qu’il illustrent ce que je souligne depuis le début de la mascarade, à savoir que les soignants, contrairement à la légende officielle,  n’ont pas  payé un lourd tribut à l’épidémie. Si  cette vérité était rétablie, on pourrait calmement commencer à raisonner  et à s’interroger sur la réalité même du prétendu ennemi viral très contagieux. Comptez sur moi pour continuer à le faire solitairement puisque notre ami Jean-Jacques, dont je salue par ailleurs l’engagement résistant, n’en fait pas une priorité.

Partagez Néosanté !

6 commentaires

  1. Hier, j’ai été un peu déçu de lire sous la plume de Jean-Jacques Crèvecœur que sa priorité dans la lutte anticovidiste n’était pas de mettre en doute l’existence du virus et qu’il fallait plutôt axer le travail d’information sur les ravages des injections et sur tout ce qui cache derrière l’obsession mondialiste pour cette fausse solution.

    Puis-je savoir où vous avez lu ces déclarations de JJC et quand.

    Merci pour votre réponse.

    IV

  2. Bonjour,

    Bravo pour votre engagement et l’énergie consacrée à informer.

    Concernant ce différent avec JJC… Je ne sais pas si c’est pertinent de le partager. J’aurais aimé avoir la référence de son article pour pouvoir sentir…

    Je profite ce cette occasion pour vous demander si vous avez publié quelque chose sur le « traitement » des corps des personnes décédées, depuis les années 70, dans l’ignorance totale des familles et même du corps médical.

    Je viens de vivre une épreuve extrême… L’accompagnement après un accident de voiture de notre fils, complétement paralysé et pauci relationnel, avec trachéo et GEP.
    Un an et demi hospitalisé, horrible…
    Nous l’avons ramené à la maison (je suis infirmière), et même chez nous il a fallut se battre contre l’ignorance et la déshumanisation.

    Après presque deux ans chez nous, j’ai demandé l’intervention des soins palliatifs. En plus de gérer tout le reste, j’ai du attendre que mon mari sorte du déni et accepté de laisser partir notre fils.
    Quelle épreuve !
    J’ai tellement appris et évolué

    Notre fils est parti vers ailleurs, le 22 mars dernier, entouré par tous ceux qui l’aiment et sans subir le passage par les Pompes Funèbres !

    Triste époque où de la naissance à la mort la plupart des humains sont sous contrôle et vivent coupés de l’essentiel.

    A suivre… peut-être si mon témoignage peut vous être utile

    Bien dialement
    Marie

  3. Article très intéressant. Je voulais juste vous rappeler que Pasteur lui même, à la fin de sa vie, a admis et déclaré que le plus important dans la prise en charge de la personne, malade ou non, c’était en premier le rôle de l’immunité naturelle. Ce revirement de Pasteur a été mis aux oubliettes par les covidistes et autres adeptes de la vaccination.

  4. Bonjour, c’est un continuel étonnement pour moi d’entendre des gens parler du covid comme s’il s’agissait d’une réalité, alors qu’aucune étude scientifique dans le monde n’atteste de l’existence et l’identification d’un tel virus. Et pourtant un tel nous dit : « j’ai eu le covid » Ah bon? Comment peut-on affirmer cela sans s’être assure au préalable de ce que cela est et s’il ne s’agit pas simplement d’un épisode grippal ou d’une saine crise d’elimination??

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée Champs requis marqués avec *

Poster commentaire