Editorial n°131 : Un vaccin transhumaniste?

Yves Rasir

Ce n’était pas vraiment prévu mais la journaliste d’investigation Senta Depuydt nous a remis un dossier excédant largement la longueur impartie. Je n’ai pas voulu « tailler dedans », il s’étale donc sur 10 pages (pp. 5 à 14) car la question qu’il pose est à la fois d’une grande actualité et d’une importance majeure : quid de la qualité des injections covid et de leur contenu ? En préambule de son enquête, notre collaboratrice fait remarquer que l’industrie du vaccin est déjà dispensée de démontrer la sécurité des composants connus et affichés sur la notice. Entre autres manquements, les ingrédients déclarés ne font pas l’objet d’études sur leurs effets génotoxiques, mutagènes ou cancérigènes. Pour évaluer leur toxicité, il faudrait également analyser la manière dont ils interagissent dans le corps et mesurer leur action à long terme, ce qui n’est jamais fait. Depuis qu’ils existent, les vaccins échappent ainsi aux règles de prudence prévalant pour tout autre médicament. Ils bénéficient d’une « présomption d’innocuité » qui s’est encore anormalement accentuée pour les produits recourant à la technologie de l’ARN messager. Nombreuses sources à l’appui, Senta révèle en effet que les injections expérimentales de Pfizer et Moderna ont obtenu leurs autorisations grâce à des passe-droits et des procédures étrangement allégées, ce qui pue la corruption à plein nez.

Non sans naïveté, on se dit que les produits autorisés offrent au moins des garanties de qualité et que leur processus de fabrication répond aux normes les plus drastiques. Erreur : à l’instar d’autres secteurs industriels, la chaîne de production de vaccins présente des failles qui sont autant de dangers pour le consommateur final. Tout comme l’industrie alimentaire est souvent à l’origine des graves problèmes d’hygiène menant à des intoxications mortelles, celle des vaccins peut être le théâtre de contaminations involontaires synonymes de risques sanitaires. On en a eu l’illustration avec les injections covid puisque le Japon a dû remballer 1,6 million de fioles Moderna renfermant des impuretés métalliques. Selon les explications du fabricant, les particules d’acier étaient arrivées dans les flacons en raison de frictions entre machines défectueuses. On veut bien, mais comment se fait-il que la pollution soit passée inaperçue ? Et comment se peut-il que les agences de contrôle ne détectent pas de telles défectuosités ? Aussi incroyable que cela paraisse, les vaccins ne sont plus inspectés après leur sortie d’usine. N’importe quel aliment est susceptible d’être contrôlé au restaurant ou au supermarché mais, les vaccins, eux, ne sont jamais saisis pour analyse chez le pharmacien ou le médecin. Concernant les injections géniques, il y a tout lieu de penser que la qualité des lots n’était pas homogène et qu’une fois le produit administré, il en est résulté des effets variables pour la santé. Comme le raconte Senta, des scientifiques indépendants ont répertorié les effets secondaires selon les numéros de lots et ont fait le constat que le taux de décès et d’événements invalidants était décuplé dans les régions les moins bien loties. Intrigant, n’est-il pas ?

Pareille disparité interpelle et on peut se demander si ce n’était pas intentionnel. Il est légitime de soupçonner les apprentis-sorciers d’avoir expérimenté plusieurs potions à la composition et aux dosages différents. Et comme le secret industriel permet de ne pas tout déclarer, il est logique de suspecter la présence d’ingrédients cachés. Ne serait-on pas, via les vaccins géniques, en train de tester la tolérance et la performance de technologies futuristes ? Les fioles Pfizer et Moderna ne contiennent-elles pas des nanorobots et des nanomatériaux qui peuvent s’auto-assembler et obéir à des impulsions électromagnétiques ? La vaccination covid n’est-elle pas une vaste opération transhumaniste destinée à inaugurer « l’internet des corps » après celui des objets ? Sans se prononcer sur leur solidité, notre journaliste évoque les découvertes faites par une douzaine de chercheurs à travers le monde, notamment ceux réunis dans le « groupe allemand ». Et elle dévoile les photos prises par un de ses informateurs, expert en microscopie électronique. Que viennent faire dans les flacons ces mystérieux « objets » visiblement artificiels et parfois luminescents ? En toute fin de son enquête, Senta Depuydt rappelle le CV édifiant et les déclarations troublantes du personnage-clé de l’opération Warp Speed. Entre complotisme et réalisme, la frontière n’a jamais semblé aussi mince…

Yves RASIR

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