Éditorial – revue N°4
Cher David, Je sais, c’est un peu bizarre d’écrire à un mort. Mais rien ne dit que les défunts ne peuvent plus lire ce qui s’écrit sur terre. Dans ton livre d’adieu (*), tu t’imagines bien réincarné en caresse du vent sur les joues de tes enfants. Moi, je t’imagine volontiers au paradis, entre un…