Editorial n°100

Un numéro très spécial

Yves Rasir, directeur de la publication et rédacteur en chef

Vous tenez entre les mains le 100ème  numéro de la revue Néosanté.  Pour célébrer ce cap important, nous avions imaginé trois choses : faire une fête avec les collaborateurs du mensuel en associant les lecteurs via quelques cadeaux spéciaux,  rajeunir graphiquement le mensuel pour manifester que le centenaire était toujours vaillant, et enfin proposer un grand dossier sur la respiration en introduisant une nouvelle rubrique entièrement consacrée à ce puissant instrument de santé naturelle et autonome. C’était  aussi une façon symbolique de signifier qu’un nouveau souffle nous animait dans notre envie de vous informer sur « le sens des maux et leurs solutions bio ». Mais ces  trois projets sont tombés à l’eau pour cause de grand chambardement coronaviral.   Le premier parce que l’heure n’était pas aux réjouissances et aux dépenses alors que notre petit navire menaçait de couler ; le second parce que toute notre énergie a été investie dans le décryptage de ce que nous avons pris l’habitude d’appeler, à travers nos infolettres hebdomadaires, le grand Corona Circus ; et le troisième parce que l’actualité a totalement bousculé notre programme rédactionnel et nous a amenés à concevoir un numéro de mai très inhabituel. 

Dans ce n° 100, vous allez par exemple vous apercevoir qu’il manque la page « Décod’Agenda », rubrique dans laquelle nous annonçons les conférences ou séminaires relatifs au décodage psychobiologique des maladies. Vu que la plupart, voire la totalité de ces activités étaient ajournées pour cause de confinement, on n’allait pas vous allécher pour rien. Nous avons également sacrifié la petite rubrique de « Nutri-infos » afin  d’élargir la rubrique « Avantage nature » tenue par le naturopathe Jean-Brice Thivent. Celui-ci nous a en effet proposé un long article  où il expose comment surmonter  naturellement les infections respiratoires et où il témoigne de son étonnante expérience personnelle. Il nous a semblé indispensable de ne pas scinder cette contribution et de vous la proposer d’un bloc.  Dans le « Cahier Décodages », vous remarquerez aussi que deux des trois articles sont plus longs qu’à l’accoutumée.  Celui de Pierre Pelizzarri, écrit en collaboration avec un médecin italien, traite spécifiquement du Covid-19 et de ses symptômes selon la vision  biologique du Dr Hamer, tandis que celui de Wyane Frisée, physiothérapeute breton, aborde plus particulièrement l’impact de la peur, notamment sur la sphère pulmonaire, et qu’il distille  de précieux conseils pour la désamorcer et s’en défaire. Ici aussi,  nous avons jugé que l’enjeu méritait de faire entorse à nos habitudes de concision. Enfin, nous avons supprimé les « Santéchos »  et notre coup de « Zoom » pour permettre au dossier mensuel  de s’étendre sur deux pages supplémentaires. Pourquoi ? Parce qu’il s’agit d’un sujet importantissime : le rôle insoupçonné et pourtant bien réel des vaccinations  dans la genèse des maladies émergentes et des nouvelles épidémies infectieuses.  Si vous nous lisez depuis longtemps, vous savez que les vaccins, outre leur dangerosité et leur inutilité, ont parfois le grand tort de manifester une relative efficacité. Et si vous nous lisez depuis nos débuts, vous savez pourquoi ce bénéfice immunitaire apparent constitue au contraire un désastre sanitaire. Dans notre n° 8 (janvier 2012) , nous avions en effet publié un dossier expliquant que certaines vaccinations perturbaient profondément l’écologie microbienne et les relations que l’être humain entretient avec son environnement viral ou bactérien. Le phénomène de « déplacement épidémique » provoque l’apparition des maladies à des âges différents – par exemple la rougeole frappe désormais des adultes  et des nourrissons –  et s’accompagne d’une augmentation des complications.  Et le phénomène de « remplacement épidémique » traduit l’apparition de germes résistants qui sont sélectionnés, non seulement par l’usage immodéré des antibiotiques, mais aussi par la pression sélective des valences vaccinales. Exemple très bien documenté : les méningites bactériennes gagnent en fréquence et en gravité depuis que les pneumocoques et les méningocoques sont combattus par la médecine vaccinaliste. 

Dès que la « pandémie » de Covid-19 s’est déclarée, on pouvait soupçonner qu’un mécanisme semblable était à l’œuvre. Et de fait,  une étude  américaine a révélé que les infections à coronavirus étaient favorisée par la vaccination anti-grippale : selon cette recherche, les vaccinés contre la grippe ont 36% plus de risque de contracter un virus de la famille corona. Plus troublant encore:  comme nous l’avons dévoilé de notre newletter, de nombreuses pneumonies atypiques ont été signalées dès l’automne en Italie du Nord, là-même où les autorités avaient procédé en 2019 à des vaccinations massives contre la méningite. Idem dans la région de Madrid, épicentre de la flambée épidémique espagnole. On tenait un suspect !  Malheureusement, il est très difficile de démontrer un lien de causalité entre ces campagnes et les pics de mortalité attribués au virus à couronne.  Comme l’écrit Pryska Ducoeurjoly dans son dossier, nous en sommes réduits aux indices de culpabilité puisque le monde scientifique joue à l’autruche et ne voit pas où est le problème. Pire : ce milieu corrompu par Big Pharma mitonne déjà une réponse vaccinale à  cette pandémie prétendument dévastatrice. Dans ce numéro 100 très spécial, vous trouverez déjà nombre d’arguments pour résister à ce traquenard visiblement prémédité. 

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