Edito N°141

Néosanté N°141

Pandémie: mode d’emploi

Néosanté, c’est peu dire que nous apprécions la microbiologiste Hélène Banoun. Nous sollicitions déjà son expertise lorsqu’elle se protégeait sous le pseudonyme d’Emma Khan. C’est en bonne partie grâce à elle et à sa confidente préférée, notre collaboratrice Pryska Ducœurjoly, que notre mensuel est à la pointe des connaissances sur les effets pervers de la vaccination. Bien avant que ces phénomènes ne soient connus du grand public, nous avons informé sur les remplacements épidémiques, les interférences virales, les fuites immunitaires et les infections facilitées par les vaccins. Et lorsque la crise covid a éclaté, le savoir partagé par Hélène nous a permis d’alerter sur la criante responsabilité des campagnes vaccinales contre la grippe et la méningite. Depuis, notre source privilégiée est sortie de l’ombre, est devenue un pilier du CSI (Conseil Scientifique Indépendant) et de l’AIMSIB (Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante) et elle vient de publier un livre synthétisant ses analyses critiques de la tragicomédie covidiste, ouvrage d’ailleurs écrit avec l’aide de Pryska Ducœurjoly. Il était donc tout naturel de lui tendre notre micro (Lire interview page 27 et suivantes).

Dans ce livre et dans l’entretien qu’elle nous a accordé, la chercheuse indépendante réitère ses griefs solidement étayés sur l’immunisation artificielle en général, et sur la vaccination contre le covid en particulier. Elle dézingue notamment le mythe des anticorps protecteurs, ceux-ci n’étant jamais que les témoins de la rencontre entre un micro-organisme et son hôte, et non le bouclier que la propagande vaccinaliste dépeint à longueur d’intox. Au-delà de ça, Hélène Banoun met en garde contre une science dévoyée qui prend progressivement le pouvoir sur nos corps et sur nos vies. Au nom de la santé et de la sécurité, la «  biopolitique  » devient carrément totalitaire et ne remplit plus ses objectifs sanitaires, c’est même le contraire qui se produit. Ce qui nous chiffonne dans ce bouquin, c’est que son auteure y défend un point de vue par trop pasteurien sur la grande mascarade : un virus nouveau aurait bien déferlé sur terre et cet agent viral serait une chimère échappée d’un labo chinois ou américain. À nos yeux, il s’agit de pures spéculations accréditant la narration mainstream du fléau infectieux provoqué par un dangereux coco. Or, et c’est là que nous divergeons complètement, il n’y a pas eu de pandémie ! Il y a eu une pandémie de peur, une pandémie de tests, une pandémie de iatrogénie, une pandémie d’abandon de soins et de mesures délétères, une pandémie d’assassinats au Rivotril, une pandémie de gouvernemensonges et de statistiques falsifiées, mais il n’y a pas eu de péril viral justifiant le développement des injections expérimentales ou le recours à un arsenal médicamenteux spécial. 

Si la mini-épidémie de Wuhan était passée inaperçue et si l’OMS n’avait pas sauté sur l’occasion pour monter une gigantesque opération psychologique, on ne se serait rendu compte de rien car la saison grippale 2020 n’a pas dérogé aux normes saisonnières. Les livres de Laurent Toubiana, Eusèbe Rioché et Pierre Chaillot en apportent les preuves irréfragables. Dans un nouveau dossier (lire page 5 et suivantes), ce dernier fait un sort à la doxa virologique et démontre que la grande coronarnaque repose sur deux instruments de manipulation : les tests génomiques ou antigéniques (dont les résultats n’ont ni queue ni tête) et la codification hospitalière (dont la modification a permis de remplir la coque-vide). Dès le mois de juin 2020, Néosanté avait souligné que la bouffée délirante en cours reposait sur le dépistage moléculaire massif, l’écouvillonnage intensif et le mauvais usage de la technologie PCR. Le travail de Pierre confirme allègrement cette révélation. La deuxième clé de la vaste escroquerie, nous l’avions également montrée du doigt mais il nous manquait les détails de l’entourloupe. Le manque est désormais comblé avec cette nouvelle enquête de notre nouveau collaborateur : le statisticien expose imparablement que la pseudo-pandémie a été fabriquée de toutes pièces grâce aux changements introduits dans le système d’encodage des maladies. Via ce tour de passe-passe et via le séquençage des sécrétions nasales, les plandémistes ont bel et bien mystifié la population mondiale en la terrorisant machiavéliquement. N’en déplaise à la brave Hélène, l’hypothèse du virus est dès lors démentie et le mirage pasteurien se dissipe irrésistiblement. 

Yves Rasir

Partagez Néosanté !

Partagez cet article!

Facebook
Pinterest
Twitter
WhatsApp

D'autres articles dans cette catégorie

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée Champs requis marqués avec *

Poster commentaire