Ivermectine, le piège ultime ?
Si vous me suivez depuis au moins quatre ans, vous savez que je n’ai jamais été partisan de ce qu’on a appelé les « traitements précoces » du covid. Qu’il s’agisse de l’hydroxychloroquine, du dioxyde de chlore ou de l’ivermectine, je ne voyais pas l’intérêt de consommer des molécules chimiques « repositionnées » alors qu’on savait dès février 2020…