Editorial N°127

Penser l’impensable

À mon grand dam, je vois encore circuler sur les réseaux sociaux cette vidéo où Bill Gates se réjouit d’avance de faire diminuer la population mondiale de 10 à 15% grâce aux vaccins. Extraite d’une conférence donnée en 2010, cette séquence alimente la théorie selon laquelle le milliardaire mégalomane investit délibérément (dans) la médecine vaccinale à des fins génocidaires. C’est un grossier montage car l’homme d’affaires n’expose nullement le projet de dépeupler la planète en faisant mourir des gens : il exprime au contraire son espoir que la vaccination contribue à réduire la mortalité infantile, ce qui aurait l’indirecte conséquence de freiner la croissance démographique. Très (bio)logiquement, les femmes font en effet moins d’enfants lorsque ceux-ci ont de meilleures chances de survie. Sur base de phrases sorties de leur contexte, il est donc absurde d’imputer à Gates et à sa fondation l’obscur dessein d’empoisonner volontairement des populations entières afin de dépeupler la terre. Cette accusation infondée discrédite le discours vaccinocritique alors que des faits avérés et des indices sérieux permettent de suspecter la mise en œuvre de plans réellement machiavéliques.

À l’aube des années 60, les États-Unis d’Amérique ont compris que la puissance du nombre pouvait menacer leur domination hégémonique du monde. Pour l’imiter l’influence des pays surpeuplés, les USA ont alors activement favorisé les « politiques de santé » onusiennes visant à promouvoir la contraception, l’avortement et même la stérilisation des femmes en âge de procréer. Tout cela est documenté et a été raconté, entre autres, par le démographe belge Michel Schooyans dans son livre « Le crash démographique ». L’auteur y relate notamment que certains médicaments contraceptifs ont été massivement injectés en Afrique sous des prétextes faussement prophylactiques. Plus tard, c’est le vaccin antitétanique qui a servi de fausse bannière sanitaire : il contenait des hormones anticonceptionnelles et a été administré à des milliers de femmes dans plusieurs pays. C’est au Kenya que cette expérience secrète a été éventée, lorsque des médecins locaux soupçonneux ont fait discrètement analyser les fioles. L’OMS a démenti avec force ce qu’elle a qualifié de rumeur mais les lanceurs d’alertes kényans ont apporté des éléments probants étayant un scandale qui est au cœur du récent film d’Andy Wakefield « Infertilité, un programme diabolique ». Produit par Robert Kennedy Jr, ce bref documentaire vaut surtout par le témoignage percutant du Dr Karanja, un des principaux protagonistes de cette sombre affaire. Or celui-ci est décédé quelques semaines après l’interview, soi-disant du covid ! Dans son dossier (Lire page 5 à 12), notre journaliste Senta Depuydt ne prétend pas que le courageux médecin africain a été assassiné. Elle n’en a pas la preuve. Mais elle pose posément la question : lorsqu’un vaccin est spécifiquement élaboré pour nuire à la fécondité, est-il encore abusif de dénoncer un génocide ? Ne serait-il pas temps de « penser l’impensable » et d’envisager l’hypothèse que certains cocktails vaccinaux sont en réalité des armes destinées à tuer et à dépeupler ?

Quand bien même cette abominable intention ne serait pas présente dans l’esprit détraqué des vaccinateurs fanatiques, il y a des campagnes de vaccination qui constituent de véritables tueries de masse par leur bilan catastrophique. Senta nous rappelle ainsi la découverte macabre du chercheur danois Peter Aaby, qui a dévoilé il y a quelques années que le vaccin DTCoq faisait d’immenses dégâts en Afrique : on y compte 5 fois plus de décès chez les enfants vaccinés que chez les autres. Or c’est le vaccin le plus utilisé sur le continent noir ! Par ses atermoiements et ses dissimulations, l’OMS se rend à tout le moins coupable de complicité dans cette tragédie ignorée des médias. Et que dire alors du désastre en cours, celui de la multivaccination contre la grippe covid ? Dans la première partie de son enquête, notre collaboratrice expose les données les plus criantes démontrant que l’injection expérimentale blesse et tue dans des proportions effrayantes. Et elle souligne aussi que le système reproducteur humain est particulièrement affecté par les produits issus de la technologie génique. De là à postuler que l’infertilité massive est l’objectif caché de la plandémie, il y a un pas que nous ne franchirons pas. Mais nous sommes de ceux qui osent plonger le regard dans les ténèbres et imaginer l’inimaginable.

Yves Rasir

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