Edito N°136: Notre longévité leur fait peur !

Parmi les dizaines de livres dénonçant la mascarade covidienne, celui d’Eusèbe Rioché sort à notre avis du lot. D’abord parce qu’il prouve l’inexistence d’une quelconque crise sanitaire d’origine virale, ensuite parce qu’il démontre l’indéniable culpabilité des vaccins dans les excès de décès, et enfin parce qu’il éclaire les motifs financiers de ce double complot contre la vérité. Concernant l’absence de pandémie, l’auteur de ce nouveau brûlot confirme amplement ce que l’épidémiologiste Laurent Toubiana et le statisticien Pierre Chaillot avaient déjà mis en exergue : il n’y a aucune trace d’un virus tueur ayant émergé à Wuhan ou ailleurs puisque la mortalité toutes causes et tous âges confondus n’aurait pas dérogé à la normale d’une banale saison grippale si les aînés n’aient pas été terrorisés, laissés sans soins appropriés et massivement euthanasiés. Substituant à juste titre l’exemple de la Norvège au modèle suédois, l’essai souligne que les résultats norvégiens sont les meilleurs d’Europe alors que ce pays n’a pas isolé ses seniors et n’a imposé aucune mesure contraignante à sa population. C’est la preuve ferme et définitive que les politiques liberticides ont été contre-productives et qu’il suffisait de ne pas céder à la panique pour surmonter le pseudo-fléau pandémique.

S’agissant des injections, le docteur en sciences écrivant sous pseudonyme apporte également beaucoup d’eau au moulin de Néosanté : ce ne sont pas seulement les faux vaccins Covid qui ont fait des ravages à partir de 2021, mais aussi le vaccin classique contre la grippe dès l’automne 2020. Dans son chapitre sur LES vaccinations, l’essayiste expose en effet la parfaite concordance temporelle entre la plus grande campagne antigrippale jamais lancée en Occident (alors que la grippe y avait officiellement disparu, cherchez l’erreur) et la plus forte mortalité saisonnière enregistrée depuis une décennie. Celle-ci a atteint en France 7,42% alors que le maximum connu, durant l’hiver 2014-2015, était de 1,37%. Record multiplié par cinq ! Avec les produits géniques expérimentaux, les dégâts vaccinaux se sont évidemment aggravés. Dans un graphique du livre, on voit que la surmortalité chez les plus de 70 ans est étroitement corrélée avec le nombre de doses injectées. Selon le scientifique, cette corrélation statistique est tellement forte que le lien de causalité est tout bonnement indubitable. Est-ce dû aux phénomènes d’ « interférence virale » et/ou de « fuite immunitaire » , comme le pensent de nombreux microbiologistes ? C’est le type d’hypothèses que privilégie également Eusèbe Rioché. On notera toutefois qu’il n’est nul besoin d’ARN messager ni de protéine pointue pour faire bondir la létalité post-vaccinale. C’est donc dans l’exacte et commune composition chimique des vaccins qu’il conviendrait à nos yeux de chercher leur caractère toxique.

Ce qui est certain, c’est qu’on peut maintenant parler de catastrophe sanitaire. Sur base des chiffres 2021- 2022, l’ouvrage montre notamment que la surmortalité des moins de 60 ans s’est envolée vers les sommets. Or depuis le début de 2023, les données sont devenues encore plus affolantes. Non seulement l’injection expérimentale tue des adultes et des jeunes en grand nombre mais elle est manifestement liée à l’effondrement de la natalité. La question est de savoir si cela relève du simple scandale médical, de la cascade d’erreurs tragiques, ou s’il y a derrière ça une noire volonté de nuire et de détruire des vies. Pour Eusèbe Rioché, la réponse est claire : « on » nous fait la guerre et « on » cherche à dépeupler la terre via le contenu des seringues. Qui est ce « on » ? Pour identifier un criminel, il faut « suivre l’argent » et voir à qui le crime profite. Pas besoin d’être devin pour oser désigner la clique des multimilliardaires qui se sont encore honteusement enrichis grâce à leur plandémie. À l’appui de ses accusations, Eusèbe Rioché révèle le mobile très probable de cette vaste entreprise criminelle, à savoir la faillite qui guettait les fonds de pension en raison du Papy Boom. Pour réduire ce que les assureurs appellent cyniquement « le risque de longévité », il fallait d’urgence allonger les carrières (d’où la floraison synchronisée de réformes des retraites) et faire baisser l’espérance de vie des populations occidentales. Ce scénario nous a semblé tellement réaliste qu’outre l’interview exclusive d’Eusèbe Rioché, nous avons obtenu de publier de larges extraits du chapitre où il développe la thèse de cette effroyable machination. Bonne mais amère lecture….

Yves Rasir

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