Editorial n°83
Mon papa était gravement diabétique. À la fin de sa vie, il continuait à suivre scrupuleusement les conseils diététiques aberrants de son endocrinologue. Parmi ces injonctions stupides, je me souviens qu’il pouvait manger des fraises, même arrosées de sucre blanc, mais toujours sur une tranche de pain non beurrée. À l’époque, il y a 20…